03 décembre de chaque année, partout dans le monde on célèbre la journée international d'Handicap :
Samedi 3 décembre est la 24e journée dédiée aux personnes vivant avec handicap. Aujourd' hui plusieurs handicapés le sont devenus après leur naissance à cause de la polio ou la rougeole et autres problèmes génétiques. D’autres encore ont connu des accidents au courant de leur vie pourtant nées sans handicap. A cotés des personnes vivant avec handicap qui mendient ou abandonnées, il y a ceux qui sortent de l’ordinaire inventent, créent des écoles ; sont des enseignants, acteur de développement et d’autres veulent même entrer dans la politique comme députés ou ministres. Nous vous proposons le témoignage d’une femme vivant avec handicap assez particulière, HORTENSE MALIRO, qui a créé une école appelée WE ARE THE WOLRD à BENI qui encadre aussi les enfants victimes de la guerre. Elle témoigne avoir réussi grâce à sa famille qui l’a aidée à comprendre sa condition et ce n’est pas un problème de vivre avec handicap.
Plusieurs personnes vivant avec handicap chez nous, pour surmonter la stigmatisation et la vie difficile, vivent de petit commerce entre Goma et Gisenyi. Et certains, contrairement à HORTENSE MALIRO, sont négligées a la fois dans leur famille et marginalisées dans la société. A travers le sport et leurs activités quelque peu lucratives affrontent un quotidien socio-économique pas de moindre.
Beni-Oïcha d’une deuxième vague de sept otages libérés du maquis des ADF. Sept personnes prises en otages puis libérées du maquis des ADF dans la région de Kayinama, dans le territoire de Beni, ont été accueillies le jeudi à Oïcha, chef-lieu de cette entité, ont révélé ce vendredi 2 décembre les sources administrativesà l’ACP. Cette deuxième vague qui arrive après la première de 13 personnes a été reçue par l’Administrateur du territoire, Amisi Kalonda, entouré des membres du comité local de sécurité.
Selon cette autorité politico-administrative, ces compatriotes qui portent à vingt le nombre des libérés grâce à la pression exercées par l’Armée régulière ont regagné, chacun, sa famille. Aucun signe de maltraitance n’était visible sur eux, a-t-il affirmé avant d’ajouter que l’Armée loyaliste a accentué la pression sur les hors-la-loi dont les grands sanctuaires sont déjà passés sous contrôle des Fardc.
La population de BAMBO dans la localité de Bwito en territoire de Rutshuru plaide pour le renforcement des éléments de l’ordre et des FARDC à appris l’ACP.
Cette population de plusieurs coins du territoire de Rutshuru s’inquiète de l’insécurité qui règne dans ces coins du territoire ou plusieurs cas d’enlèvements et massacres caractérisant leurs milieux.
Cet appel de renforcement des éléments de l’ordre et des FARDC intervient quelques jours après l’assassinat du chef de groupement de Valentin l’enlèvement d’un enseignant de l’institut Lunga en plein service depuis la semaine dernière ainsi que toutes les écoles de la localités sont fermées jusqu’aujourd’hui la famille ne dispose aucune nouvelle sur la victime et depuis ce temps les ravisseurs ne sont pas encore prononcer a joutons que certaines familles quittent cette localité à la recherche de milieu plus sécurisé.
Le commissaire général de la police congolaise semble innocenter le divisionnaire général adjoint de la police du Nord-Kivu VITAL AWASHANGO accusé de détournement de fonds de ménage de la Légion Nationale d’Intervention de OICHA. CHARLES BISENGIMANA, arrivé ce jeudi 1er décembre 2016 à Goma, a dit que ces accusations ne sont que des allégations et que VITAL AWASHANGO et ses coaccusés sont de bons commandants qui manquent à la population de Goma. A la question de savoir si la date de 19 décembre prévu pour le carton rouge par l’opposition radiale est une date fatidique ; le chef de la police congolaise a minimisé la menace en répliquant que le 19 sera une date comme toutes les autres et la police congolaise va sécuriser toute la population. Répondant aux journalistes, l’un des ex-otages a indiqué que leurs bourreaux auraient réitéré la revendication liée à une partie de terre congolaise acquise durant le régime de Mobutu, à l’époque du Zaïre.
Il s’agit des hommes et des femmes qui avaient été contraintes à transporter les biens pillés lors d’une attaque éclairent repoussée par l’Armée loyaliste le lundi dernier contre la localité de Kayinama. Dans la poursuite de l’ennemi, les Fardc étaient parvenus à neutraliser trois des assaillants qui s’étaient dilués dans la brousse située au pied du Mont Bleu du coté de la province voisine de l’Ituri. Cette visite d’inspection va me permettre de me rendre personnellementcompte du comportement des éléments de la PNC déployés dans la ville de Goma, à Kitshanga, à Rutshuru, Beni-Oicha dans le cadre d’assure la sécurité des personnes et de leurs bien sur toute l’étendue de la province, a indiqué le Général Bisengimana.
