Climat politique toujours très tendu entre les acteurs politique dela majorité, et ceux del'opposition, en République Démocratique du Congo, ce dernier temp. Beaucoup d'analyses politique veullent savoir sur l'avenir politique del'actuel chef del'état, Joséph Kabila qui veut briguer un troisième mandat, avec l'appui dela cour contitutionnel, après 2016. !
Présidentielle en Rdc : l’audience de la Cour constitutionnelle renvoyée à une date ultérieure selon une source du Digitalcongo !
Ce renvoi est dû au fait que le quorum n’a pas été atteint pour convoquer la plénière susceptible de permettre à la haute juridiction de décider en toute légalité.
L’audience publique sur la requête de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) relative au report de l’élection présidentielle à la Cour constitutionnelle siégeant en matière de constitutionalité du vendredi dernier, est reportée à une date ultérieure.
En effet, la Cour constitutionnelle a renvoyé à une autre date cette audience à laquelle elle devra se prononcer sur la requête de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), déposée le 17 septembre dernier, portant report de l’élection présidentielle.
Ce renvoi est dû au fait que le quorum n’a pas été atteint pour convoquer la plénière susceptible de permettre à la haute juridiction de décider en toute légalité.
Des sources proches de cet organe supérieur de la justice, la Cour va répondre à la requête du président de la Commission Electorale Nationale Indépendante CENI, Corneille Nangaa qui a demandé, le 17 septembre un report de la Présidentielle qui devait se tenir le 19 septembre dernier.
Dans sa requête la CENI demandait organiser les élections au-delà de 2016.
L’enrôlement des électeurs et la mise à jour du fichier électoral ne seront pas achevés avant juillet 2017, a annoncé Corneille Nangaa en août dernier, officialisant la non-tenue de la présidentielle le 19 septembre comme prévu.
Le président de la Commission Electorale Nationale Indépendant (CENI) a justifié ce report par « un manque de fonds et le retard pris dans l’enregistrement des nouveaux électeurs ».
Selon les renseignements fournis par M. Nangaa, il faudra 16 mois pour mener à bien l’enregistrement des quelque 30 millions d’électeurs, entamé en mars.
Le président de la CENI a déclaré le 1er octobre dernier au Dialogue politique que l’élection présidentielle pourrait se tenir 504 jours après le 31 juillet 2016, date du début de l’opération de refonte du fichier électoral. Faisant suite à l’engagement qu’ils ont pris lors du dernier sommet de l’Union Africaine, les Africains ont effectivement décidé de se prendre en charge. Leurs problèmes seront résolus en Afrique par les Africains. La crise actuelle en RDC en est l’illustration.Idem pour la situation au Sud Soudan et au Burundi. Y en a donc marre des occidentaux plus enclins à attiserle feu qu’à l’éteindre sur le continent noir. Le 27 prochain à Luanda, donc, les Africains se retrouveront loin des Occidentaux. Même si l’ONU, autre actrice active par sa passivité, sera là…
La République d’Angola abritera le 27 octobre un sommet international sur la République démocratique du Congo (RDC). Selon notre confrère en ligne L’Avenir qui annonce cette information, la nouvelle a été annoncée lundi à Luanda, par le Ministre angolais des Relations extérieures, Georges Chikoti, au sortir de l’audience que le Président de la République d’Angola, José Eduardo dos Santos, a accordée à la Ministre sud-africaine des Relations internationaleset de la coopération, Maite Nkoana-Mashabane, qui était l’envoyée spéciale du chef de l’Etat sud-africain, Jacob Zuma.
Le chef de la diplomatie angolaise a précisé que le sommet est organisé conjointement par la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), les Nations Unies, la SADC et l’Union africaine. L’urgence de la rencontre découle de la nécessité de discuter des derniers événements en RDC, a-t-il précisé. Il a ajouté que l’événement sera précédé par une réunion d’experts de ces organisations, le 24 octobre, et une autre réunion de l’Agence de défense et de sécurité de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), qui se tiendra cette semaine en RDC.
«La région devient un peu instable et les responsabilitésde l’Angola, en tant que président de la CIRGL sont nombreuses», a encore déclaré le Ministre angolais des Relations extérieures qui a ajouté que le Sommet devrait également discuter de la situation au Burundi, des événements dans le Soudan du Sud et en République centrafricaine (RCA), qui « continuent à préoccuper la région et le continent africain en général. »
Le patron de la diplomatie angolaise n’a mentionné nulle part la participation, à ce sommet, des pays et organisations occidentaux comme l’Union Européenne. L’Occident a, ces derniers temps, joué un rôle contreproductifdans la résolution des conflits en Afrique. Le cas le plus typique est la RDC où l’interventionnisme des Occidentaux a contribué plus à aggraver la crise qu’à apaiser les esprits. Même l’ONU s’est laissé embarquer dans la manipulation occidentale pour s’éloigner de son rôle de l’église au milieu du village. Ce n’est, en effet, pas avec des sanctions qu’on arrivera à concilier les esprits pour trouver une issue à la crise surtout que, même sans se rencontrer, les Congolais dialoguent.
