L'attaque de la ville de Butembo, une ville situé dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, le matin de ce lundi 23/01/2017 n'aura été que sporadique (5:30 à 6:00). Ainsi, présumés Maï Maï ont, tenté prendre de nouveau, assaut sur les militaires à hauteur de Matembe, commune VULAMBA. Mais n'ont pas su résister devant la force des FARDC. Ce que nous déplorons c'est que ces tirs ont occasionné un déplacement de la population vers le centre ville. Retenons qu'à présent, la population civile ne dispose d'aucun bilan :
Dans le passé, un groupe des miliciens Maï-Maï ont attaqué le 19 décembre del'année passé, dans la matinée la ville de Butembo. Selon le commandant des opérations Sokola 1 Sud, général Fall Sikabwe, ce jour là, d'où 13 personnes sont mortes, parmi lesquels on compte un casque bleu, un militaire, un policier, un civil et neuf miliciens.
«On a identifié un certain nombre de députés qui commencent à s’approprier les revendications des Maï-Maï. Le gouvernement provincial, sur instruction de la hiérarchie, doit récupérer et interpeller celui qui est, de prêt ou de loin, impliqué dans cette histoire à Butembo et à Beni», a prévenu le porte-parole du gouverneur du Nord-Kivu. Les tirs sont localisés vers la mairie dans la commune Vulamba. C’est probablement un combat entre les FARDC et des gens qu’on ignore encore. Les gens ont peur», a dit un habitant de Butembo au téléphone d’ACTUALITE. CD.
Le porte-parole de l’opération Sokola 1 au Nord-Kivu a confirmé, le combat à Butembo.
Pour sa part, le Porte-parole de la Police, le Colonel Mwanamputu a parlé d’une attaque Mai-Mai.
« La Situation au Nord Kivu ce jour là, été relativement calme jusqu’ à sur toute l’étendue de la province. Les Unites de la Police Nationale Congolaise sont déployées pour rassuré la Population dela place. En revanche à Butembo, vers la commune de Vulamba les MaiMai ont tenté de pillés et ils ont été délogés par les militaires Fardc et la Situation été déjà sous contrôle.
Dépuis quelques mois, plusieurs groupes Mai-Mai se sont érigés autour de la ville de Butembo. Ces miliciens ont attaqué la ville en deux reprises faisant des morts et des dégâts matériels. Des échanges à l’arme lourde et légère opposent depuis tôt ce lundi 19 décembre 2016 l’armée congolaise (FARDC) à un groupe d’hommes armés non encore identifiés dans la ville de Butembo (Nord-Kivu). Selon des sources sur place, les détonations été entendues vers la prison centrale Camp Congrès dans la commune Vulamba, au Sud-Ouest de la ville. Le porte-parole du gouverneur du Nord-Kivu, Rachidi Tumbula, dénonce ce qu’il considère comme de l’«instrumentalisation» des Maï-Maï par certains hommes politiques de la province.
M. Tumbula fait allusion à l’attaque de la ville de Butembo le 19 décembre par ces groupes armés.
«La plupart d’entre ces Maï-Maï ont été attrapés et d'autres sont des gens sans instruction. Ils ont été entrainés à faire ce genre de choses. En commettant ces massacres, c’est qu’il y a obligatoirement des politiciens qui étaient derrière-eux. Et, d’après les groupes Maï-Maï, ils [politiciens] devaient faire hisser le drapeau», a-t-il indiqué. Une autre attaque des présumés miliciens Maï-Maï a coûté la vie à un casque bleu lundi 19 décembre dans la matinée à Butembo. Deux casques bleus ont aussi été blessés. Des sources sécuritaires sur place a indiqué, également cinq miliciens et d’un policier qui ont été tués au cours des combats.
L’attaque a été lancée vers 6 heures (heure locale) par un groupe d’hommes armés.
Des sources sécuritaires rapportent que ces assaillants identifiés comme des miliciens Maï-Maï ont tenté d’attaquer la mairie, le bureau de la MONUSCO, l’Etat-major de la police et la prison centrale de Butembo.
L’armée et la MONUSCO ont riposté. Les affrontements avec les assaillants ont duré plusieurs heures.
Le commandant des opérations Sokola 1 Sud, général Fall Sikabwe, affirmé que, la situation est actuellement « sous contrôle ».
Il n'est donné aucun le bilan des combats mais a indiqué que les échanges des tirs se sont poursuivi de plus. D’après lui, les militaires pourchassaient encore le groupe d’assaillants qui se serait retranché à l’extrémité Sud de Butembo.
Des sources de la société civile de Butembo parlait, d’un engin explosif qui est tombé sur une maison sans faire de victimes dans la commune de Vulamba. D’après les mêmes sources, les habitants sont restés encore terrés chez eux craignant, pour n'est pas être des victimes de ce dernier accrochage entre les deux contés donc les millitaires Fardc et les Maï Maï à Butembo.
Attaque repoussée de plus :
Le porte-parole de la MONUSCO, Félix Basse, pour sa part, a confirmé que l’attaque des miliciens a été repoussée. Il confirme également la mort du casque bleu qui a succombé à ses blessures.
"Nous avons eu des visiteurs un peu impossibles à contrôler..." Le chef du quartier Rughenda résume avec un certain art de la litote la récente réapparition de miliciens maï-maï à Butembo, dans l'Est de la République démocratique du Congo.
