Bonne nouvel pour les familles de 7 habitants civile qui ont été enlevés, lors d'une nouvel incursion des rébélles du groupe Adf-Nalu, dernierèment, à Kainama, dans la partie Nord-Est du térritoire de Beni, en République Démocratique du Congo : selon une source dela RTM Oicha, qui vient de nous informé, dans son édition du journal de 19heures locale, en précisant que, les Adf ont libéres, sans condition nos frères qui étaient en captivité dépuis le lundi dernier le 27 novembre 2016, voilà, pendant la journée du jeudi 01 décembre, ils ont été rélachés ! Selon une source dela société civile dela place, tout ces gens, ont déclarés que, ils n'ont pas été torturés, pas de fouetage, ni de ligotage ! À lui d'ajouté que, tout les otages étaient en bonne santé, lors de rétours dans leurs localité Kainama ! Mais, malheuresement le chef de cette entité a perdu, son vie, àl'hôpital de Tchabi, suite à des blessures causé, par des balles tirés, par ce même groupe des rébélles ce jours là, ou six villages ont été attaqués simultanément par les ADF avec le pillage systématique d'un centre de santé de Kainama ! Les villages ciblés été notamment, Kainama, Kakuka, Manzati, Bango, Kpele et Kingamuviri, en Groupement Banande-Kainama, dans le Secteur de Beni-Mbau, au Nord-Est du Territoire de Beni. Selon les informations recueillies par le CEPADHO, les terroristes de l’ADF ont perpétré ces attaques à partir de 17h30 le soir de lundi 27 novembre courant, ou, ils ont opérés pendant environs 2 heures. Leurs cible principale était le Centre de santé de Kainama qu’ils devaient dépouiller de tout son stock en médicament. En effet, le Centre de santé de Kainama venait d’être approvisionné par la Zone de Santé d’Oicha. C’est juste après déchargement des stocks en médicaments reçus que les terroristes ont attaqué. Visiblement, ils suivaient tout le mouvement en rapport avec l’itinéraire de cet approvisionnement. Au cours de leur incursion, les ADF ont pillés de fond à comble le Centre de santé de Kainama : tous les médicaments ont été emportés, les équipements et les matelas de malades. Quant au bilan humain, nos sources parlent de 3 ADF tués lors des affrontements ainsi qu’un militaire-FARDCtombé sous les balles de l’ennemi au Centre de santé de Kainama où il était commis à la garde. Toute analyse faite, les ADF ont attaqué simultanément les 6 villages pour déconcerter les FARDC et couper la voie à tout éventuel renfort vers Kainama afin que le pillage du Centre de santé se passe paisiblement: une opération réussie par les rebelles. Pour le moment, la psychose règne dans les villages visités par les terroristes. Nombreux habitants de ces villages ont fuit massivement en destination de Boga et Tsabi dans le Territoire voisin d’Irumu, en province de l’Ituri. Un soldat des Forces armées de la RDC (FARDC) a été abattu et un autre blessé, la nuit dernière au cours d’une attaque des présumés rebelles ADF dans la localité de Kainama, située à 90 km de la ville de Beni (Nord-Kivu). Des sources de la société civile dans la région de Beni, ont rapportes que, les militaires ont tués trois assaillants, et récupéré une arme au terme de cette attaque selon une source dela Radiookapi. Avant l’intervention de l’armée, ces rebelles ougandais ont attaqué un centre de santé de Kainama, où ils ont emporté des médicaments, du matériel médical et les matelas avant de s’enfuir. Les militaires auraient ensuite poursuivi ces rebelles. Selon les mêmes sources, ces présumés ADF ont également attaqué les villages Bango, Manjati, Kakuka, Kingamuvuri et Kwele, voisins à Kainama. Les mêmes sources rapportent qu’un habitant de l’un des villages attaqués est porté disparu. Les habitants ont fui vers Tchabi et Boga dans la province voisine de l’Ituri. Cette nouvelle incursion des présumés ADF intervient le jour où l’administrateur du territoire de Beni, Amisi Kalonda, a débuté la campagne de sensibilisationcontre l’enrôlement des jeunes dans les groupes armés. Il a sillonné plusieurs villages et localités de Beni pour impliquer les notables, les leaders des confessions religieuses et plusieurs associations dans cette campagne. Depuis quelques jours, des groupes armés s’attaquent aux positions de l’armée et de la police dans cette région.