Ce renvoi est dû au fait que le quorum n’a pas été atteint pour convoquer la plénière susceptible de permettre à la haute juridiction de décider en toute légalité.
L’audience publique sur la requête de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) relative au report de l’élection présidentielle à la Cour constitutionnelle siégeant en matière de constitutionalité du vendredi dernier, est reportée à une date ultérieure.
En effet, la Cour constitutionnelle a renvoyé à une autre date cette audience à laquelle elle devra se prononcer sur la requête de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), déposée le 17 septembre dernier, portant report de l’élection présidentielle.
Ce renvoi est dû au fait que le quorum n’a pas été atteint pour convoquer la plénière susceptible de permettre à la haute juridiction de décider en toute légalité.
Des sources proches de cet organe supérieur de la justice, la Cour va répondre à la requête du président de la Commission Electorale Nationale Indépendante CENI, Corneille Nangaa qui a demandé, le 17 septembre un report de la Présidentielle qui devait se tenir le 19 septembre dernier.
Dans sa requête la CENI demandait organiser les élections au-delà de 2016.
L’enrôlement des électeurs et la mise à jour du fichier électoral ne seront pas achevés avant juillet 2017, a annoncé Corneille Nangaa en août dernier, officialisant la non-tenue de la présidentielle le 19 septembre comme prévu.
Le président de la Commission Electorale Nationale Indépendant (CENI) a justifié ce report par « un manque de fonds et le retard pris dans l’enregistrement des nouveaux électeurs ».
Selon les renseignements fournis par M. Nangaa, il faudra 16 mois pour mener à bien l’enregistrement des quelque 30 millions d’électeurs, entamé en mars.
Le président de la CENI a déclaré le 1er octobre dernier au Dialogue politique que l’élection présidentielle pourrait se tenir 504 jours après le 31 juillet 2016, date du début de l’opération de refonte du fichier électoral. Faisant suite à l’engagement qu’ils ont pris lors du dernier sommet de l’Union Africaine, les Africains ont effectivement décidé de se prendre en charge. Leurs problèmes seront résolus en Afrique par les Africains. La crise actuelle en RDC en est l’illustration.Idem pour la situation au Sud Soudan et au Burundi. Y en a donc marre des occidentaux plus enclins à attiserle feu qu’à l’éteindre sur le continent noir. Le 27 prochain à Luanda, donc, les Africains se retrouveront loin des Occidentaux. Même si l’ONU, autre actrice active par sa passivité, sera là…
La République d’Angola abritera le 27 octobre un sommet international sur la République démocratique du Congo (RDC). Selon notre confrère en ligne L’Avenir qui annonce cette information, la nouvelle a été annoncée lundi à Luanda, par le Ministre angolais des Relations extérieures, Georges Chikoti, au sortir de l’audience que le Président de la République d’Angola, José Eduardo dos Santos, a accordée à la Ministre sud-africaine des Relations internationaleset de la coopération, Maite Nkoana-Mashabane, qui était l’envoyée spéciale du chef de l’Etat sud-africain, Jacob Zuma.
Le chef de la diplomatie angolaise a précisé que le sommet est organisé conjointement par la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), les Nations Unies, la SADC et l’Union africaine. L’urgence de la rencontre découle de la nécessité de discuter des derniers événements en RDC, a-t-il précisé. Il a ajouté que l’événement sera précédé par une réunion d’experts de ces organisations, le 24 octobre, et une autre réunion de l’Agence de défense et de sécurité de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), qui se tiendra cette semaine en RDC.
«La région devient un peu instable et les responsabilitésde l’Angola, en tant que président de la CIRGL sont nombreuses», a encore déclaré le Ministre angolais des Relations extérieures qui a ajouté que le Sommet devrait également discuter de la situation au Burundi, des événements dans le Soudan du Sud et en République centrafricaine (RCA), qui « continuent à préoccuper la région et le continent africain en général. »
Le patron de la diplomatie angolaise n’a mentionné nulle part la participation, à ce sommet, des pays et organisations occidentaux comme l’Union Européenne. L’Occident a, ces derniers temps, joué un rôle contreproductifdans la résolution des conflits en Afrique. Le cas le plus typique est la RDC où l’interventionnisme des Occidentaux a contribué plus à aggraver la crise qu’à apaiser les esprits. Même l’ONU s’est laissé embarquer dans la manipulation occidentale pour s’éloigner de son rôle de l’église au milieu du village. Ce n’est, en effet, pas avec des sanctions qu’on arrivera à concilier les esprits pour trouver une issue à la crise surtout que, même sans se rencontrer, les Congolais dialoguent.
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