"Ils n'ont jamais fini l'école. Ils vous disaient une chose le matin, une autre à midi et encore une autre le soir", ce qui rendait leurs revendications difficiles à comprendre, explique Kasereka Muhina Djeph Lumumba III en recevant des journalistes de l'AFP dans son petit bureau ouvert sur la rue.
Les milices maï-maï, groupes "d'autodéfense" généralement constitués sur une base ethnique, semblaient oubliées dans cette ville du nord de la province du Nord-Kivu, jusqu'à ce mois d'octobre.
«On a identifié un certain nombre de députés qui commencent à s’approprier les revendications des Maï-Maï. Le gouvernement provincial, sur instruction de la hiérarchie, doit récupérer et interpeller celui qui est, de prêt ou de loin, impliqué dans cette histoire à Butembo et à Beni», a prévenu le porte-parole du gouverneur du Nord-Kivu. Les tirs sont localisés vers la mairie dans la commune Vulamba. C’est probablement un combat entre les FARDC et des gens qu’on ignore encore. Les gens ont peur», a dit un habitant de Butembo au téléphone d’ACTUALITE. CD.
Le porte-parole de l’opération Sokola 1 au Nord-Kivu a confirmé, le combat à Butembo.
Pour sa part, le Porte-parole de la Police, le Colonel Mwanamputu a parlé d’une attaque Mai-Mai.
« La Situation au Nord Kivu ce jour là, été relativement calme jusqu’ à sur toute l’étendue de la province. Les Unites de la Police Nationale Congolaise sont déployées pour rassuré la Population dela place. En revanche à Butembo, vers la commune de Vulamba les MaiMai ont tenté de pillés et ils ont été délogés par les militaires Fardc et la Situation été déjà sous contrôle.
Dépuis quelques mois, plusieurs groupes Mai-Mai se sont érigés autour de la ville de Butembo. Ces miliciens ont attaqué la ville en deux reprises faisant des morts et des dégâts matériels. Des échanges à l’arme lourde et légère opposent depuis tôt ce lundi 19 décembre 2016 l’armée congolaise (FARDC) à un groupe d’hommes armés non encore identifiés dans la ville de Butembo (Nord-Kivu). Selon des sources sur place, les détonations été entendues vers la prison centrale Camp Congrès dans la commune Vulamba, au Sud-Ouest de la ville. Le porte-parole du gouverneur du Nord-Kivu, Rachidi Tumbula, dénonce ce qu’il considère comme de l’«instrumentalisation» des Maï-Maï par certains hommes politiques de la province.
M. Tumbula fait allusion à l’attaque de la ville de Butembo le 19 décembre par ces groupes armés.
«La plupart d’entre ces Maï-Maï ont été attrapés et d'autres sont des gens sans instruction. Ils ont été entrainés à faire ce genre de choses. En commettant ces massacres, c’est qu’il y a obligatoirement des politiciens qui étaient derrière-eux. Et, d’après les groupes Maï-Maï, ils [politiciens] devaient faire hisser le drapeau», a-t-il indiqué. Une autre attaque des présumés miliciens Maï-Maï a coûté la vie à un casque bleu lundi 19 décembre dans la matinée à Butembo. Deux casques bleus ont aussi été blessés. Des sources sécuritaires sur place a indiqué, également cinq miliciens et d’un policier qui ont été tués au cours des combats.
L’attaque a été lancée vers 6 heures (heure locale) par un groupe d’hommes armés.
Des sources sécuritaires rapportent que ces assaillants identifiés comme des miliciens Maï-Maï ont tenté d’attaquer la mairie, le bureau de la MONUSCO, l’Etat-major de la police et la prison centrale de Butembo.
L’armée et la MONUSCO ont riposté. Les affrontements avec les assaillants ont duré plusieurs heures.
Le commandant des opérations Sokola 1 Sud, général Fall Sikabwe, affirmé que, la situation est actuellement « sous contrôle ».
Il n'est donné aucun le bilan des combats mais a indiqué que les échanges des tirs se sont poursuivi de plus. D’après lui, les militaires pourchassaient encore le groupe d’assaillants qui se serait retranché à l’extrémité Sud de Butembo.
Des sources de la société civile de Butembo parlait, d’un engin explosif qui est tombé sur une maison sans faire de victimes dans la commune de Vulamba. D’après les mêmes sources, les habitants sont restés encore terrés chez eux craignant, pour n'est pas être des victimes de ce dernier accrochage entre les deux contés donc les millitaires Fardc et les Maï Maï à Butembo.
Attaque repoussée de plus :
Le porte-parole de la MONUSCO, Félix Basse, pour sa part, a confirmé que l’attaque des miliciens a été repoussée. Il confirme également la mort du casque bleu qui a succombé à ses blessures.
"Nous avons eu des visiteurs un peu impossibles à contrôler..." Le chef du quartier Rughenda résume avec un certain art de la litote la récente réapparition de miliciens maï-maï à Butembo, dans l'Est de la République démocratique du Congo.
"Ils n'ont jamais fini l'école. Ils vous disaient une chose le matin, une autre à midi et encore une autre le soir", ce qui rendait leurs revendications difficiles à comprendre, explique Kasereka Muhina Djeph Lumumba III en recevant des journalistes de l'AFP dans son petit bureau ouvert sur la rue.
Les milices maï-maï, groupes "d'autodéfense" généralement constitués sur une base ethnique, semblaient oubliées dans cette ville du nord de la province du Nord-Kivu, jusqu'à ce mois d'octobre.
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