Partie Est de Butembo Ville toujours en proie d'insécurité causés par les Maï Maï dépuis trois semaines :

Butembo : La partie Est de la ville toujours dans le « qui vive sécuritaire »
Jeudi 3 novembre 2016, la ville de Butembo s’est réveillée sous une incertitude sécuritaire. Des coups de balle ont été entendus dans la partie Est. Malgré cette instabilité sécuritaire, les activités commerciales se sont déroulées normalement au centre ville.T
outes les galeries ont ouvert leurs portes, les maisons d’accueil, les pharmacies, les dépôts des vivres et le transport urbain ont connu leur mouvement normal. Une particularité a été observée dans les coopératives d’épargne et de crédit. Elles sont restées fermées toute la journée. Visiblement, les responsables craignaient des éventuels troubles.
En conséquence, les clients n’ont pas accédé aux guichets pour retrait et dépôt d’argent. En somme, la sécurité de la ville de Butembo est relativement calme. Toutefois, les habitants autour du camp militaire de RUGHENDA et ceux vivant dans les vallées de la colline de KISEVERE passent les jours difficiles avec la peur au ventre. Nombreux sont ceux qui ont abandonné leurs maisons pour se refugier soit chez leurs familiers soit chez leurs connaissances.
Déjà certains crient au vol de leurs biens. Les agents de l’ordre sont les premiers à être cités par les habitants. Certains que nous avons contactés disent avoir vu ce jeudi 3 novembre les militaires FARDC avec des chèvres voir des panneaux solaires. A ces désagréments, il faut ajouter l’arrestation et l’intimidation de certains passants par les militaires FARDC dans le quartier RUGHENDA.
Des milieux fantômes
Ce sont surtout les cellules situées aux environs du Mont Carmel au quartier Kyaghala qui sont devenues comparables maintenant à un village fantôme. La population a vidé cette entité. La plupart ont quitté cette entité le matin de jeudi 3 novembre 2016.
On croirait à un silence de cimetière. Toute la journée, on pouvait voir certains groupuscules des gens le long du tronçon Kyaghala-Kisebere dans l’incertitude du lendemain.
Butembo : l’autoproclamé,chef de milice mai mai, MUMBERE BARAKA Alias LOLWAKO, derniers occupants du mont CARMEL recherché par les autorités de la ville ! 5000 (cinq mille dollars) américains seront donnés à celui qui l’amènera vivant , selon l’esprit de cette lettre du maire de ville.


La partie Est de la ville toujours dans le « qui vive sécuritaire »
Jeudi 3 novembre 2016, la ville de Butembo s’est réveillée sous une incertitude sécuritaire. Des coups de balle ont été entendus dans la partie Est. Malgré cette instabilité sécuritaire, les activités commerciales se sont déroulées normalement au centre ville.T
outes les galeries ont ouvert leurs portes, les maisons d’accueil, les pharmacies, les dépôts des vivres et le transport urbain ont connu leur mouvement normal. Une particularité a été observée dans les coopératives d’épargne et de crédit. Elles sont restées fermées toute la journée. Visiblement, les responsables craignaient des éventuels troubles.
En conséquence, les clients n’ont pas accédé aux guichets pour retrait et dépôt d’argent. En somme, la sécurité de la ville de Butembo est relativement calme. Toutefois, les habitants autour du camp militaire de RUGHENDA et ceux vivant dans les vallées de la colline de KISEVERE passent les jours difficiles avec la peur au ventre. Nombreux sont ceux qui ont abandonné leurs maisons pour se refugier soit chez leurs familiers soit chez leurs connaissances.
Déjà certains crient au vol de leurs biens. Les agents de l’ordre sont les premiers à être cités par les habitants. Certains que nous avons contactés disent avoir vu ce jeudi 3 novembre les militaires FARDC avec des chèvres voir des panneaux solaires. A ces désagréments, il faut ajouter l’arrestation et l’intimidation de certains passants par les militaires FARDC dans le quartier RUGHENDA.
Des milieux fantômes
Ce sont surtout les cellules situées aux environs du Mont Carmel au quartier Kyaghala qui sont devenues comparables maintenant à un village fantôme. La population a vidé cette entité. La plupart ont quitté cette entité le matin de jeudi 3 novembre 2016.
On croirait à un silence de cimetière. Toute la journée, on pouvait voir certains groupuscules des gens le long du tronçon Kyaghala-Kisebere dans l’incertitude du lendemain. La population appelle les autorités à pacifier la ville et ses environs le plus vite possible.
Ces habitants déplorent le vol de leurs biens pendant leur opération de ratissage. Ils pointent les FARDC comme auteurs de cet abus dans la partie Ouest du mont Carmel.
Tracasser au lieu de sécuriser
S’agissant de certains cas de tracasserie décriés ce jeudi matin à Butembo, des responsables des FARDC indiquent n’être pas encore au courant de cette situation. Toutefois, ils invitent les victimes à dénoncer. Entretemps, les autorités militaires de Butembo promettent des sanctions exemplaires aux militaires qui se seraient rendus coupables des actes de pillage et d’extorsion des biens de la paisible population, de cette Ville du N/Kivu.

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