Un camp des combattants Maï Maï démantelé et détruit par les vaillantes FARDC à Kabasha à 12km au sud de Beni, dans les combats de deux jours qui a commencé le jeudi dernier 20 octobre 2016. La perte serait énorme dans le rang des miliciens selon Mac Azukay, le porte parole d'opération Sukula 1 dans la région de Beni. Selon la même source, 12 combattants Maï-Maï abattus aux escarmouches diurnes du jeudi 20 octobre 2016, en profondeur de Kabasha à 12 Km Sud de Beni vers Butembo. 11 corps ont été nuitamment évacués par un véhicule Kamaz militaire, le 12 ème corps traine encore là à Kabasha. Visiblement c'est un groupe religieux politico-militaire car les 4 drapeaux y trouvés parlent mieux clairs... La fouille continue suivant des traces de sang. Tandis-que les fardc n'ont encaissé qu'un seul cas de blessure d'un homme de troupe, donc son état est hors de danger. Ces 11 premiers corps ont été déposés à la chambre mortuaire de l'HGR de et à Beni. ( correspondant occasionnel de HMM Habari Motomoto à Beni ). Mais selon l'ASADHO, une ONG de défence des droits del'homme agence de Beni-Ville, qui précise que, les victimes de dernier combats à Kabasha, sont des habitants civile et, c'est ne sont pas des Maï Maï ! Selon la même source, les membres de cette srticture accusent les millitaires Fardc, de massacrés les gens de Kabasha, une localité situé dans la partie Sud-Ouest du térritoire de Beni vers l'Est dela République Démécanique du Congo, dans la province du Nord-Kivu : Les Mai-mai se battent contre les FARDC venus ravitailler les égorgeurs. Les occasions exposant la complicité de l’armée gouvernementale congolaise en faveur des tueurs génocidaires de Beni ne font que se multiplier. Le paradoxe le plus scandaleux, l’ironie des faits, c’est que les forces publiques sensées assurer la défense de l’Etat et ses patrimoine, du peuple et ses biens, sont devenues le plus grand ennemi des cibles de leur protection. C’est le renversement incompréhensible de la réalité : il faut protéger l’ennemi de la population et l’aider à causer le plus de dégâts possibles parmi les innocents civils sans défense. Les patriotes Mai-mai, après une période relativement trop longue de patience due à la confiance qu’un peuple doit à l’Etat et à ses dirigeants, viennent de comprendre finalement que la Nation est trahi, et que le peuple Nande est sacrifié à l’extermination. Ainsi, se sont-ils levés avec détermination pour effacer cette page noire qui s’inscrit depuis deux ans d’affilé dans l’histoire de Beni-Lubero. Ces « héros » de l’auto-défense populairesont en train d’identifier avec précision les lieux du retranchement des égorgeurs, à partir du 15 octobre 2016, jour de la sortie officielle desdits patriotes contre les forces du mal qui déciment leurs frères et sœurs à Beni. C’est dans le domaine privé du président Joseph Kabila de Kabasha, c’est-à-dire dans la ferme qu’il a acheté auprès de CAPACO (Monsieur NGEZAYO) que les Mai-mai ont identifié une des plus grands foyers des égorgeurs de Beni.

Aussi, ce 20 octobre 2016, se sont-ils lancés à leur trousse, prenant en cible les différents campements de ces inciviques dans cette ferme. Cette opération a conduit les patriotes Mai-mai à investir tout le village de Kabasha (environ 5 km de la ville de Beni) où des fouilles systématiques ont été engagées pour ne point donner la chance d’évasion à l’ennemi.
Cependant, grand sera l’étonnement à la fois de la population locale et des patriotes en constatant, dans la mi-journée, l’arrivée des troupes FARDC garnies jusqu’aux dents, non pas en renfort à la traque des égorgeurs, mais plutôt en aide à ces derniers par une fourniture impressionnante d’armes et munitions. Ce ravitaillement a été effectué publiquement. Et, comme si cela en soi n’était encore que peu, les FARDC ont dû amorcer eux-mêmes une attaque musclée contre les patriotes pour permettre aux égorgeurs de rehausser à nouveau la tête et de se redresser. Le bilan provisoire fait état de trois FARDC et six Mai-mai tués avec des blessés dans les deux parties antagonistes.
