Nord-Kivu le commandendement d'opération Sukula 1 interdit aux millitaires Fardc de publié sur les réseaux sociaux, les bilans des combats en cours entre les groupes armés et les forces loyalistes, dans le térritoire de Beni, et de Lubero vers la partie Est dela République Démocratique du Congo, en proie de plusieurs cas des tuerris, et d'autres crimes grave contre l'umanité dépuis octobre 2014, surtout dans la région de Beni où plus de 500 personnes ont été tués par les rébélles du groupe Adf-Nalu, présent dépuis des années, dans cette partie du pay, à nos jours : mais selon le journaliste qui est le coréspondant délaboration Radio Top Congo Fm de Kinshasa :
Mise en garde !
Le Commandement de l'Ops Sukola I Sud met en garde les Militaires qui communiquent dans les réseaux sociaux les secrets des opérations.
Il rappelle à tous que le bilan des opérations est classé " secret défense".
Tout Militaire qui s'illustrera dans l'organisation des fuites des secrets des opérations sera mis à la disposition de la Cour militaire opérationnelle.
Pour Skl I Sud
Capt Mak Hazukay Mongba/ Pp Ops Skl I :
Tout savoir sur l’attaque des inconnus contre le poste de police à Furu
Il faut d’emblée signaler que la situation sécuritaire de la ville de Butembo n’est toujours pas stable. Depuis jeudi 03 novembre, les habitants vivent la peur au ventre. Personne ne sait ce qui peut arriver à la population le lendemain. Des assaillants ont tué deux policiers et blessé deux autres en cellule Furu ce vendredi 4 novembre.
Alors que les habitants pensaient que déloger les maï-maï de la colline de KISEVERE en commune de Bulengera apporterait une solution palliative à l’insécurité en ville de Butembo, le contraire a été vécu vendredi 4 novembre à FURU, à l’entrée nord de la ville, après l’assassinat de deux policiers. Ce nième cas d’insécurité a davantage plongé les habitants dans un état d’angoisse.
Le matin de ce vendredi 4 novembre, une paralysie des activités commerciales a semblé gagner la ville et ce, dès l’annonce, par les médias, de l’assassinat de deux agents de l’ordre. C’est seulement vers 10 heures que la vie a repris normalement entre NJIAPANDA et le Parking la Victoire.
A FURU, la vie s’est arrêtée depuis l’attaque du sous commissariat de la PNC. Les trois stations service du carburant ne servent pas les clients. Les boutiques et kiosques restent fermés. Les civils sont cloués dans leurs parcelles. Seuls les agents de l’ordre sont visibles sur l’artère principale.
Vers 15 heures, les femmes vendeuses de vivres installent leurs marchandises le long de la route. Il s’en suivra quelques boutiques qui ouvrent leurs portes. A côté, on peut voir des débris du commissariat réduit en cendre et un dispositif sécuritaire important qui monte la garde.
En somme, les habitants de Butembo vivent toujours dans un état d’incertitude sécuritaire.
Ce que les combattants avaient dit avant l’attaque contre la cellule Furu…
Après l’attaque contre la position des combattants qui avaient déjà érigé leur position sur le Mont KISEVERE dit Mont Carmel jeudi 03 octobre 2016, l’un des responsables du groupe maï-maï qui vivait au Mont Carmel affirme que les FARDC ont lancé l’assaut après un échange qui a eu lieu les deux parties aux heures matinales.
« Ils ont cru que j’ai pris fuite, mais je connais qu’ils sont à la colline et maintenant je suis à Butembo mais, je n’en dis pas plus. S’ils m’écoutent, qu’ils sachent qu’ils m’ont provoqué. Nous avons parlé avec eux et nous leur avons dit que ce n’est pas bien de volier le sbiens. A eux de nous dire que nous allions empêcher leur agissement à la seule condition que nous soyons forts. Nous leur avons dit que nous ne sommes ps venus nous battre avec eux. Alors, comme ils sont venus se batre contre nous, tant mieux… », a-t-il fait remarquer dans un entretien téléphonique avec Radio Moto.
Cet homme se refuse de dire la direction qu’il a prise après avoir quitté le mont Carmel. Il enchaîne que son groupe est prêt à la riposte consécutivement à l’attaque de ce jeudi. A lui de poursuivre que son groupe visait aller chercher les présumés ADF dans la brousse de Beni et tous les ennemis. Objectif qu’il pense toujours aller matérialiser. Par ailleurs, certaines sources dignes de foi mentionnent que certains éléments maï-maï venaient de se retirer du Mont Carmel depuis peu. C’était après un échange y relatif. Information confirmée par l’un des responsables des maï-maï.
« Je ne vous dirai pas où je me retrouve. Mais nous allons faire notre travail, chercher les ADF et autres ennemis. Celui qui s’attaque à nous est aussi ennemi. Il est vrai que je venais d’envoyer certaines de nos troupes. Je suis resté là avec la dernière vague. Onc ces gens m’ont provoqué. Visiblement, ils attendaient que je diminue mes effectifs pour qu’ils me traquent… », explique ce chef des combattants.
A dire vrai quelques éléments des FARDC bien armés se dirigeaient encore vers le Mont Carmel l’après midi de ce jeudi 3 novembre 2016. Ils disent qu’ils ne peuvent pas abandonner une colline qu’ils venaient à peine de reprendre. Une source militaire indique que toute cette nuit, les FARDC sont bien positionnées sur le lieu. En fait, du côté Ouest de cette colline, nos reporters ont rencontré des éléments FARDC en opération. Nous avons voulu aller plus loin pour vivre ce qui se passe au sommet et au côté Est du mont Carmel, mais les FARDC ne nous ont pas accordé cette autorisation. Pendant ce temps, les habitants qui voudraient regagner leurs demeures doivent attendre un moment. Le temps pour les FARDC d’achever leur tâche de ratissage, conseille une source militaire.
