Le nouveau dialogue politique de la dernière chance au sein des acteurs politique en République Démocratique du Congo, en vue avant la fin de la semaine ; La question de la gestion du pays après le 19 décembre, date marquant la fin du mandat présidentiel de Joseph Kabila, divise les deux camps. Les participants au dialogue, boycotté par une importante partie de l’opposition, avaient décidé que le président Kabila puisse rester en fonction et que l’élection du nouveau chef de l’Etat soit organisée en avril 2018. Ce round de négociations directes est l’ultime chance pour apaiser la très vive tension sociale qui s’observe en RDC, née de la non-tenue de la présidentielle dans le délai constitutionnel. Si ces échanges directs, comme les appellent la CENCO, entre les protagonistes de cette crise politique aiguë aboutissent. C’est alors qu’une rencontre historique au sommet entre Kabila et Tshisekedi pourrait se réaliser. (Lire le communiqué CENCO ci-dessous). La Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) annonce pour ce jeudi 8 décembre le début des discussions directes entre les participants au dialogue de la Cité de l'Union africaine et ceux qui n’y ont pas pris part. Les évêques catholiques ont fait savoir mercredi dernier qu’ils attendaient le dépôt des listes nominales des participants à ces travaux. «Du dépôt de ces listes nominales dépendra la suite des travaux», soulignent-ils. Les prélats catholiques font savoir qu’ils ont rencontré mardi dernier des représentants des composantes qui ont participé au dialogue de la Cité de l’Union africaine et celles qui n’y ont pas pris part. Le mercredi, la « journée a été consacrée aux contacts et au travail à l’interne», note un communiqué de la CENCO. Depuis la fin du dialogue le 18 octobre dernier, les évêques ont été chargés par le président Kabila de mener une mission de bons offices auprès des acteurs qui ont pris part à ce dialogue et ceux qui l’ont boycotté pour tenter de trouver un consensus. L'UDPS a boudé le "dialogue national" ayant débouché en octobre sur un accord entre la majorité présidentielle et une frange minoritaire de l'opposition consacrant le renvoi de la présidentielle à une date non fixée et le maintien au pouvoir de M. Kabila au-delà du 20 décembre en contrepartie de la nomination d'un Premier ministre issu de l'opposition. Le "Rassemblement" de l'opposition constitué autour de l'UDPS et une autre plateforme d'opposition formée à l'initiative du Mouvement de libération du Congo ont tous deux rejeté cet accord, exigeant un "véritable dialogue inclusif" dans l'esprit de la résolution du Conseil de sécurité sur le Congo votée en mars. Les négociations de la dernière chance devraient avoir lieu entre deux camps, l'un représentant les signataires de l'accord d'octobre, l'autre ses détracteurs, les évêques continuant leur "mission de bons offices". "On leur a demandé de présenter des listes de 15 personnes" chargée de négocier pour chaque camp, a dit à l'AFP l'abbé Masinganda. Du côté des signataires de l'accord d'octobre, Vital Kamerhe (opposition) et André-Alain Atundu (majorité) ont laissé entendre tous deux que les discussions devraient commencer vers "la fin de la semaine". Un porte-parole de l'UDPS a déclaré pour sa part que son parti avait fait "des concessions majeures" en vue de permettre cette table-ronde. Toutefois, le début de ce nouveau dialogue pourrait être retarder si les parties prenantes que sont notamment le Rassemblement, la Majorité présidentielle, l’opposition pro dialogue et le Front pour le Respect de la constitution, ne déposent pas à temps les listes nominales de leurs délégués respectifs à ce nouveau dialogue. Vital Kamerhe s’est déjà acquitté de cette tâche. On peut aisément penser que la journée de demain sera consacrée à la validation des mandats des délégués et si possible à l’adoption formelle de l’ordre du jour. Les principales familles politiques congolaises devraient se réunir avant la fin de la semaine pour des négociations de la dernière chance en vue d'une solution pacifique à la crise politique qui mine le pays, a-t-on appris mercredi de sources concordantes :

Le président Joséph Kabila reste là ! Et peut être il est aussi, sur les traces des président africains, comme Robert Mogabe, du Zimbabwe, Yoweri Kaguta Museveni, del'Ougand, Pierre Nkurunziza, de Burundi, Dénis Sasoungweso du Congo, Brazza, Ali Bongo Odimba, du Gabon, Paul Bia du Caméroon, et d'autres qui veulent diriger de 5 ans, jusque 40 ans, au pouvoir : À ce niveau d'étude, Kabila Joséph peut encore briguer, un troisième mandat ? Alors que, un groupe d'opposants en République Démocratique du Congo, veulent qu' il partirt le 19 décembre 2016 ! Mais à vraie dire ce n'est la réalité, selon les analystes politique nationaux, et internationaux ! Aujourd' hui, des quéstions se pose au sein des acteurs politique congolais, de part, et d'autres sur le départ ou pas del'actuel président dela République : mais selon Jean Paul Ngahangondi, un membre dela société civile en térritoire de Beni, la Cenco est trop mixte et sans position claire. Les évêques Congolais ne doivent en aucun moment et en aucune circonstance soutenir le séjour de Kabila au pouvoir après le 19 Déc. 2016. Ils devront plutôt négocier sa sortie pacifique et la reprise du dialogue pour identifier les coupables du retard des élections, du CHAOS sécuritaire et Financier en RDC, et de la destruction totale de la justice nationale. Et en dehors de ces questions, alors les gens discutent du comment gérer la trasition sans Kabila et sans, tout les saboteurs de la République, Et mettre sur pieds les structures des réformes multiformes globales des institutions de la RDC effectivement Démocratique, avec accent spécial sur la réconciliation et l'inclusivité. Si les évêques décident de faire les politiques de l'Autriche, eux aussi doivent être rejetés.
