Un chef d'un groupe Maï Maï et un petit nombre de ses gardes se sont rendu, àla Base dela Monusco, dans le térr itoire de Lubero, àl'Est dela République Démocratique du Congo, dans la province du Nord-Kivu : C'est travers un communiqué rendu public dans la soirée, du mercredi 14 décembre 2016, que, la CEPADHO s’est félicitée de la reddition de Baraka Lolwako Mumbere ! Précisement, dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, en Ville de Butembo, d'où le chef des Maï-Maï Mazembe du Mont-Carmel s’est rendu, au millitaires dela Monusco dela place. C’est avec un très grand intérêt que le CEPADHO a appris de la reddition de BARAKA LOLWAKO, Seigneur de guerre et Chef des MAY-MAY/VURONDO, allié à la milice CORPS DU CHRIST qui avait investi pendant plusieurs jours le Mont CARMEL, en Ville de BUTEMBO. Notre Organisation qui se réjouit de cette reddition reconnaît qu’elle résulte essentiellementde la pression militaire menée contre les MAY-MAY dans le Grand-Nord du Nord-Kivu, ce dont elle félicite les FARDC. Le CEPADHO estime par ailleurs que la reddition de BARAKA LOLWAKO et les éléments de sa garde est aussi une réponse à la campagne qu’il réalise avec la Dynamique pour la Paix et le Développement (DPD), campagne entreprise depuis le début de ce mois dans le cadre 16 Jours d’activisme de Droits de l’homme. En effet, le CEPADHO et la DPD rappellent à l’opinion qu’ils poursuivent encore cette campagne pour la paix, à travers laquelle ils encouragent les populations du NORD-KIVU en général et celles de BENI-LUBERO en particulier à se désolidariser des groupes armés, à dire «NON» à une nouvelle guerre et à éviter toutes manifestations violentes. C’est pourquoi, eu égard à ce qui précède, nos deux Structures exhortent aux autres MAY-MAY en errance à BENI, BUTEMBO et LUBERO à emboîter le pas à BARAKA LOLWAKO. Cela en vue de préserver la paix et la sécurité des habitants de cette zone. En fin, nos Organisations appellent les Jeunes du Grand-Nord à éviter toute allégeance aux Groupes armés émergeant en ce lieu et à se méfier de toute initiative de déstabilisation. Ainsi fait à BENI, le 15 Décembre 2016; Pour le CEPADHO, Maître OMAR KAVOTA, Coordonnateur-Directeur Exécutif. Le maire de Butembo avait promis la somme de 5000 dollars américains à quiconque permettrait son arrestation. Baraka Lolwako Mumbere, tout jeune milicien se réclamant des Maï-Maï Mazembe, a activement participé à l’occupation du Mont-Carmel de Butembo, qui avait tenu en haleine les habitants de la ville pendant plusieurs semaines. Aux côtés des Maï-Maï ‘Corps du Christ’, principaux acteurs de cette période de tensions dans la région de Butembo, le« Général Baraka »et ses hommes prétendaient vouloir rallier Beni pour combattre les présumés-ADF à Mayangose. Après plusieurs tentatives de négociations, les FARDC avaient lancé l’assaut sur le Mont-Carmel, considéré comme sacré dans la tradition Yira. Suite à la libération de la colline par l’armée, les Maï-Maï, qui s’étaient dispersés dans Butembo, s’étaient rendus coupables de nombreux crimes, égorgeant notamment deux policiers, événement qui valut à Baraka Lolwako Mumbere de voir le fameux avis de recherche être lancé contre lui. Considéré comme le chef des Maï-Maï Mazembe, qui ont occupé le Mont-Carmel à Butembo en compagnie des Maï-Maï ‘Corps du Christ’ au mois d’octobre dernier, Baraka Lolwako Mumberes’est rendu aujourd’hui auprès de la MONUSCO à Beni, en compagnie de certains de ses hommes. # RDC: Chef des Maï-Maï de Mont-Carmel, Baraka Lolwako Mumbere se serait rendu aujourd’hui à la MONUSCO à Beni. pic.twitter.co m/WLeMtP15 pP — Dunia Kongo Media (@DuniaKongoMedia) 14 décembre 2016. PAGE NOIRE: Monsieur Kasereka Tengeneza Marcel[ex-president de la Société Civile de Kirumba] n'est plus depuis ce soir du 14/12/ 2016: il vient d'etre fusillé à l'entrer de son domicile à Kirumba/Kavoza par des personnes armées non autrement autrement identifiées. Son corps serait exposé jusqu'à présent à l'extérieur de son domicile en attendant les enquêtes des autorités compétentes. La CRDH Ville de Goma dénonce et exige des enquêtes sérieuses capables à dénicher les auteurs, les arrêter et les sanctionner conformément aux loi de la République. Fait à Goma, le 14/12/2016 MUYAYALO, Coordonnateur de la CRDH Ville de Goma.