Le Commandement de l'Ops Sukola I Sud met en garde les Militaires qui communiquent dans les réseaux sociaux les secrets des opérations.
Il rappelle à tous que le bilan des opérations est classé " secret défense".
Tout Militaire qui s'illustrera dans l'organisation des fuites des secrets des opérations sera mis à la disposition de la Cour militaire opérationnelle.
Pour Skl I Sud
Capt Mak Hazukay Mongba/ Pp Ops Skl I :
Tout savoir sur l’attaque des inconnus contre le poste de police à Furu
Il faut d’emblée signaler que la situation sécuritaire de la ville de Butembo n’est toujours pas stable. Depuis jeudi 03 novembre, les habitants vivent la peur au ventre. Personne ne sait ce qui peut arriver à la population le lendemain. Des assaillants ont tué deux policiers et blessé deux autres en cellule Furu ce vendredi 4 novembre.
Alors que les habitants pensaient que déloger les maï-maï de la colline de KISEVERE en commune de Bulengera apporterait une solution palliative à l’insécurité en ville de Butembo, le contraire a été vécu vendredi 4 novembre à FURU, à l’entrée nord de la ville, après l’assassinat de deux policiers. Ce nième cas d’insécurité a davantage plongé les habitants dans un état d’angoisse.
Le matin de ce vendredi 4 novembre, une paralysie des activités commerciales a semblé gagner la ville et ce, dès l’annonce, par les médias, de l’assassinat de deux agents de l’ordre. C’est seulement vers 10 heures que la vie a repris normalement entre NJIAPANDA et le Parking la Victoire.
A FURU, la vie s’est arrêtée depuis l’attaque du sous commissariat de la PNC. Les trois stations service du carburant ne servent pas les clients. Les boutiques et kiosques restent fermés. Les civils sont cloués dans leurs parcelles. Seuls les agents de l’ordre sont visibles sur l’artère principale.
Vers 15 heures, les femmes vendeuses de vivres installent leurs marchandises le long de la route. Il s’en suivra quelques boutiques qui ouvrent leurs portes. A côté, on peut voir des débris du commissariat réduit en cendre et un dispositif sécuritaire important qui monte la garde.
En somme, les habitants de Butembo vivent toujours dans un état d’incertitude sécuritaire.
Ce que les combattants avaient dit avant l’attaque contre la cellule Furu…
Après l’attaque contre la position des combattants qui avaient déjà érigé leur position sur le Mont KISEVERE dit Mont Carmel jeudi 03 octobre 2016, l’un des responsables du groupe maï-maï qui vivait au Mont Carmel affirme que les FARDC ont lancé l’assaut après un échange qui a eu lieu les deux parties aux heures matinales.
« Ils ont cru que j’ai pris fuite, mais je connais qu’ils sont à la colline et maintenant je suis à Butembo mais, je n’en dis pas plus. S’ils m’écoutent, qu’ils sachent qu’ils m’ont provoqué. Nous avons parlé avec eux et nous leur avons dit que ce n’est pas bien de volier le sbiens. A eux de nous dire que nous allions empêcher leur agissement à la seule condition que nous soyons forts. Nous leur avons dit que nous ne sommes ps venus nous battre avec eux. Alors, comme ils sont venus se batre contre nous, tant mieux… », a-t-il fait remarquer dans un entretien téléphonique avec Radio Moto.
Cet homme se refuse de dire la direction qu’il a prise après avoir quitté le mont Carmel. Il enchaîne que son groupe est prêt à la riposte consécutivement à l’attaque de ce jeudi. A lui de poursuivre que son groupe visait aller chercher les présumés ADF dans la brousse de Beni et tous les ennemis. Objectif qu’il pense toujours aller matérialiser. Par ailleurs, certaines sources dignes de foi mentionnent que certains éléments maï-maï venaient de se retirer du Mont Carmel depuis peu. C’était après un échange y relatif. Information confirmée par l’un des responsables des maï-maï.
« Je ne vous dirai pas où je me retrouve. Mais nous allons faire notre travail, chercher les ADF et autres ennemis. Celui qui s’attaque à nous est aussi ennemi. Il est vrai que je venais d’envoyer certaines de nos troupes. Je suis resté là avec la dernière vague. Onc ces gens m’ont provoqué. Visiblement, ils attendaient que je diminue mes effectifs pour qu’ils me traquent… », explique ce chef des combattants.
A dire vrai quelques éléments des FARDC bien armés se dirigeaient encore vers le Mont Carmel l’après midi de ce jeudi 3 novembre 2016. Ils disent qu’ils ne peuvent pas abandonner une colline qu’ils venaient à peine de reprendre. Une source militaire indique que toute cette nuit, les FARDC sont bien positionnées sur le lieu. En fait, du côté Ouest de cette colline, nos reporters ont rencontré des éléments FARDC en opération. Nous avons voulu aller plus loin pour vivre ce qui se passe au sommet et au côté Est du mont Carmel, mais les FARDC ne nous ont pas accordé cette autorisation. Pendant ce temps, les habitants qui voudraient regagner leurs demeures doivent attendre un moment. Le temps pour les FARDC d’achever leur tâche de ratissage, conseille une source militaire.
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