Tirant les leçons des violences survenues les 19 et 20 septembre, a-t-il ajouté, la Monusco a actualisé ses plans d'urgence et adapté son déploiement", afin de "protéger les civils autant que possible".
La Monusco a aussi déployé trois "équipes mobiles" à Lubumbashi, Goma et Kinshasa pour "surveiller les violations des droits de l'homme".
Mais, a-t-il souligné, "ces efforts ne seront peut-être pas tout à fait suffisants pour réagir de manière adéquate à des explosions graves de violence à caractère politique".
M. Sidikou note aussi que "les positions des acteurs clés, notamment la majorité présidentielle et le Rassemblement (coalition de la majorité de l'opposition) n'ont pas sensiblement évolué". La première s'en tient à l'accord politique conclu le 18 octobre avec une partie seulement de l'opposition et la seconde veut "un dialogue réellement inclusif".
A l'issue de la réunion, le Conseil devait adopter à l'initiative de la France une déclaration unanime appelant les acteurs politiques en RDC à "parvenir à un large consensus, en vue de l'organisation d'élections présidentielle et législatives libres, justes, crédibles, ouvertes à tous, transparentes, pacifiques et dans les meilleurs délais, menant à une transmission pacifique du pouvoir, conformément à la Constitution congolaise".
À quelques minutes de la fin du match le nouveau joueur venait de marquer le but de victoire. Il commençait à peine la célébration, mais rien n'a été indiqué au marquoir. L'action devra être rejouer. Tout le monde attend. Entre temps le joueur qui a reçu le carton rouge ne quitte pas encore l'aire de jeu malgré la pression des fans et des officiel.
Il vous sollicite de privilégier la paix et de le laisser au stade.
Territoire de Beni : Les déplacés de Rwahwa et Vurondo traversent un calvaire à Kitovo ! KITOVO est un village situé à presque 10 kilomètres à l’Ouest de Butembo au Nord-Kivu. Ce village connait une présence massive des déplacés venus des villages Rwahwa et Vurondo en territoire de Beni. Ils fuient les affrontements ayant opposé il y a quelques jours les FARDC aux miliciens maï-maï. Ils fuient aussi les actes de barbarie attribués à des militaires inconrôlés de l’armée loyaliste dans leurs villages. Parmi les déplacés séjournant à Kitovo, figurent des malades. Ils sont pris en charge par le centre de santé de la place. Au moins 9 de ces malades déplacés sont déjà soignés. En dépit de leur guérison, ils ne quittent pas encore leurs lits de malade. En cause, ces nécessiteux manquent de tout. Difficile pour eux de payer des factures de traitement médical leurs remises depuis quelques jours. Une femme de Vurondo est allée accoucher à KITOVO. Elle est obligée de rester au poste de santé parce qu’elle n’a pas d’argent. Son mari espérait avoir un peu d’argent pour la retirer sa femme de la structure sanitaire. Il imaginait vendre ses chèvres et des tôles qu’il gardait dans sa maison à Vurondo.
Malheureusementpour lui, des inciviques ont pillé ces biens pendant qu’il était en chemin pour aller les vendre au marché de Butembo. Fort de ce tableau alarmant, des habitants de Kitovo appelle les bonnes volontés à aider les déplacés de Rwahwa et Vurondo surtout les malades qui sont dans l’incapacité de quitter les lits de malade.

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