Dépuis quelques jours une panique généralisée est observé au sein habitants civils de KYAVINYONGE une cité situé dans la partie Sud-Est du térritoire dans la province du Nord-Kivu vers l'Est dela République Démocratique du Congo : Face à cette situation les membres de la société civile de ce coin, dénoncent de plus, un passage effrayant des hommes en uniforme millitaire et lourdement armés, très noir et élancé qui ne parle avec personne... ils passent toute la nuit et la journée des après midi. ils prennent direction Parc Semuliki, Qi sont ils ? où allez vs et pourquoi ? . Aucun gardes parc n'en parle! Aucune autorité politico-militaire n'en parle! Les ops sokala1 ou deux n'ont pas droit d'ignoré qu'on envoi pas les militaires au nord pendant que la guerre est au sud... Si vous ne voulez pas y opéré et si vous êtes complice, sachez dès lors que la légitime défense est active au Sud du territoire sanguiné... KYAVINYONGE a connu deux genocides dont personne n'en parle, (seulement. citoyen, s'il vous plait dans une localité de 3km Carré. Nous sommes les seuls survivant farouche aux mouvements suspects, inconnus... D'après une source dela société civile dans cette partie la population ont peur d'être les victimes des massacres, vols, et incendies en cours dans la région de Beni où plus de 1200 personnes ont été tués sauvagement pars les rébélles du groupe del'ADF présent à Beni, dépuis des années à nos jours. !

Par ailleurs, les membres dela société dela région continuent à dénoncer :
1. Des multiples cas d’incursions des groupes armés étrangers sur le sol congolais :
Dans le passé des des droits del'homme ont signalés une incursion des troupes ougandaises veste la partie Est de Beni téritoire. !
Dépuis plusieurs jours, les habitants de la chefferie de Watalinga, frontalière avec l'Ouganda en territoire de Beni font état d'une concentration des troupes de l'Uganda People Defence Forces à la frontière avec la RDC. Des mouvements suspects des personnes d’origine indéterminée à direction des zones de massacres. C’est le cas de 9 personnes, conduites par un certain HARERI MATERERUZAZA, arrêtées à Butembo en date du Jeudi 19 mai 2016. D’autres recherches menées par les organisations locales de défense des droits de l’homme notent une traversée clandestine de ces troupes Ougandaises sur le territoire Congolais.
Le Centre d’étude pour la promotion de la paix et des droits humains, Cepadho, une structure qui documente les violations de droits de l’homme au Nord-Kivu a mené une réflexion sur cette présence décriée de l’armée Ougandaise sur le sol Congolais.
La motivation qui pousserait l’Ouganda à intervenir militairement au Congo pourrait se justifier par le fait que ce pays dirigé par Yoweri Kaguta Museveni aurait indiqué que le territoire de Beni en RDC regorge des bases arrière d’un groupe terroriste, prêt à frapper en Ouganda. La sécurité aux frontières dans la zone frappée par les atrocités des ADF présumés a été au centre d’un atelier qui a réunis les acteurs étatiques et non étatiques en Ville de Butembo du 20 au 21 janvier 2016, des chefs de groupements, chefferies et Secteur ainsi que de leaders de la Société Civile de Beni Territoire. Cette initiative vise à mettre un frein aux multiples incursions étrangères des ADF présumés et autres gangs qui massacrent les populations civiles dans l’est de la RDC qui parfois font des incursions depuis l’Ouganda via les Secteur de Rwenzori et les Chefferies de Watalinga et Bashu, a annoncé Omar Kavota, Coordonateur du CEPADHO qui organisait ces assises. C’est une suite des concertations dites des retraites initiées depuis mi janvier et qui avaient d’abord réuni des notables du Groupement Bambuba Kisiki, le cœur même des massacres des populations civiles en Territoire de Beni. 98% des massacres ont été connus en Groupements Bambuba Kiski en Secteur de Beni Mbau. Pourquoi ? C’est la question que se posaient les participants et la réponse a été que la collaboration et les complicités locales ont beaucoup favorisé la persistance de cette insécurité.
Mettre un frein aux incursions depuis les pays voisins
Au cours de ces assises tenues en Ville de Butembo, les participants ont aussi été appelés à mettre fin aux complicités internes qui favorisent les incursions depuis les pays voisins. Les incursions étant surtout notées vers les zones de l’Est. En effet, dans cette vaste zone qui sépare la RDC de l’Ouganda, en Cheval entre la Chefferies de Bashu et les Collectivités Secteur de Rwenzori ainsi que Watalinga, sont régulièrement signalées des incursions des hommes armés qui ensuite vont coaliser avec quelques complicités locales pour semer l’insécurité par des massacres des populations civiles dans le Secteur voisin de Beni Mbau en Territoire de Beni avait déploré un acteur étatique des services de sécurité sui a ensuite obtenu les promesses des acteurs de la Société Civile.
– A Kinyondo, Localité Bunyangingi, Groupement Itala, Chefferie des Batangi en Territoire de Lubero où des éléments FDLR ont traversé avec des armes sans être inquiétés par les services de sécurité dans la nuit du 20 au 21 mai 2016 ;
– Près du confluent des rivières Semuliki et Lamia, en Groupement Banande-Kainama, Chefferie des Watalinga, Territoire de Beni où plus de 400 hommes en armes ont été appréhendés en date du mardi 15 mai 2016.
– A Kididiwe, extrême-Est de la Commune de Ruwenzori, en Ville de Beni, des militaires FARDC ont été alertés en date du 19 mai 2016 mais sont arrivés en retard lorsque les assaillants s’étaient déjà repliés à Vemba situé à environ 12 km, dans le Groupement Batangi-Mbau, Secteur de Beni-Mbau en Territoire de Beni. Les massacres
Depuis octobre 2014 jusqu’à ce jour, vous êtes confrontés à des massacres horribles. D’après les informations dont nous disposons, des citoyens paisibles et désarmés ont été enlevés et assassinés dans des villages du territoire de Beni. Des incursions nocturnes d’hommes armés ont eu pour conséquence que des personnes ont été enlevées, d’autres tuées, ainsi que des pillages d’argent, de chèvres et de volaille. Ces meurtres sont odieux : certains ont la gorge tranchée ; les bras de beaucoup d’enfants sont tranchés, certaines femmes sont violées puis éventrées et plusieurs familles entières sont massacrées. Les victimes sont tuées brutalement avec des machettes, des couteaux ou des haches. Ces tueries ont atteint le diocèse de Bunia depuis janvier 2015.

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