Nouvel attaque des rébélles du Adf-Nalu a été signalé à Kithevya en térritoire de Beni : Face à cette situation, les habitants d'Oicha ont été paniqués de plus après une nouvel incursion des rébélles des Adf-Nalu, dans l'après midi de ce lundi 31 octobre 2016, vers Kithevya une localité situé àl'Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : au dernier nouvel la radio Moto Oicha nous informe que, les Adf ont pillés tout les biens de valeur qui se trouvaient dans le centre de santé dela place, et des médicaments aussi sont emportés par les rébélles, ce qui a poussés des civils à majorité des hommes, femmes, et des enfants, en débandande de part et d'autres ! Beaucoup des gens ont abandonnés leurs maisons d'habitation craignant d'être victimes des rébélles qui cherchent toujours à faire finir les gens dans toute partie du térritoire de Beni de plus ! Pendant ce temp on nous signale aussi la mort d'une fillette qui a trouvé la mort lorsque les Adf ont tirés dans tout les quatres conté mais le bilan reste encore provisoire ! Un civile qui se trouve sur place de cette attaque, précise au micro dela Radio Moto Oicha, que pour le moment la situation est calme après rétrachement de ce groupe des hommes armés dans la brousse de cette localité la cible des attaques à répétion ce dernier années : selon une source locale, les habitants de ce coin ont vu des rebelles, probablement des ADF ce lundi vers 16h à Kithevya, 6 km Ouest de Oicha. Les militaires Fardc sont venu de s'y rendre. Et pourtant, la population les a brusquement vu, au centre de Kithevya. Pour le moment, ça chauffe et déplacement massif de la population vers Oicha centre. Déja on compte un blessé au conté de civile qui est à l'hôpital générale de référence de Oicha. Donc vive tensions s'observe au sein des habitants civils qui ont peur d'être victimes des actes des inciviques de ces rébélles qui térrorisent les populations en Ville et térritoire de Beni, dépuis 2014 à nos jours.

«Nord-Kivu menacé par des crimes internationaux», c’est le contenu du nouveau rapport de la CRDH dont voici l’integralité
1.CONTEXTE SECURITAIRE OU S’INSTALLE NOTRE SIEGE SOCIAL
La République Démocratique du Congo est un pays déchiré par plusieurs guerres importées entremêlées aux phénomènes qui maintiennent la population dans la pauvreté extrême suite à l’insécurité entretenue au quotidien contre des millions de Congolais. Pour un pays engagé dans une transition post-conflit avec un coût humain extrêmement élevés les défis sont énormes la restauration d’un niveau acceptable de la sécurité humaine est l’un de ces défis. Dans la plupart des provinces de l’Est de la RDC, plus particulièrement en territoire de Beni, la population continue à souffrir de l’insécurité permanente des violations de droits humains et des exactions de toute forme.
Pour pallier à cette situation, l’ONGDH/CRDH s’est engagée fermement mais se heurte aux défis de poursuite, des menaces par des services de sécurité ANR et des autorités politiques et militaires, les insuffisances des moyens matériels pour le reportage et le suivi des activités sur terrain.
C’est ainsi que la CRDH tend la main aux personnes de bonne volonté de l’appuyer financièrement et antérieurement pour qu’elle soit efficace sur terrain. Difficile cohabitation entre population et militaires loyalistes à Kokola
La cohabitation entre population et militaires des FARDC n’est pas au bon fixe à KOKOLA, village situé à près de 17 Km au Nord d’Oicha. Cela a été révélé à Radio Moto Oicha, mercredi 26 octobre 2016, par un habitant de KOKOLA qui a requis l’anonymat.
Cet habitant est parti du cas le plus récent qui s’est déroulé mardi dernier dans ce village. Selon lui, les militaires basés à KOKOLA ont refusé d’accompagner les hommes qui sont allés récupérer le corps du pauvre Anselme retrouvé la veille à KIMBAU, contrée située à près de 2 km à l’Est de KOKOLA dans un état de putréfaction très avancée, dépourvu de tête. Les hommes ont été déçus par cette attitude de militaires sénés, pourtant, protéger la population, indique notre source. Celle-ci dénonce d’autres pratiques de certains militaires incontrôlés qui s’adonnent à la récolte de vivres dans des jardins et parcelles de pauvres paysans ; aussi la montrée à flèche de cas de vol dans certaines maisons d’habitation de cas de vol dans certaines maisons d’habitation et maisons de commerce. Ce qui refroidit le mariage entre la population et les militaires à KOKOLA, souligne un habitant qui a requis l’anonymat. Il en appelle à l’implication des autorités militaires afin de rétablir les relations entre population et militaires à KOKOLA.
Contacté par Radio Moto, le commandant bataillon FARDC basé à KOKOLA rejette à bloc toutes ces accusations. Il informe que ses militaires reçoivent, non seulement leurs soldes, mais aussi la ration en quantité suffisante. Se référent à la situation de mardi dernier, le commandant bataillon FARDC basé à KOKOLA affirme avoir reçu la demande des hommes, ceux-ci devraient patienter pour qu’il reçoive l’autorisation de sa hiérarchie. Malheureusement, ils sont vite partis en brousse avant qu’il ne soit répondu. Pour lui, le mariage entre population de KOKOLA et militaires et au bon fixe. Butembo: La guerre médiatique provoque des conséquences.
La population des environs du Mont Kisevere dit Carmel vivent dans des conditions très déplorables à suite de la guerre médiatique qu'engagent ces derniers temps les autorités politico-militaires. Pendant ce temps, pas de cours dans les écoles environnantes : Institut Mumbo, Institut Alfajiri, E.P Kirivata, E.P Mulimo,EP Alfajiri...
Tenez,
- Jeudi 20/10/2016, devant les autorités politico-administratives et la notabilité de Butembo (société civile : coordination, FEC, confessions religieuses, presse ) le Gouverneur du Nord-Kivu lance une sommation contre les maï-maï de Kisevere.
Conséquences : déjà le jeudi 20/10/2016 des habitants riverains de Kisevere se jettent sur la route de l'exode vers les zones qu'ils estiment être éloignés du lieu où seraient traqué les rebelles.
- Une semaine après, alors que ces pauvres habitants commençaient à revenir dans leurs habitations, le Général Fall, commandant des Ops Sokola1/sud lance ce jeudi 27/10/2016 une 2e sommation avec ultimatum de 48h.
Conséquences : retours sur les chemins de l'exode sans une quelconque assistance ni de la part du Gouvernement, ni des organisations humanitaires.
- Samedi 29/10/2016, des tracts, signés Baraka qui se dit leader de ce mouvements, sont ramassés par-ci par-là.
De l'autre côté on parle maintenant de la recrudescence de l'insécurité en commune Bulengera. L'ONG FEPSI a réussi à documenter 14 cas de viol des femmes de la commune de Bulengera dans un intervalle de 14 jours. Les victimes sont essentiellementdes jeunes filles et des dames. Des cambriolage, n'en parlons même.
Qu'une solution urgente soit trouvée pour protéger la population civile victimes des plusieurs éxactions.

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