Révélation sur les massacre de Luhanga: Le chef de localité de Luhofu- qui a été arrêté- et un sénateur sont accusés d’être les instigateurs de l’attaque de Luhanga. C’est l’une des conclusions de l’enquête de l'auditorat militaire supérieur près la cour militaire opérationnelle du Nord-Kivu sur l’attaque qui a fait en novembre dernier une trentaine de victimes parmi les civils dans ce village du Nord-Kivu.
Selon les conclusions de l’enquête rendues publiques mardi 13 décembre, le chef de localité de Luhofu aurait accusé les membres de la communauté Hutu de complicité avec les rebelles rwandais des FDLR.
Pour sa part, le sénateur incriminé aurait appelé en juillet dernier la communauté Nande de Luhofu à considérer les Maï-Maï Mazembe comme des « gardiens de la paix ». L’enquête de l’auditorat militaire met en cause ces miliciens accusés d’être les auteurs de l’attaque contre la localité de Luhanga.
Selon d’autres sources sécuritaires, les enquêteurs ont suggéré à l’auditorat général de saisir le ministre de la Justice pour solliciter auprès du Sénat la mise à la disposition de la justice du sénateur mis en cause.
Dans leurs conclusions, les magistrats militaires identifient les cultivateurs Hutu venus de Rutshuru et Masisi comme les victimes de l’attaque de Luhanga.
Ce village du groupement Itala, dans le territoire de Lubero, avait subi une attaque d’hommes armés le 28 novembre dernier.
57 présumés bandits aux arrêts sur les 69 criminels identifiés à Goma.
Le général François Kamanzi, commandant ad intérim de la 34èmeRégion militaire du Nord-Kivu, a indiqué au cours d’un point de presse tenu à son bureau que sur les soixante-neuf (69) criminels identifiés cinquante-sept (57) sont déjà aux arrêts en plus de trente-neuf (39) armes récupérées.
Cet Officier supérieur des Fardc qui a également présenté deux présumés voleurs à mains armées, l’accalmie sécuritaire observée ces derniers
temps dans la ville de Goma est tributaire de cette opération.Le Général Kamanzi a confirmé les aveux, selon lesquels les deux criminels ont reconnu avoir participé dans le double meurtre enregistré en début de ce mois au quartier Katoyi.
« Depuis un certain il n’avait pas de crimes sur la ville quand on a mis la main sur les voleurs la majorité de bandits a foui », s’est félicité le général Kamanzi avant de préciser que les deux nouveaux cas de bandits enregistrés ont été identifiés comme étant originaires de la province du Sud-Kivu.
Se basant sur le fichier déjà établi par le bureau des renseignements,le commandant de la 34èmeRégion militaire a précisé que des recherches se poursuivent pour mettre la main sur les bandits en fuite qui sont localisés dans la ville voisine de Gisenyi et à Bukavu.
Dialogue politique en cours au sein des politiciens en République Démocratique du Congo : Le problème du 19 décembre est déjà réglé par la constitution pour Lambert Mende qui voit dans le focus à cette date comme une volonté de vouloir terroriser la population. Il affirme qu’il n’y aura rien à cette date parce que les congolais ne veulent pas de vide institutionnel à la tête de l’Etat.
Lambert Mende a abordé la question de juge Ramazani, notamment son intervention mardi dernier sur le plateau de TV5 où elle a accusé les autorités congolaises de l’avoir contrainte de condamner Moïse Katumbi pour la menace
« C’est une dame qui, à mon avis, a des problèmes de déontologie professionnelle. Nous ne voyons pas ce que nous venons faire dans un problème de dysfonctionnement de la justice. Elle reconnaît qu’elle est une personne malléable », a-t-il asséné
Pour Lambert Mende, le gouvernement Badibanga verra le jour et sera investi par le parlement
« Monsieur Samy Badibanga est le Premier ministre de la République et bientôt, il y’aura son gouvernement. Je vous assure que son gouvernement sera mis en place et sera investi par le parlement, ne vous en faites pas », a-t-il dit.
Le problème du 19 décembre est déjà réglé par la constitution pour Lambert Mende qui voit dans le focus à cette date comme une volonté de vouloir terroriser la population. Il affirme qu’il n’y aura rien à cette date parce que les congolais ne veulent pas de vide institutionnel à la tête de l’Etat.
Lambert Mende a abordé la question de juge Ramazani, notamment son intervention mardi dernier sur le plateau de TV5 où elle a accusé les autorités congolaises de l’avoir contrainte de condamner Moïse Katumbi pour la menace
« C’est une dame qui, à mon avis, a des problèmes de déontologie professionnelle. Nous ne voyons pas ce que nous venons faire dans un problème de dysfonctionnement de la justice. Elle reconnaît qu’elle est une personne malléable », a-t-il asséné
Pour Lambert Mende, le gouvernement Badibanga verra le jour et sera investi par le parlement
« Monsieur Samy Badibanga est le Premier ministre de la République et bientôt, il y’aura son gouvernement. Je vous assure que son gouvernement sera mis en place et sera investi par le parlement, ne vous en faites pas », a-t-il dit.

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