Quelques groupe des gens surtout des jeunes d'Oicha, cherchent à ce jour l'argent en se rendant dans les cimetières selon une source dela Radio Moto Oicha, qui nous informe que, ils se donnent à faire des sacrifices aux esprits des morts :

Territoire de Beni en Rdc: Des jeunes au désir excès de s’enrichir arrachent des croix au cimetière à Oicha
Des croix du cimetière de Kebi-Keba situé au quarteir Pakanza dans la commune d’Oicha chef-lieu du territoire de Beni ont été retrouvées, mardi 15 novembre, le long de la route sur l’axe Oicha-Mavete.
Ces croix visiblement arrachées par des personnes inconnues étaient placées l’une après l’autre du rond-point du cimetière jusqu’au centre de Mavete, localité se trouvant au village de Buloloma, dans la partie Est d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni ! Dans le térritoire de Lubero, une présence de rebelles Maï Maï simba du générale autoproclamé katembo kilalo a été signalé de plus, dans les villages voisins de cantine, dont makumbo a territoire de lubero secteur bapeure, groupement bapakombe puis mandelya groupement mwenye cheferie baswagha, en suite ce dernier aurais pris la diréction de montagne de mbiinga-masoya apres avoir incendier le bureau de la police, dela place, et puis ce groupe des milices ont exigés, une chèvre à l'autorité coutumière.
Dans la partie du térritoire de Beni, il est difficile d’acheminer jusqu’à Kainama les tôles données par le gouvernement provincial
Ce serait pourtant unouf de soulagement pour les sinistrés de Kainama en territoire de Beni. Le gouvernement provinciale du Nord-Kivu vient de remettre un lot des tôles a aux responsables des écoles de OKANEFU et à KPELE vers KAINAMA-centre. Les installations de ces établissements avaient été incendiées par des présumés rebelles de l’ADF en mars 2016.
La remise de cette assistance a été effectuée à Beni. Il faut encore les acheminer jusqu’à KAINAMA, la destination. D’où l’inquiétude des bénéficiaires qui ne savent pas comment ils vont y arriver dès lors qu’il n’y a pas de routes praticables.
« Les autorités militaires peuvent même contourner par Bunia pour atteindre KAINAMA »,propose le Président de la société civile de KAINAMA.
Les tôles réceptionnées sont de marque BG28 et sont au nombre de 300. L’assistance traine encore à Beni faute d’infrastructures soutières praticables. En Térritoire de Rutshuru : Un religieux de la famille Caracholini a été kidnappé par un groupe d'inciviques à Binza
C’est une nouvelle prise d’otage enregistrée en groupement de Binza du territoire de Rutshuru au Nord-Kivu. Il s’agit pour cette fois d’un religieux qui est en direction inconnue. Le frère Godefroid NGALYANDANDA de la congrégation des CARACCIOLINI, a été enlevé le matin de ce vendredi à Katwiguru, 28 km de Kiwanja sur la route Ishasha. Il se rendait à Goma pour une retraite.
Le serviteur de Dieu pris en otage se promenait dans une jeep de la paroisse de BINZA. Du coup, des hommes en armes ont intercepté cette jeep. La victime et son chauffeur ont tenté de se sauver, mais le frère Caracholin n’a pas pu effectuer une longue distance sans tomber par terre. Et là, ses ravisseurs l’ont pris pour le conduire dans la brousse. Les prêtres de la paroisse de Binza sont arrivés pour récupérer l’engin.
Le Frère NGALYANDANDA était sur le liste de ceux qui seront ordonnés diacres au cours de la première quinzaine de décembre prochain. Le supérieur des Caracholins à Nyamilima est resté injoignable toute la journée, mais c’est le fonctionnaire délégué du gouverneur à Nyamilima qui a confirmé cette nouvelle.
En Ville de Butembo, les cours ont effectivement redémarré à l’UCG depuis mercredi 16 novembre
Ce après quelques jours pendant lesquels les étudiants ont séché les cours « pour réclamer la réduction des frais académiques augmentés de 10% ». Certains étudiants ont été visibles dans les auditoires en train de suivre les enseignements.
Même le professeur MAFIKIRI TSONGO Angélus, recteur de cette université a dispensé cours toute la journée de ce mercredi. Certains étudiants demandent aux retardataires de bien reprendre le chemin de l’école.
« Nous venons de reprendre tout à l’heure dans notre promotion. La conjoncture à la fois économique, politique et sécuritaire est très précaire. Il est aussi évident que la santé des parents, la santé financière, n’est pas bonne. Et donc, lorsqu’on décide de hausser les frais, c’est pénible. L’UCG est ensuite une université privée, une université qui doit supporter presque toutes les charges. Ça fait ma joie de reprendre…Je demande aux autres de redescendre, de revenir à la raison et d’apprécier les choses telles qu’elles se présentent, de ne pas demeurer dans les nuages »,s’est réjoui un étudiant de première année de licence en sciences politiques.
Certains enseignants rencontrés au site de l’horizon entrain de dispenser les enseignements ont indiqué être à l’attente des étudiants dans leurs auditoires.
« Ce qui ne veulent pas venir, je crois qu’ils sont en train de perdre leur temps. Il est 15 heures et on va arrêter à 16 heures pour totaliser 8 heures. D’ailleurs, nous venons de passer une interrogation. Ils ont perdu tout cela inutilement… », a indiqué le Professeur MUTIVITI qui enseignait en troisième année.

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