Au Nord-Kivu : un corps sans vie d'un bebe a été retrouvé a Kyamboho sur l'axe Butembo Musienne, dans la partie Est dela République Démocratique du Congo. Le papa du bébé en est l'auteur du crime commis volontairement apres altercation avec sa conquibine qui lui avait remis le bebe. L'homme est en fuite et sa conquibine est arrêté. Dans la même endroit, poursuite de sensibilisation de la campagne bye bye Kabila interdite par le maire adjoint de Butembo où les policiers ont été visible hier dans le coins chauds de la ville. Ce dénient temp un groupe des millitaires Fardc indisplinnés de plus, recoltent les vivres de champ de civils a Bulambo a Beni. Ces derniers exigent les cultivateurs de transporter la nourriture jusqu à leurs logique. Dans la partie Est de Beni-Ville, la police de Bulongo a démantelé un reseau des bandits voleurs à main armés. Les 11 voleurs armés ont été arrêtés, le samedi 03 décembre 2016, par les policiers dela place. Les deplaces de Luhanga, sud du territoire de Lubero vivent dans de conditions difficiles a Kiwanja, territoire de Rutshuru. Ils passent nuit dans l' eglise catholique de Buturande et d'autres dans des salles de classe :

Butembo, la mairie interdit les activités des collectifs Filimbi, LUCHA, Parlements Débout etc...
Ces mouvements citoyens avaient prévus, d’organiser, une série d’activités pour rappeler au président de la République Joseph Kabila Kabange qu’il est fin mandat le 19 décembre 2016. Pour cè, ces mouvements ont rendu public un plan d’activités qui devraient être lancées ce samedi 03 décembre 2016 par une prière dans le cadre de la campagne BYE BYE KABILA.
Selon le maire de Butembo, cette interdiction, est justifiée par la situation sécuritaire fragile autour de la ville de Butembo et même au sein de la ville.
L’activisme des groupes Mai Mai a impacté négativement sur la sécurité de la Ville. Depuis bientôt 2 mois, des cas de vols à mains armées, viol, etc sont rapportés dans la ville et ses environs.
Cette interdiction annoncée par les autorités de la ville de Butembo est perçue par les initiateurs des cette activités ainsi que les ONGs des droits humains comme un risque d’entrave aux libertés fondamentales.
D’ores et déjà les initiateurs de cette campagne en Ville de Butembo, dénoncent des menaces à leur encontre par des individus s’identifiant comme des agents des services de sécurité.
Nord-Kivu : Plus de mille 500 déplacés en situation humanitaire très alarmante, précisement, à Kanyabayonga.
Ils dorment à la belle étoile dans la cour du bureau de la Commune de KANYABAYONGA en territoire de LUBERO. Ces compatriotes ont fui les villages de KASENGE et LUHANGA où des miliciens présumés Maï-maï avaient massacré, à l’arme blanche, une trentaine des personnes et blessé une vingtaine d’autres dimanche 27 novembre.
Selon des sources recoupées, jusqu’au 30 novembre 2016, il a été enregistré 1500 déplacés Hutus parmi lesquels 218 hommes, 159 femmes, 581 jeunes garçons et 542 filles. Ces derniers sont cantonnés dans la cour du bureau de la commune de KANYABAYONGA où ils passent nuit, à la belle étoile. Cela, dans des conditions déplorables, ont indiqué nos sources.
Les femmes et les enfants sont exposés, de plus, à des intempéries et des multiples risques de contamination, ont regretté nos sources.
Elles ont indiqué que ces déplacements massifs des populations se sont intensifiés après le passage d’une délégation provinciale qui est arrivée à LUHANGA le 29 novembre 2016 pour rassurer la population sur les efforts du Gouvernement provincial du Nord-Kivu de renforcer les mesures de sécurité en faveur de la population de LUHANGA.
Dans le même farde des informations, dernièrement, le calme est revenu depuis samedi 3 décembre 2016, dépuis le matin dans six villages du groupement Nyamaboko 1er en territoire de Masisi, dans la partie Sud du Nord-Kivu, après les affrontements qui ont opposé deux factions du groupe armé Maï-Maï Forces de défense congolaise (FDC). Ces combats ont occasionné le déplacement des habitants d’environ six villages de ce groupement il y a deux jours.
Selon des sources locales, le conflit entre le chef de ce groupe FDC, Luanda et un de ses adjoints, Tumusifu, qui venait de former une faction dissidente de FDC, a été l’élément déclencheur de cette violence.
Le chef rebelle Luanda aurait assassiné Tumusifu, quatre membres de sa famille et un de ses gardes du corps. Les deux camps se sont donc affrontés entre mercredi 30 novembre et jeudi 1er décembre, d’après les mêmes sources.
Les militaires loyalistes ont été redéployées dans la zone et les deux factions Maï-Maï en conflit se sont retirées des villages occupés. Selon la société civile, ces miliciens régnaient en maitre dans cette partie de Masisi depuis que la zone a été dégarnie des FARDC il y a 6 mois.
Ces combattants FDC vivaient des rançons perçues auprès des civils, déplorent des sources locales.
L’administrateur du territoire de Masisi affirme que depuis ce matin, un retour timide des déplacés est enregistré.
À GOMA : L’UNC se vide de ses membres dernièrement. La fédération Nord-Kivu du parti politique de VITAL KAMERHE est butée à des querelles intestines depuis une année. STEPHANE MASHUKANO, ancien porte-parole évincé de force a servi pendant quelques mois comme secrétaire fédéral urbain où il est resté stoïquement avant de jeter l’éponge. Il est soupçonné de flirter maintenant avec le RASSEMBLEMENT ; il a officiellement déposé sa démission avec son camarade chargé de la mobilisation BIGIRIZA NTOLE JULES ce samedi 3 décembre 2016. Selon des sources concordantes, 5 autres membres de l’UNC de Goma sont prêts à déposer leur démission la semaine prochaine. STEPHANE MASHUKANO ne cache pas sa déception qui l’a poussé jusqu’à la sortie.
Le BARAZA LA WA ZEE a terminé sa mission de sensibilisationdes populations à LUHANGA dans le sud-LUBERO après le massacre de 30 personnes. Maitre GEORGES FATAKI WA LUHINDI est revenu à Goma aujourd’hui après une mission périlleuse à LUHANGA, KIRUMBA, KANYABAYONGA, KIWANJA et RUTSHURU. Le président du barza intercommunautaire se dit satisfait car le déplacés de guerre sont en majorité rentrés chez eux à LUHANGA.

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