Dans le térritoire de Rutshuru au N/Kivu vive tension s'observe entre Nande et Hutu dépuis le dimanche soir à la base, un jeune Nande de 15 ans, décapité par des Maï-Mai Hutu : Face à cette situation dernièrement, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme s’inquiète des violences intercommunautaires signalées ces derniers jours au Nord-Kivu. Dans un communiqué publié lundi 8 février, sa porte-parole, Cécile Pouilly, se dit « alarmée » par des informations faisant état d’une escalade des violences intercommunautaires dans les territoires de Lubero et Walikale. Des violences qui ont fait au moins 21 morts, 40 blessés et 70 maisons incendiées au cours du week-end passé. « Nous avons aussi reçu des rapports sur des déplacements massifs de civils, des pillages, des enlèvements et au moins trois viols au cours des derniers jours », note-t-elle. Depuis plusieurs jours, les membres des communautés Hutu et Nande s’affrontent dans certaines régions de la province du Nord-Kivu, occasionnant des morts dans les deux groupes ethniques :
« Dernièrement, les tensions entre les communautés hutu et nande, qui sont en hausse depuis novembre dernier, semblent avoir atteint un niveau alarmant avec ces derniers incidents et pourraient engendrer des violences à grande échelle et davantage de déplacements », déplore Cécile Pouilly.
La porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme indique que les membres de ces deux communautés sont soutenus par des groupes armés. Les Hutus seraient soutenus par les FDLR alors que les Nandés bénéficieraientdu soutien des combattants traditionnels Maï-Maï.
« Ce qui rend la situation potentiellementencore plus explosive », affirme Cécile Pouilly qui demande au gouvernement congolais de prendre toutes les mesures possibles pour garantir la protection des civils et éradiquer la menace des groupes armés.
Deux voleurs des grands chemins ont été lapidés et un autre tabassé , en mort, par les habitants en colère au quartier Vutsundo en Ville de Butembo, au Nord-Kivu. L'effet s'est passé, dans la journée du dimanche 11 décembre 2016 selon des témoins qui étaient présent, dans ce coin, qui nous informent que, ces deux voleurs ont voulu, ravir la moto a un taximan qui les transportait. Alors cette information, a plus rapidement circulé, au sein des habitants de Vutsundo qui se sont rendu sur le lieu, et après ils ont arrêtés les inciviques et l'ont tabassé, de plus.
Au dernière nouvel, nous avons appris que, l'un, a succombé de ses blessures et l'autre a été amèné, a l'hopital de Matanda pour les soins, approprié.
Dans le même chapitre, toujours à Butembo, il y'a apparution d'un nouveau groupe de militaires à Rughenda dont leurs language est le swahili. on note que leurs tenus sont confondues à celles de nos militaires. voici leur designation: u.s.army. « la fois passé, toute les couches sociale ont promis au Gouverneur disposition d’interpeler les jeunes de mettre toute leur confiance dans notre armée prête à nous défendre », a garanti M. Cléophas Kahongya avant d’appeler chacun à s’acquitter, de ses obligations que d’entreprendre des actions pouvant ruiner sa propre vie.
En térritoire de Lubero, trois civils ont trouvés la mort, lors d'une incursion des miliciens Maï - Maï dans le groupement Baswagha dans le térritoire de Lubero, au Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo !
À Goma chef lieu dela province du Nord-Kivu : un homme a été tué d’une balle dans son estomac quand ses bourreaux lui ont tendu un guet-apens juste a l’entrée de sa maison au quartier Majengo. Henri NDIANABO SHAMAMBA travailleur à la RVA-GOMA était apparemment bien suivi par des criminels qui se seraient présentés comme ses connaissances. Le chef du quartier Majengo, Habawezi Maliro Germain dit que cet assassinat survient quand le quartier était déjà presque en sécurité.
À Butembo : la sur militarisation de la ville, panique de plus, les habitants, à la veille du 19/12/2016.
On a suivi une autorité sur les chaînes des radios en ville de Butembo disant que la ville de Butembo a une particularité, par rapport à la date du 19/12. Cette ville est infiltrée, et entourée par des forces occultes, selon cette autorité. On ne sait pas ce plane derrière les multiples groupes mai mai qui pullulent dans les environs de la ville de Butembo, et dans certains coins de la ville, avait souligné cette autorités, c’est ce qui explique ce déploiement des FARDC en ville de Butembo ! Selon une source digne de fois, un déploiement coteau des militaires FARDC, 5000 militaires, selon des sources bien informées, serait attendue en ville de Butembo en prévision de la date du 19/12, car c’est comme si les mai mai ne jurent que par frapper le 19/12, ainsi la mission de ce déploiement fou, aurait pour mission de faire face à ces mai mai. D’autres sources rapportent qu’une partie importante de ce deploiement serait déjà effectif, si certains sont cantonnés à RUGHENDA, d’autres sont cantonnés à MATEMBE, et dans plusieurs coins à la frontière de la ville.
Sachant, que, toujours après affrontement entre mai mai et FARDC, on assiste toujours à des pillages, des arrestations arbitraires, des tracasseries, des extorsions…. œuvre de certains FARDC, ceci met la population dans une peur indescriptible,et plusieurs personnes redoutent d’un pillage systématique de la ville de Butembo dans les jours à venir.
