Nouveaux massacres des civils sont signalé, encore une fois, dans plusieurs villages, au Sud du térritoire d'Irumu, précisement, àl'Ouest dela localité d'Eringeti, en République Démocratique du Congo, province del'Ituri, selon un membre dela société civile locale contacté, par votre rédaction, dans la journée du mercredi 28 décembre del'année en cours ! Selon la même source, ces actes des crimes contre l'humanité, en cours dans cette endroit, porte les signatures des inciviques des rébélles Islamistes radicaux étrangers, toujours présent, dans le térritoire de Beni, à partir du quel, ils mènent des attaques meurtrière, contre les habitants civils de part, et d'autres, dépuis année, 2014 :

Les rébélles étrangers des Adf-Nalu, attaqués de nouveau, plusieurs localités de Samboko, au conté Sud-Ouest dela province del'Ituri, tout près de la partie Nord-Ouest du térritoire de Beni, selon, le chef d'antenne d'une ONG, la CRDH SAMBOKO monsieur MUPANDA +243851068890 . L'événement malheureux s'est, déroulé, dans la nuit du mardi au mercredi 28 décembre 2016.
Bilan provisoire fait état de trois civils massacrés, àl' armes blanche ! Au dernière nouvel nous avons apris que, la population vivant dans ce village, sont en débandade généralisee ! La plus part d'entre eux, sont entrain de quitter Samboko pour cause d y ne pas être victimes des carnages en cours dans la région de Beni, en proie d'insécurité grandissante d'où plus de milles personnes ont perdu leurs vie dépuis octobre 2014, à ce jours.
Dernièrement, au moins 49 civils ont été tués au Nord-Kivu pendant le weekend de Noël. Dans le territoire de Beni (nord de la province), un massacre imputé par les autorités à une rébellion ougandaise musulmane a fait au moins 22 morts à Eringeti et dans ses environs. Au moins 22 personnes ont été tuées à l’arme blanche samedi 24 et dimanche 25 décembre dans la région d’Eringeti au Nord-Kivu.
L'antagonisme entre communautés hutu et nande est exacerbé depuis plus d'un an par une série d'attaques de villages par des milices de chaque camp dans une zone couvrant les confins des territoires de Beni, Rutshuru, Lubero et Masisi, dans le centre du Nord-Kivu.
Les Hutu, rwandophones, sont largement tenus pour des étrangers par les communautés se considérant comme "autochtones" dans cette région, comme les Nande ou les Hunde.
Cette querelle sur la "nationalité" se superpose à des conflits fonciers liés à une migration vers le nord de cultivateurs hutu contraints d'abandonner leur terre du Sud de la province pour des raisons économiques liées au prix du foncier ou sous la pression de grands propriétaires. Car si les autorités congolaises accusent régulièrement les ADF d’être les auteurs des tueries, de nombreuses enquêtes indépendantes pointent également des responsabilitésau sein des forces armées congolaises (FARDC) et d’autres groupes armés. Certains officiers de l’armée régulière entretiendraient des complicités avec les groupes armés.
L’engrenage de la violence
Ces massacres sans fin dans les Kivu s’avèrent particulièrement emblématiques de l’instabilité récurrente qui perdure dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) depuis la fin du génocide rwandais de 1994. 20 ans après, environ 70 groupes armés pullulent encore dans la région, empêchant toujours 1,6 millions de réfugiés de rentrer chez eux. Une insécurité permanente et des massacres sans fin qui devraient rappeler aux politiciens de tous bords. Un nouveau site internet entend rendre hommage aux victimes civiles de Beni, en République démocratique du Congo. « Beni Files » sera, à la fois, un webdocumentaireet un mémorial virtuel. Ce site, qui doit voir le jour en février, rappelera qu’au moins 700 personnes ont été tuées dans cette ville du Nord-Kivu depuis deux ans.
Le futur site « Beni Files » repose sur une recherche colossale. La réalisatrice belge Elien Spiellebeen et son équipe congolaise ont parlé à 636 personnes. Ces survivants, témoins et proches des victimes leur ont donné les noms et parfois les photos de plus de 700 personnes qui ont disparu à Beni d’octobre 2014 à juillet 2016.
« On montre que ce sont vraiment les frères, les soeurs, les enfants, les parents de quelqu'un, qu'on parle vraiment d'êtres humains qu'on est en train de négliger, confie Elien Spiellebeen. On veut montrer des émotions, qu'on peut très facilement reconnaître. Des émotions très personnelles pour dire au monde : ce ne sont pas des chiffres, ce ne sont pas des inconnus, voici les vrais visages des victimes de ces massacres, à l'est du Congo, dans la région de Beni. »
Des histoires par centaines
Même si elle a recueilli des histoires par centaines, Elien Spiellebeen n’oubliera jamais celle d’une veuve dont les trois filles ont été tuées et les trois garçons sont, encore aujourd’hui, portés disparus. Ce qui n’a pas empêché cette mère, très croyante, d’adopter un bébé laissé pour mort sous des cadavres. « Elle pensait : "voilà, c'est mon sort. J'ai perdu mes enfants, mais Dieu m'a choisi pour prendre soin maintenant de ce petit orphelin". ». Dans l'est de la RDC, au moins 49 civils ont perdu la vie au Nord-Kivu depuis jeudi dernier, alors que les attaques de milices se multiplient dans la région. Ces attaques, sur fond de rivalités ethniques pour les unes et d'intrusion de rebelles ougandais pour d'autres, ont endeuillé une région souvent touchée par les violences.
Le 25 décembre, une milice de l'ethnie Nande a attaqué la localité de Nyanzalé, à une centaine de kilomètres de la capitale du Nord-Kivu, Goma. Treize civils Hutus sont décédés dans l'attaque, alors que trois des miliciens ont été tués un peu plus tard, lors de l'intervention des FARDC, l'armée congolaise.

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