Paralysie de toute activités sociaux-économique dépuis deux jours du Lundi, au Mardi, à Oicha chef lieu du térritoire de Beni, en République Démocratique du Congo : en effet, les portes boutiques, kiosques, magasins, écoles primaires et sécondaires, pétits commerce sont resté fermés de plus pour cause, un groupe des acteurs politique del'opposition, appéllent, le départ du président Joséph Kabila, puisque il est arrivé, au terme de son deuxième dernier mandat qui a pris fin le 19 décembre 2016 face à cette situation, un climat des tensions a été observé, entre les forces del'ordre, et un groupe jeunes gens, proche del'opposition, dans la nuit du lundi à ce mardi :

Une accalmie timide s'observe à Oicha après une nuit, très agitée, pour cause, des bruits des Sifflets, tambours, concert des Bidons, de par et d'autres, par un groupe des gens qui ont envahi, la route N0-4 et, quelques avenues :
La ville ressemble à une ville fantôme. Les habitants préfèrent rester chez eux pour dire au-revoir à Kabila selon la société civile, d' Oicha.
Par contre ceux dela majorité précisent que, le président Joséph Kabila va rester là jusqu'en l'instalation du nouveau président élu démocratiquement vers l'année 2018 prochain ! Tout est fermé : boutiques, magasins, stations de service.
En ville, on n’aperçoit que des forces de l’ordre et quelques journalistes. Elles quadrillent tous les points chauds de la ville.
C’est en fin de journée que les premières rumeurs ont circulé de commune en commune, de quartier en quartier.
Face aux forces policières et militaires, massivement déployées à, la population, qui n’était guidée par aucun mot d’ordre, avait improvisé une sorte de ville-morte, les activités ne se déroulant qu’au ralenti. Si la tension est montée, entre les et les forces de l’ordre, et un groupe des jeunes tout a passé une journée bien trop calme pour que les choses en restent ainsi.
Alors que tout était tranquille, des créputements à l’arme et légère été entendu à partir du quartiers, Bakaiku, Masosi, et Mbimbi, toujours à Oicha. Si c’est le calme qui a régné dans la commune rurale d'Oicha, tout au long d’une journée du 19 décembre particulièrement redoutée, c’est par un tapage nocturne généréalisée, fait de chants, de sifflets et de percussions qu’une grande partie des habitants civils d'oicha ont décidés d’accompagner Joseph Kabila vers les dernières minutes de son mandat présidentiel.
quelques rues d'Oicha chef lieu du térritoire de Beni d'où un groupe des habitants nous disaient, qu'ils célèbrent la fin du mandat de Joseph Kabila, qui été suivis par de nombreux quartiers, ont ainsi entamé aux alentours de 24heures 52", avec un concert de sifflets, de percussions et de chants réclamant le départ immédiat de Joseph Kabila. Face à cette situation, peut être dans l'objectif de tenter de disperser les jeunes, la police a fait usage de gaz lacrymogènes, et aucun tir à balles réelles n’a été confirmé à l’heure qu’il était, à Oicha. Les personnes que nous avons pu interroger, nous ont confié qu’elles ne reculeraient pas face aux forces de l’ordre, face auxquelles elles se disent prêtes à mener un bras de fer de longue durée.
Face à l’échec des tentatives de dialogue politique et au silence de Joseph Kabila sur son avenir politique, la République Démocratique du Congo s’engage dans une période d’incertitude qu’elle n’avait plus connue depuis de nombreuses années. En réalité, des jeunes avaient décidé d’approvisionner la population en sifflets pour célébrer à partir de minuit la fin effective du mandat de Joseph Kabila, qui fait toujours l’objet d’un rejet massif de la population. En effet, beaucoup des bruits ont été entendu de part et d'autres, dans leurs heures nocturne, d'où les forces del'ordre ont interpelés, quelques jeunes à majorité des jeunes garçons qui se sont mis, pour des actes des tapages dans les heures nocturne, jusque le matin du mardi 20 décembre 2016 ! Beaucoup d'entre eux, étaient visible sous le balcon du bureau dela PNC-OICHA avec des nombreux policiers, et millitaires Fardc, lourdement armés!
Pour le moment, on sait pas ce qui se passe à leurs sort, pourqu'ils puissent être rélâchés même dans les heures qui suivent.
En Ville de Beni àl'Est dela République Démocratique du Congo : L’armée congolaise (FARDC) affirme avoir repoussé, un groupe des hommes armés identifié, au miliciens Maï Maï la nuit de ce lundi 19 décembre 2016 une attaque contre la mairie de Beni située dans la commune Beu au Nord-Kivu.
L’attaque n’a fait aucune victime et aucun dégât matériel.
«Il y a eu des coups des balles des gens non encore identifiés cette nuit à la mairie de Beni. Les militaires qui assurent la garde sur place ont chassé les assaillants dont la motivation de l’attaque n’était même pas connu. Il y a aucune victime. Ils n’ont pas été appréhendés. Il y a aussi plein de bandits armés dans cette ville. Mais la situation est calme»,a dit le capitaine Mak Hazukay, porte-parole de l’opération Sokola 1 à Beni.
Un agent travaillant à la mairie de Beni indique que les autorités ne se sont pas encore clairement prononcées à ce sujet.
« C’est le maire lui même qui nous a alerté à 2 heures du matin pour annoncer qu’il y a attaque armée à la mairie. Et ce matin j’ai effectivement rencontré des militaires et policiers qui montent la garde, ils disent avoir repoussé les assaillants»,a-t-il témoigné au téléphone d’ACTUALITE. CD.
Des Mai-Mai ont attaqué le même lundi la ville de Butembo. Selon les responsables militaires, les assaillants avaient pour cibles la mairie, la prison centrale Kakuangura et l’état-major de la police à Butembo. Beni, entre ville-morte et coups de feu !

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