La présence des ADF-NALU dans la région de Beni, constitue un danger pour les populations riveraines, Voilà autant de menaces, autant de déstabilisationet autant d’agitation qui réduit les pauvres paysans autochtones à des déplacés perpétuels, sans aucune chance de trouver le moindre temps d’organiser les activités concourant à leurs subsistance.
Cependant, face à toutes ces catastrophes, aucune mobilisation ne se dessine ni au niveau national ni dans la sphère internationale,pouvant rassurer d’un souci ou effort à organiser la protection des civils innocents ni à diligenter une enquête dans le sens de dénicher ces « mains sales » en œuvre et les mettre définitivement hors d’état de nuire. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces de l’ordre et de sécurité dans le territoire de Beni. Plusieurs dépêches de ces derniers jours n’ont cessé d’alerter sur un mouvement intensif des hors-la-loi qui se sont dotés de la mission illimitée d’exterminationdes autochtones dans l’espace du territoire de Beni.
Depuis le 28 novembre 2016, il est observé un mouvement intensif de déplacement des civils fuyant le rayon de Kamango, précisément la localité de Katibombo, pour trouver asile dans celle voisine de Nobili.
En effet, à cette même date, vers 20 heures, heure locale, des assaillants bien armés ont surgi pour exécuter leur forfait habituel. L’attaque s’est poursuivie durant cette nuit-là qui ne pouvait espérer aucun secours de la part des soldats du gouvernement ni de la MONUSCO.
Le lendemain, le 29 novembre 2016, la même cloche de détresse a sonné sur la localité de Kainama où une violente attaque des égorgeurs a poussé la population locale à fuir leurs domiciles pour se réfugier au fond des buissons.
Au même moment une source policière alertait les agences de BeniLubero Online sur la présence des tueurs dans la périphérie ouest de la commune rurale d’Oicha, au niveau de l’endroit dénommé Mayi Mbuluku, près de l’Institut Babwisi/Mabasele, s’apprêtant à lancer un assaut sur la population de cette entité, ou les égorgeurs rôdent toujours de plus, autour de Kamango, dans la partie Est du térritoire de Beni.
En Ouganda, le Roi de Rwanzururu, Charles Mumbere fait face à plus de charges : selon une source du journale New Vision le plus proche du gouvernement ougandais ! http:// www.newvision.co .ug/new_vision/ news/1441210/ mumbere-charges.
Le porte-parole de la police, Felix Andrew Kaweesi a dit que l'accusé numéro un est le roi, et que d'autres accusations seront préférées contre lui après les enquêtes. La police a publié la liste des suspects dans les affrontements de Kasese arrêtés lors de l'opération de sécurité conjointe le week-end dernier.
Les affrontements qui ont éclaté entre les forces gouvernementales et les gardes royales de Rwenzururu ont coûté la vie à plus de 100 personnes, dont 16 policiers.
Mais la police a révisé le bilan à 62 gens del'ordre tués.
Pendant l'opération, le palais de Rwenzururu a été attaqué et le roi, Charles Wesley Mumbere, a arrêté et reste détenu au poste de police de Nalufenya à Jinja.Il a été accusé mardi d'un meurtre dans la cour du magistrat du district de Jinja.
Cependant, le porte-parole de la police Felix Andrew Kaweesi a dit que l'accusé numéro un est le roi, et que d'autres accusations seront préférées contre lui après les enquêtes.
"Ce dont il a été accusé mardi a été l'un des nombreux chefs d'accusation qui seront retenus contre lui après les enquêtes", a déclaré M. Kaweesi en s'adressant aux journalistes du quartier général de la police régionale de Rwenzori Est, dans la ville de Kasese, mercredi.
Kaweesi a déclaré que Mumbere et son groupe seront également accusés de terrorisme, d'aide au terrorisme, de destruction de biens et de meurtre après les enquêtes.
Il a nié les rapports circulant sur les médias sociaux que la police a dépouillé nues les femmes qui ont été arrêtées du palais d'Omusinga.
"Nous avons des gens qui étaient dans le palais et peuvent témoigner qu'ils ont vu les femmes nues avant même d'entrer dans le complexe", at-il ajouté.
Il a dit que la police avait obtenu des informations de renseignement que certains des gardes royaux avaient commencé le regroupement dans certaines parties du district.
"Mardi, nous avons ravagé des camps et récupéré deux canons et l'un d'entre eux s'est rendu et il est actuellement avec la garde de la police", a déclaré Kaweesi.

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