À MAYANGOSE, six civils ont été enlevés de nouveau, par les rébélles étrangers, du groupe Adf-Nalu, dans la journée du jeudi 10 novembre 2016 dans leurs champs : pour le moment, on ne sait pas là où, ils se trouvent au mains des inciviques des Adf qui térrorisent les habitants de Beni Ville et térritoire ce dernier temp, où les civils sont tués de plus en plus par ce même groupe des rébélles dans cette partie du Pay ! Selon Eriksson Luhembwe le correspondant dela radio top Congo fm, de Kinshasa : celui ci nous informe que, au moins Six personnes sont portés disparues dans la partie Nord-Est, en Ville de Beni, précisément à Mayangose, àl'Est dela République Démocratique du Congo, province du Nord-Kivu :

Nouvelle Tactique de la Guerre d’Occupation de Beni-Lubero: L’Enlèvement de plus en plus des Civils les six dernière années dans la région de Beni où, plus de 800 civils kidnapés, plus des tueries, les attaques des veillées mortuaires, les viols des femmes et des hommes, incendies des maisons, la destruction des récoltes dans les champs par des vaches brouteuses et sans frontières, braquages sur les routes, les forces de l’ennemi larguées dans la région poursuivent leur guerre psychologique contre les populations civiles par une nouvelle tactique, à savoir, l’enlèvement des civils. Cette tactique a certainement pour but de priver aux proches des victimes l’équilibre psychologique que procure le deuil chez les Nande. En effet, le deuil chez les Nande permet à la famille éprouvée de se refaire psychologiquement et d’intégrer, à la longue, la mort dans le train normal de la vie et de repartir. Cela n’est pas le cas quand il s’agit de l’enlèvement d’un être cher qui entretient le qui-vive et maintient les proches des victimes dans l’angoisse et la peur : Notre proche est-il encore vivant ou mort ?
C’est ainsi que les observateurs pensent que l’ennemi voudrait utiliser la technique de l’enlèvement pour déstabiliser davantage les populations civiles de Beni-Lubero dont le pacifisme au milieu des massacres dont elles sont victimes laisse perplexe. En effet, depuis 1996, les survivants de la guerre d’occupation tiennent miraculeusement la tête haute en dépit du grand choc provoqué par les actions déstabilisatrices énumérées ci-haut. SOS à Butembo : selon une source de Veranda Mutsanga, un groupe des Maï Maï font des patrouilles la nuit comme journée et ravissent armes, encore une arme ravie à un policier ce mercredi 09/11/2016.
Ce qui se passe en ville de Butembo, on croirait être devant ce que l’on peut qualifier de théâtre de chez nous !
Les forces négatives, installées dans la ville et ses environs agissent comme si rien n’était, et présentement ce sont les agents de l’ordre qui sont leurs cibles.
Dans la nuit du 03/11/2013, ils ont sillonné le nord de la ville de Butembo, et faire 2 morts parmi les policiers, ravir 3 armes, et kidnappés 2 autres policiers, jusqu’en pressent ces policiers restent dans une destinations inconnue.
Dans la journée du 08/11/2016, les habitants de vers KITATUMBA ont signalé leurs présence vers le cimetière de KITATUMBA avec armes, et ce jours là, selon nos sources, des traces selon lesquels ces miliciens viendraient saboter l’enterrement de ces policiers auraient été visible dans certains coins de la ville.
En pleine journée du 10/11/2016, vers 14heures, un groupe d’une dizaine des mai mai ont ravi une arme à un policier en commune BULMENGERA, en pleine journée, sur la barrière de KUNGUTHA, et pour craindre de sa vie, il a remis l’arme sans autres forme de procès, en présence des gens qui fresquiste cette route. Nos sources rapportent que, deux garçons ont été pris de force par ces miliciens leur demandant de leur montrer le chemin de vuthungera.
N.B : les sources e la cellule antiterroriste rapporte que, ce groupe serait entrain de se préparer pour aller frapper le groupe qui est au mont KARMEL. DECLARATION DE LA COORDINATION URBAINE DE LA SOCIETE CIVILE DE BUTEMBO FACE A LA SITUATION SECURITAIRE DU MOMENT
C’est avec grand intérêt que la coordination urbaine de la Société civile de Butembo est en train de constater la dégradation progressive de la situation sécuritaire qui prévaut dans la ville et ses environs. Cette situation observée aux alentours du Mont Kisevere (dit Mont Carmel) vient aggraver la misère de la population causée par des tueries observées en ville de Beni et en territoires de Beni et Lubero. Depuis bientôt un mois les habitants de Butembo sont déstabilisés et vivent au jour le jour la peur au ventre.
En effet, il sied de rappeler que,
- Alors qu’en date du 15 octobre 2016 les FARDC voulaient déloger les miliciens maï-maï du Mont Carmel, deux enseignants et deux élèves du Complexe Scolaire Mwamba en ont été victimes avec plusieurs blessés ;
- Jeudi 3 novembre 2016, les Forces Armées de la République Démocratique du Congo ont lancé de nouveaux les offensives contre la même cible. Cette action qui visait à déloger ces maï-maï a malheureusementabouti à leur dispersion au lieu de les maîtriser. Les conséquences en sont multiples : le danger reste permanent ; la population vivant aux environs de la montagne est obligée de se déplacer, abandonnant ainsi ses biens exposés au pillage ; on assiste impuissamment aux multiples cas de violation des droits humains et à la recrudescence des cas de justice populaire; …
- Le même jour, vers 23 heures, des personnes non autrement identifiées ont fait incursion au sous-commissariat de la PNC/FURU tuant ainsi deux policiers commis à la garde, enlevant un autre et blessant plusieurs. Cette situation a plongé toute la ville dans une panique généralisée.
La Société Civile coordination urbaine de Butembo qui s’en préoccupe profondément.

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