Voilà comment les FARDC sont en train de déjouer tout effort visant à défendre et à protéger les civils sans défense à Beni. Voilà comment l’Etat a transformé son autorité en un règne de la jungle et le territoire de Beni en une boucherie humaine.
Est-ce un tel régime qu’on peut aider à s’éterniser au pouvoir à la tête d’une Nation?
Kasoki Huguette
Beni
« On comprend ainsi le grave danger de toute rallonge au pouvoir de Joseph Kabila. Les congolais dignes de ce nom doivent refuser toute forme de transition.
À Kabasha la situation sur les différentes lignes des combats est relativement calme pour le moment dans la soiré du vendredi 21 octobre del'année en cours : mais l'armée dit avoir maîtrisé, les assaillants Maï Maï qu'ils ont mis en déroute par une surprise selon une source d'opération Sukula 1 dans la région de Beni ! Le Gouverneur Julien Paluku, au terme des deux jours d’une campagne de sensibilisation sur les enjeux sécuritaires dans la ville de Beni, a assuré ce jeudi 20 octobre « qu’il n’y a que les Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc) et les casques bleus de Mission onusienne pour la stabilisation de la RDC (Monusco) que nous avons pour nous aider à éradiquer le terrorisme qui gangrène la région de Beni ». Il n’ya que les Fardc et la Monusco qui ont la capacité d’éradiquer le terrorisme à Beni, selon Julien Paluku. L’autorité provinciale qui, deux jours, a attentivement écouté différentes couches sociopolitiques de la ville de Beni, s’est employée à décourager la communauté contre la philosophie selon les tatouages de jeunes appuyés par des amulettes et des gris-gris fétichistes rendent invulnérables contre toute arme des ADF.
« Le phénomène tatouage qui vient s’ajouter aux actes d’anthropophagies et de lynchages récemment décriés dans la région, constitue un danger pour toute la communauté Nande pourtant réputée pour son sens d’entreprenariat », a, en substances, conseillé le Gouverneur Julien Paluku avant de mettre en garde ses administrés de Beni-Lubero contre le risque du nivèlement vers le bas de tout un peuple.
Engagement unanime dans la sensibilisation.
Toutes les couches sociopolitiques consultées ce jour ont garanti leur détermination à s’impliquer dans la sensibilisation contre cette pratique de tatouage au vu des dangers qu’elle comporte à tous les niveaux.
Des délégués des confessions religieuses à la majorité présidentielle en passant par les délégués de jeunes, les associations féminines et le parlement d’enfants et tous ont fustigé l’initiative dangereuse de vouloir instituer un système d’autodéfense en lieu et place des instances ayant dans leurs attributions la sécurité des personnes et de leurs avoirs.
La sensibilisation par la voix des ondes, des campagnes en plein air ainsi que des séances spécialisées, constituent entre autres les actions envisagées par les uns et les autres afin d’étouffer dans l’œuf cette pratique dangereuse décriée à l’unisson.
Après Beni, Julien Paluku a mis le cap sur la ville de Butembo où, à peine arrivé, il a conféré avec toute la notabilité locale sur cette question d’autodéfense en gestation jugée préoccupante dans la sous-région. Selon la même source les millitaires Fardc contrôlent toute partie de la la localité de Kabasha où les combats àl'arme lourde et légère entre les soldat loyalistes dela République Démocrtique du Congo, Fardc, et les Maï Maï du groupe corp du Christ qui se sont affrontés de plus dans cette endroit du Sécteur de Rwenzorie, situé dans le Sud-Ouest du térritoire de Beni ! Face à cette situation, beaucoup des habitants à majorité des hommes, femmes, et des enfants, se sont déplacés vers des agglomérations le plus sécurisée du térritoire ! Pour rappel, des coups de balles des armes ont été entendu de part, et d'autres, dépuis l'après midi du jeudi qui a poussés les gens d'abandonnés leurs maisons habitation.

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