UNE PETITE ANALYSE SUR LA SITUATION SECURITAIRE À L'EST DELA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO SÉLON UN MEMBRE DELA SOCIÉTÉ CIVILE DE BENI TÉRRITOIRE QUI RÉSIDE À OICHA, CHEF LIEU DE CE TÉRRITOIRE, SITUÉ DANS LA PARTIE NORD DELA PROVINCE DU NORD-KIVU, VERS L'EST DELA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO. Les retombées de la dernière visite du chef de l'état en Ouganda et au Rwanda commencent à se révèle petit à petit. !

Des sources de la société civile ont rapporté que, une unité de l’armée ougandaise a établi depuis quelques semaines sa position dans la localité de Tshogo en pleine réserve de gorilles de Sarambwe à Rutshuru (Nord-Kivu).
Aucun incident n’a été signalé mais l’agenda de ces militaires ougandais reste inconnu, indiquent les mêmes sources.
A en croire les mêmes sources, plus de 44 hectares de cette réserve naturelle sont déjà occupés par des agriculteurs ougandais depuis plusieurs mois.
La société civile locale réclame une enquête internationale au sujet de cette occupation.
De son côté, le fonctionnaire délégué du gouverneur du Nord-Kivu à Nyamilima, Jean-Paul Marungu, dit avoir transmis à ses supérieurs un rapport sur la situation.
Le mécanisme conjoint de vérification de la CIRGL ne s’est pas encore exprimé à ce sujet alors que l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) refuse de commenter la situation.. La fois passé, le président Joséph-Kabila a dit au président de l’Ouganda que, nous voulons avoir la paix comme il a aussi la paix dans son pays », a déclaré Joseph Kabila jeudi 4 août à son retour à Beni après une rencontre avec son homologue ougandais Yoweri Museveni à Kasese.
Au cours de leur rencontre, les deux chefs d'Etat ont notamment décidé de l'échange des informations entre leurs pays sur le mouvement des personnes qui quittent l'Ouganda pour créer l’insécurité au Nord-Kivu.
« Nous sommes partis voir nos voisins qui nous ont invités et nous avons parlé de la paix et de la sécurité dans la province du Nord-Kivu. […] Nous nous sommes mis d’accord qu'ils vont commencer à travailler avec nous pour nous donner toutes les informations sur les mouvements de ceux qui traversent la frontière de l’Ouganda pour déstabiliser la RDC », a résumé Joseph Kabila au cours d’un meeting à son retour à Beni.
Certaines régions de la province du Nord-Kivu font face à l’insécurité causée notamment par des rebelles ougandais des ADF, accusés d’être responsables des tueries dans le territoire de Beni.
Joseph Kabila et Yoweri Museveni ont également discuté de l’électrification de certaines villes et cités du Nord-Kivu et de l’Ituri à partir de l’Ouganda voisin.
« La deuxième chose importante dont nous avons parlé c'est l'électrification de Kasindi à partir de l'Ouganda. Mais nous ne voulons pas que le courant se limite seulement à Kasindi. Nous voulons que Beni, Butembo et Bunia soient également électrifiés à partir de l’Ouganda. Nous avons discuté et ensemble, nous avons trouvé un accord », a indiqué le chef de l’Etat congolais.
Par ailleurs, Joseph Kabila a évoqué au cours de son meeting la question des élections, invitant les habitants à se préparer pour les opérations d’enrôlement des électeurs.
Le chef de l’Etat congolais séjourne à Beni depuis mercredi. Il a quitté ce jeudi dans la matinée pour se rendre à Kasese où il a rencontré son homologue ougandais.
Le Centre d’études pour la promotion de la démocratie et les droits de l’homme (CEPADHO) recommande au président Joseph Kabila d’interpeller son homologue ougandais, Yoweri Museveni, qu’il doit rencontrer jeudi 4 août, sur la menace que représente les rebelles ADF pour la RDC et pour la région des Grands Lacs.
Le CEPADHO demande au président de la RDC de faire pression sur l’Ouganda pour qu’il contribue positivement et efficacement à la traque contre ces rebelles ougandais, opérant sur le sol congolais.
Le président de cette ONG, Omar Kavota, recommande aussi à Joseph Kabila d’«évaluer sommairement les opérations militaires contre les ADF à Beni, pour que l’on envisage un dernier assaut pouvant [mettre fin], une fois pour toutes, à ces terroristes».
La même source demande aussi au commandant suprême des FARDC d’initier une enquête sur la gestion de la ration militaire et évaluer les problèmes liés à la gestion des troupes.
«On a besoin d’un renforcement en hommes, en minutions et en logistiques. Il faut que toutes ces questions puissent préoccuper le chef de l’Etat et qu’on considère que cette fois-ci, l’éradication des ADF est définitive ». Si la dernière descente était pour nous ramener la paix deux jours plus tard il n 'y aurait pas mort d'hommes à beni. Sa visite si elle rentrait dans le bonheur du peuple congolais à mon avis il dirait à son homologue Ougandais de régler la facture de dix milliards que ce pays doit à la RDC. Malheureusementil a dit qu' il est parti négocier le courant. Sera t' il consommé en hauteur de ces dix milliards. Les affres et dégâts que ses militaires Ougandais poseront ou sont ils des anciens m23 sous une autre forme. Car chaque fois que nous approchons les grands enjeux tels mouvements réasurgisent afin de détourner l'attention surtout que les congolais sont tous unanimes que toucher à l'intégrité du territoire c'est toucher dans l'oeil du commun de mirtel. Quand tout le monde parlé de fraudes et tricheries une rébellion à vue le jour dans le chanzu au nord kivu même chose pour le cndp et la prise de BUKAVU.

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