Il n’ y aura probablement pas d’ abandon des charges contre Moise Katumbi et Eugène Diomi Ndongala, en République Démocratique du Congo, si l'actuel président Joséph Kabila hors mandat. Deux des sept opposants présentés par le rassemblement comme prisonniers et exilés emblématiques, l’ ancien gouverneur et le président de la démocratie chrétienne pourraient ne pas avoir droit au chapitre. A en croire une source proche de l’ église catholique citée par actualite.cd, lors de l’ audience accordée hier à la délégation de la Cenco,le président Kabila a promis de répondre favorablement en faveur de cinq des sept noms déposés sur sa table par les prélats sauf les deux inéligibles, Katumbi et Diomi :

À en croire une source proche de l’ église catholique citée par le journale actualite.cd, de Kinshasa, lors de l’ audience accordée hier à la délégation de la Cenco, le président Kabila a promis, de répondre favorablement, en faveur de cinq des sept noms déposés sur sa table par les prélats sauf les deux inéligibles, Katumbi et Diomi.
Député élu de Kinshasa, le président de la DC avait quasiment été surpris, en pleines orgies libidinales en compagnie de mineures, deux filles d’une même famille que le candidat malheureux à la présidentielle de 2006 s’offrait depuis plusieurs mois. Dans sa propriété de la Gombe non loin du building de l’Onatra fut découvert un véritable « abattoir », le sol d’une pièce attenante au bureau du président de la Démocratie Chrétienne étant jonché de préservatifs et autres excitants. Une affaire qui eut tôt fait de se répandre dans la haute ville, sans beaucoup surprendre. Condamné à dix ans de prison pour viol avec aggravation, il médite son sort depuis au CPRK.
L’autre affaire à la fois délicate et ennuyeuse est relative aux poursuites judiciaires engagées contre Moïse Katumbi, l’ancien gouverneur de l’ex. province du Katanga, dans la partie Sud-Est dela République Dém du Congo. Pour atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat et pour escroquerie, dans la première, l’ homme d’ affaires est poursuivi par le Procureur Général près la cour d’appel de Lubumbashi. Il a en outre été condamné par le tribunal de paix de Kamalondo où l’avait attrait un sujet grec du nom de Stoupis Alexandros. Parti se faire soigner, il n’ est plus revenu. Depuis, il fait des navettes entre Paris, Bruxelles, Londres et Washinton et crie à un procès politique.
Mais pourquoi ces deux cas font exception? Pour le président Kabila, il s’ agirait d’ une question de moralité. Conséquences, Diomi et Katumbi pourraient ne pas être concernés par les mesures de décrispation, souhaitées par le rassemblement. Éligibles, Muyambo, Mbusa Nyamwisi, Lumbala, Anzulumi Bembe et Monidela se voient quitter le CPRK, du moins pour ceux qui y squattent. Tout compte fait, il revient à la commission des magistrats de décider car expliquait Lambert Mende, on devra procéder au cas par cas. Député élu de Kinshasa, le président de la DC avait quasiment été surpris en pleines orgies libidinales en compagnie de mineures, deux filles d’une même famille que le candidat malheureux à la présidentielle de 2006 s’offrait depuis plusieurs mois. Dans sa propriété de la Gombe non loin du building de l’Onatra fut découvert un véritable « abattoir », le sol d’une pièce attenante au bureau du président de la Démocratie Chrétienne étant jonché de préservatifs et autres excitants. Une affaire qui eut tôt fait de se répandre dans la haute ville, sans beaucoup surprendre. Condamné à dix ans de prison pour viol avec aggravation, il médite son sort depuis au CPRK.
L’autre affaire à la fois délicate et ennuyeuse est relative aux poursuites judiciaires engagées contre Moïse Katumbi, l’ancien gouverneur de l’ex. province du Katanga. Pour atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat et pour escroquerie, dans la première, l’ homme d’ affaires est poursuivi par le Procureur Général près la cour d’appel de Lubumbashi. Il a en outre été condamné par le tribunal de paix de Kamalondo où l’avait attrait un sujet grec du nom de Stoupis Alexandros. Parti se faire soigner, il n’ est plus revenu. Depuis, il fait des navettes entre Paris, Bruxelles, Londres et Washinton et crie à un procès politique. Mais pourquoi ces deux cas font exception? Pour le président Kabila, il s’ agirait d’ une question de moralité. Conséquences, Diomi et Katumbi pourraient ne pas être concernés par les mesures de décrispation, souhaitées par le rassemblement. Éligibles, Muyambo, Mbusa Nyamwisi, Lumbala, Anzulumi Bembe et Monidela se voient quitter le CPRK, du moins pour ceux qui y squattent. Tout compte fait, il revient à la commission des magistrats de décider car expliquait Lambert Mende, on devra procéder au cas par cas. Le voyage des évêques de la CENCO pour Rome fait partie de la tradition
Les évêques de la CENCO sont conviés par le Pape François 1er à se rendre dès demain samedi 17 décembre 2016 au Vatican. Selon une source digne de... Les évêques de la CENCO sont conviés par le Pape François 1er à se rendre dès demain samedi 17 décembre 2016 au Vatican. Selon une source digne de fois, ce voyage appartient à une tradition dans l’église catholique qui veut que tous les évêques se réunissent autour du Souverain Pontife la veille de Noël, en guise de préparation des festivités de la nativité du Christ.
Selon notre source, les évêques retournent dans leurs diocèses respectifs le 22 ou le 23 décembre de chaque année pour la célébration de la messe de Noël.
Il est donc essentiel de noter que le voyage des évêques à Rome demain samedi n’entre pas dans le cadre du dialogue en cours au centre interdiocésain de Kinshasa, même s’il n’est pas exclu que le sujet soit inévitablement évoqué.

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