La véranda Mutsanga, appelle tous les congolais sur toute l’étendue de la République de rester toujours près pour arracher « leurs dignité longtemps bradé par les fossoyeurs de la république» !
« On comprend ainsi le grave danger de toute rallonge au pouvoir de Joseph Kabila. Les congolais dignes de ce nom doivent refuser toute forme de transition. En effet, au vu de ce qui se passe au Kivu-Ituri, toute transition au-delà de décembre 2016, donnerait du temps et des moyens au gouvernement congolais qui est, de toute évidence, complice de l’occupation rwandaise du Kivu-Ituri en cours, dans la partie Est dela République Démécanique du Congo».
La porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme indique que les membres de ces deux communautés sont soutenus par des groupes armés. Les Hutus seraient soutenus par les FDLR alors que les Nandés bénéficieraientdu soutien des combattants traditionnels Maï-Maï.
« Ce qui rend la situation potentiellementencore plus explosive », affirme Cécile Pouilly qui demande au gouvernement congolais de prendre toutes les mesures possibles pour garantir la protection des civils et éradiquer la menace des groupes armés.
Deux voleurs des grands chemins ont été lapidés et un autre tabassé , en mort, par les habitants en colère au quartier Vutsundo en Ville de Butembo, au Nord-Kivu. L'effet s'est passé, dans la journée du dimanche 11 décembre 2016 selon des témoins qui étaient présent, dans ce coin, qui nous informent que, ces deux voleurs ont voulu, ravir la moto a un taximan qui les transportait. Alors cette information, a plus rapidement circulé, au sein des habitants de Vutsundo qui se sont rendu sur le lieu, et après ils ont arrêtés les inciviques et l'ont tabassé, de plus.
Au dernière nouvel, nous avons appris que, l'un, a succombé de ses blessures et l'autre a été amèné, a l'hopital de Matanda pour les soins, approprié.
Dans le même chapitre, toujours à Butembo, il y'a apparution d'un nouveau groupe de militaires à Rughenda dont leurs language est le swahili. on note que leurs tenus sont confondues à celles de nos militaires. voici leur designation: u.s.army. « la fois passé, toute les couches sociale ont promis au Gouverneur disposition d’interpeler les jeunes de mettre toute leur confiance dans notre armée prête à nous défendre », a garanti M. Cléophas Kahongya avant d’appeler chacun à s’acquitter, de ses obligations que d’entreprendre des actions pouvant ruiner sa propre vie.
En térritoire de Lubero, trois civils ont trouvés la mort, lors d'une incursion des miliciens Maï - Maï dans le groupement Baswagha dans le térritoire de Lubero, au Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo !
À Goma chef lieu dela province du Nord-Kivu : un homme a été tué d’une balle dans son estomac quand ses bourreaux lui ont tendu un guet-apens juste a l’entrée de sa maison au quartier Majengo. Henri NDIANABO SHAMAMBA travailleur à la RVA-GOMA était apparemment bien suivi par des criminels qui se seraient présentés comme ses connaissances. Le chef du quartier Majengo, Habawezi Maliro Germain dit que cet assassinat survient quand le quartier était déjà presque en sécurité.
À Butembo : la sur militarisation de la ville, panique de plus, les habitants, à la veille du 19/12/2016.
On a suivi une autorité sur les chaînes des radios en ville de Butembo disant que la ville de Butembo a une particularité, par rapport à la date du 19/12. Cette ville est infiltrée, et entourée par des forces occultes, selon cette autorité. On ne sait pas ce plane derrière les multiples groupes mai mai qui pullulent dans les environs de la ville de Butembo, et dans certains coins de la ville, avait souligné cette autorités, c’est ce qui explique ce déploiement des FARDC en ville de Butembo ! Selon une source digne de fois, un déploiement coteau des militaires FARDC, 5000 militaires, selon des sources bien informées, serait attendue en ville de Butembo en prévision de la date du 19/12, car c’est comme si les mai mai ne jurent que par frapper le 19/12, ainsi la mission de ce déploiement fou, aurait pour mission de faire face à ces mai mai. D’autres sources rapportent qu’une partie importante de ce deploiement serait déjà effectif, si certains sont cantonnés à RUGHENDA, d’autres sont cantonnés à MATEMBE, et dans plusieurs coins à la frontière de la ville.
Sachant, que, toujours après affrontement entre mai mai et FARDC, on assiste toujours à des pillages, des arrestations arbitraires, des tracasseries, des extorsions…. œuvre de certains FARDC, ceci met la population dans une peur indescriptible,et plusieurs personnes redoutent d’un pillage systématique de la ville de Butembo dans les jours à venir.
La véranda Mutsanga, appelle tous les congolais sur toute l’étendue de la République de rester toujours près pour arracher « leurs dignité longtemps bradé par les fossoyeurs de la république» !
« On comprend ainsi le grave danger de toute rallonge au pouvoir de Joseph Kabila. Les congolais dignes de ce nom doivent refuser toute forme de transition. En effet, au vu de ce qui se passe au Kivu-Ituri, toute transition au-delà de décembre 2016, donnerait du temps et des moyens au gouvernement congolais qui est, de toute évidence, complice de l’occupation rwandaise du Kivu-Ituri en cours, dans la partie Est dela République Démécanique du Congo».
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