Informé des rapports lui fournis par les commandants des Unité l’hôte de l’Autorité provinciale s’est réjoui par le fait que désormais les éléments de la PNC travaillent aux cotés de la population.
Plusieurs personnes vivant avec handicap chez nous, pour surmonter la stigmatisation et la vie difficile, vivent de petit commerce entre Goma et Gisenyi. Et certains, contrairement à HORTENSE MALIRO, sont négligées a la fois dans leur famille et marginalisées dans la société. A travers le sport et leurs activités quelque peu lucratives affrontent un quotidien socio-économique pas de moindre.
Beni-Oïcha d’une deuxième vague de sept otages libérés du maquis des ADF. Sept personnes prises en otages puis libérées du maquis des ADF dans la région de Kayinama, dans le territoire de Beni, ont été accueillies le jeudi à Oïcha, chef-lieu de cette entité, ont révélé ce vendredi 2 décembre les sources administrativesà l’ACP. Cette deuxième vague qui arrive après la première de 13 personnes a été reçue par l’Administrateur du territoire, Amisi Kalonda, entouré des membres du comité local de sécurité.
Selon cette autorité politico-administrative, ces compatriotes qui portent à vingt le nombre des libérés grâce à la pression exercées par l’Armée régulière ont regagné, chacun, sa famille. Aucun signe de maltraitance n’était visible sur eux, a-t-il affirmé avant d’ajouter que l’Armée loyaliste a accentué la pression sur les hors-la-loi dont les grands sanctuaires sont déjà passés sous contrôle des Fardc.
La population de BAMBO dans la localité de Bwito en territoire de Rutshuru plaide pour le renforcement des éléments de l’ordre et des FARDC à appris l’ACP.
Cette population de plusieurs coins du territoire de Rutshuru s’inquiète de l’insécurité qui règne dans ces coins du territoire ou plusieurs cas d’enlèvements et massacres caractérisant leurs milieux.
Cet appel de renforcement des éléments de l’ordre et des FARDC intervient quelques jours après l’assassinat du chef de groupement de Valentin l’enlèvement d’un enseignant de l’institut Lunga en plein service depuis la semaine dernière ainsi que toutes les écoles de la localités sont fermées jusqu’aujourd’hui la famille ne dispose aucune nouvelle sur la victime et depuis ce temps les ravisseurs ne sont pas encore prononcer a joutons que certaines familles quittent cette localité à la recherche de milieu plus sécurisé.
Le commissaire général de la police congolaise semble innocenter le divisionnaire général adjoint de la police du Nord-Kivu VITAL AWASHANGO accusé de détournement de fonds de ménage de la Légion Nationale d’Intervention de OICHA. CHARLES BISENGIMANA, arrivé ce jeudi 1er décembre 2016 à Goma, a dit que ces accusations ne sont que des allégations et que VITAL AWASHANGO et ses coaccusés sont de bons commandants qui manquent à la population de Goma. A la question de savoir si la date de 19 décembre prévu pour le carton rouge par l’opposition radiale est une date fatidique ; le chef de la police congolaise a minimisé la menace en répliquant que le 19 sera une date comme toutes les autres et la police congolaise va sécuriser toute la population. Répondant aux journalistes, l’un des ex-otages a indiqué que leurs bourreaux auraient réitéré la revendication liée à une partie de terre congolaise acquise durant le régime de Mobutu, à l’époque du Zaïre.
Il s’agit des hommes et des femmes qui avaient été contraintes à transporter les biens pillés lors d’une attaque éclairent repoussée par l’Armée loyaliste le lundi dernier contre la localité de Kayinama. Dans la poursuite de l’ennemi, les Fardc étaient parvenus à neutraliser trois des assaillants qui s’étaient dilués dans la brousse située au pied du Mont Bleu du coté de la province voisine de l’Ituri. Cette visite d’inspection va me permettre de me rendre personnellementcompte du comportement des éléments de la PNC déployés dans la ville de Goma, à Kitshanga, à Rutshuru, Beni-Oicha dans le cadre d’assure la sécurité des personnes et de leurs bien sur toute l’étendue de la province, a indiqué le Général Bisengimana.
Informé des rapports lui fournis par les commandants des Unité l’hôte de l’Autorité provinciale s’est réjoui par le fait que désormais les éléments de la PNC travaillent aux cotés de la population.
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