Un nouveau combat entre les millitaires Fardc et les Maï Maï été signalé tôt le matin de ce jeudi à Butembo, après dernièrement ces de Kabasha : après quelques minutes d'accrochage, entre les millitaires Fardc, et un groupe des des miliciens, l’armée déloge un groupe des Maï-Maï du Mont Carmel selon une source d'un membre dela société civile dans cette agglomération situé dans le térritoire de Lubero, dans la province du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo : d'après Jeaul Paul Paluku Ngahangondi, un membre dela société civile d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, selon nos sources, les balles que vous attendez dépuis le matin de ce jeudi 03/ novembre 2016, l'assaut contre les occupants du mont karmel serait déjà lancer à partir de ce matin ! Toute fois, les millitaires fardc lourdement armés, ont entourés cette colline dépuis 04heures locale, et ils ont profité de cette détente des élèves pour fin 1ere période pour éviter les dégâts . Pour le moment, les habitants, restent prudent pour n'est être victime dans ces affrontements ! Les Forces armées de la RDC (FARDC) ont repris le contrôle du Mont Carmel sans trop de résistance dela part des Maï Maï sous équipes des moyens ont indiqué jeudi 03 novembre des sources sécuritaires en Ville de Butembo. L’ultimatum des Forces armées de la RDC lancé aux miliciens Maï-Maï identifiés comme membre de la secte « Corps du Christ » pour se rendre a expiré dimanche 30 octobre. A cette date, aucun adepte de cette secte n’a volontairement déposé les armes, renseignent des sources sécuritaires. Vendredi dernier, le commandant de la 34e région militaire et des opérations Sokola 1 Sud, le général Fall Sikabwe, avait sommé tous ces combattants à se rendre volontairement avant une offensive imminente des FARDC contre leur position sur la colline dite « Mont Carmel », 3 Kilomètres au Nord Est de Butembo. Les adeptes de la secte « Corps du Christ » ont ignoré cet ultimatum. La veille de son expiration, des tracts signés par un certain « général Baraka » et ramassés dans la ville de Butembo ont mis en garde les FARDC et la MONUSCO contre toute offensive contre les miliciens de cette secte. Les FARDC préfèrent se réserver de toute déclaration sur la fin de cet ultimatum. Pour sa part, le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, a souligné que les responsables de la Secte «Corps du Christ » tombent sous le coup de l’article 190 de la constitution qui interdit la création d’une rébellion ou d’une milice. Il a précisé que ces personnes seront traitées comme des miliciens ou des rebelles. Les adeptes de la secte « Corps du Christ » et les FARDC se sont affrontés jeudi 20 octobre à Kabasha, en territoire de Beni (Nord-Kivu). Onze personnes ont été tuées dans ces accrochages :

Les millitaires Fardc et les Maï Maï s'affrontent sur le Mont Carmel à Butembo, dépuis 5heures du jeudi 03 novembre 2016 pour l'heure difficile de savoir c'est qui se passe sur les différentes lignes de ce combat encours : signalons ici bas que c'est après avoir perdu 14 hommes à Kabasha et vu 11 des leurs être capturés par l’armée, selon le bilan communiqué par les FARDC, les rebelles de la milice « Corps du Christ » ont appelé leurs partisans à se retrouver au Mont-Carmel, à Butembo, pour prier et se restructurer en vue de mener de nouvelles attaques.
Le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, avait pourtant prévenu : les adeptes de la secte « Corps du Christ » qui se réuniraient dans le maquis de Butembo subiraient tôt ou tard le feu des FARDC. Faisant fi de ces menaces, Joseph Sikimwambe, porte-parole de la rébellion, a confirmé à la radio Kivu1 que les miliciens avaient quitté Kabasha pour se retrouver sur leur« colline sainte »de Mont-Carmel, où ils continuaient à recevoir de nouveaux adeptes avec lesquels des prières étaient organisées.
Recrutés à Beni et Butembo, les adeptes de cette secte religieuse armée dirigée par le pasteur David Murata ne sont intégrés qu’après avoir reçu un tatouage sensé garantir force et invulnérabilitéface aux présumés ADF. Car c’est bien pour combattre ces insaisissables rebelles d’origine ougandaise que cette milice, comme d’autres avant elle, s’est constituée, et qu’elle a mené sa dernière offensive à Kabasha, sur la route entre Butembo et Beni. dans cette ville, dizaine de cas de viol est enregistrés de plus à Bulengera en une semaine
L’aiguille est donc au rouge dans la commune Bulengera, une de quatre communes de la ville de Butembo. Selon une animatrice de la FEPSI, dans une semaine, 14 cas de viol ont été enregistrés dans cette municipalité. Le nombre peut être revu à la hausse vu que certaines victimes ne veulent pas se présenter aux soins.
La FEPSI demande aux autorités de barrer la route à ces malfrats, auteurs des violences sexuelles. Ces violences risquent d’être à la base des IST, alerte cette structure de défense des droits de la femme.
« Il y a incursion des hommes armés et masqués qui violent des femmes et emportent des biens. Les victimes n’ont pas voulu dénoncer certaines personnes. C’est pour cette raison que nous allons demander aux bourgmestres des communes de nous aider à identifier ces suspects »,a affirmé Jos2e SIRIWAYO.
Cette activiste des droits de la femme s’inquiète du fait que l’on ne sait pas qui sont les auteurs de ces viols.
« On soupçonne tantôt les hommes en uniforme tantôt les civiles. La population est violée à grande échelle dans la commune de Bulebgera de Kamisi Bonzo et à Carmeli », indique-t-elle tout en ajoutant qu’à part les 14 cas des viols, d’autres seraient des femmes qui ont peur de le dire à leurs maris.
La fois passé des coups de balle ont paniqués de plus la population de la partie Est de la ville.
C’était dans la nuit de lundi à ce mardi 1erNovembre. Plusieurs sources parlent de 4 tirs entendus vers 21 heures. Ce qui a plongé des habitants des quartiers Rughenda et Kyaghala dans une panique. Mais, rien n’est à craindre, rassure le commandant FARDC en ville de Butembo.
Le colonel BALINGENE alias B52 parle des inconnus qui, apparemment étaient en train de manier leurs armes pour les nettoyer. L’autorité militaire appelle toute la population au calme du moment où aucun dégât n’est à déplorer.
Coup d’œil sur la localité de KABASHA (axe Butembo-Beni) après des altercations entre les FARDC et les maï maï
Le constat fait par Radio Moto samedi 29 octobre est tel que la vie reprend dimidement dabs cette localité qui a été le théâtre des échanges des tirs entre l’armée et des combattants présentés tantôt comme des mai-mai, tantôt comme des adeptes d’une secte. Certaines boutiques et structures sanitaires ont repris leurs activités mises à part les écoles et certaines maisons abandonnées par les habitants lors des combats qui ont opposé les maï-maï aux FARDC jeudi 20 octobre dernier.
Selon d’autres habitants qui ont requis l’anonymat, ces combats avaient provoqué le déplacement des populations vers les zones sensées être sécurisées. Cependant, des miliciens qui faisaient face aux FARDC ont été délogés après d’intenses combats à l’arme lourde et légère.
« Sur le terrain, des militaires FARDC ont érigé trois camps militaires pour la sécurité des populations et leurs biens. Des coups de balle paniquent la population de la partie Est de la ville
C’était dans la nuit de lundi à ce mardi 1erNovembre. Plusieurs sources parlent de 4 tirs entendus vers 21 heures. Ce qui a plongé des habitants des quartiers Rughenda et Kyaghala dans une panique. Mais, rien n’est à craindre, rassure le commandant FARDC en ville de Butembo.
Le colonel BALINGENE alias B52 parle des inconnus qui, apparemment étaient en train de manier leurs armes pour les nettoyer. L’autorité militaire appelle toute la population au calme du moment où aucun dégât n’est à déplorer.

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