Le marché du PC courbe de plus en plus partout, dans le monde l’échine face aux smartphones, tablettes et autres hybrides. En 2016, les ventes d'ordinateurs auront continué de baisser ; Selon les chiffres de l’institut d’analyse Gartner, les ventes d’ordinateurs ont continué de baisser en 2016. Et ce pour la cinquième année consécutive. Si lesPCont toujours la cote dans les entreprises, ils ont de moins en moins leur place chez les particuliers qui leur préfèrent des dispositifs mobiles toujours plus puissants et polyvalents.Le marché du PC est en berne Les chiffres que vient de dévoiler l’institut Gartner concernant le marché du PC n’ont rien de très rassurant pour les fabricants. Pour la cinquième année consécutive les ventes ont en effet baissées. Ainsi, en 2016 il se sera vendu 269,7 millions de PC, soit une baisse de 6,2% par rapport à l’année 2015 :

Des PC en manque d’innovation
Par ailleurs, si les PC sont boudés c’est également à cause d’un manque d’innovation de la part des fabricants dans ce secteur. Cependant, tout n’est pas fini pour l’ordinateur personnel, loin de là. Les entreprises sont toujours autant demandeuses et les PC gamingont toujours le vent en poupe. «Il est également évident que les utilisateurs sont à la recherche d’une nouvelle expérience informatique en utilisant la réalité virtuelle et ont un intérêt croissant pour les PC de jeu, dans lequel les vendeurs de PC investissent de plus en plus» indiquait Isabelle Durand, analyste au sein de Gartner.
Cette tendance s’est vérifiée dans toutes les régions du monde, Au dernier trimestre 2016, les ventes ont reculées de 3,4% en Europeet au Moyen-Orient et de 1,3% aux États-Unis, un peu moins touchés. En outre, selon l’institut américain, il faut s’attendre à une année 2017 tout aussi difficile en termes de ventes.
Ce recul des ventes s’expliquent, selon le cabinet, à un changement dans les habitudes d’utilisation des ordinateurs par leur propriétaire. Aujourd’hui, ce sont les smartphones, tablettes et autres tout-en-un qui ont la préférence des utilisateurs qui du coup renouvellent moins souvent leur machine.
Facebook a procédé à des modifications côté serveur pour corriger un problème nuisant à la batterie des smartphones. Il suffit de redémarrer l'application pour que cela prenne effet.
Mieux vaut tard que jamais. Alors que plusieurs utilisateurs se plaignaient depuis le début de l’année de l’impact très négatif de l’application Facebook sur la batterie de leur smartphone, le réseau social est finalement sorti de sa réserve cette semaine pour confirmer l’existence d’un problème affectant l’autonomie des terminaux. Le souci est aujourd’hui résolu.
Répondant à deux internautes, David Marcus, le directeur du pôle Messenger chez Facebook, a indiqué que l’incident, une fois repéré, a été corrigé côté serveur. Les utilisateurs n’ont plus qu’à redémarrer l’application mobile — c’est-à-dire en la fermant complètement, pas en quittant simplement l’application — pour que tout rentre dans l’ordre.
@bestsportnascar @alxpapissue was isolated and fixed server side. If you restart Messenger the problem should be gone now. Very sorry.
— David Marcus (@davidmarcus) January 10, 2017
À l’origine du pépin figure un problème de requêtes entre les serveurs et les clients. Leur nombre était bien trop élevé, ce qui affectait davantage la batterie : l’application, même en arrière-plan, ne pouvait pas les ignorer. Résultat, au bout de quelques heures, l’autonomie du téléphone avait tendance à fondre comme neige au Soleil, même si les applications du site communautaire n’étaient pas utilisées.
Ce n’est pas la première fois que les logiciels de Facebook posent quelques difficultés aux batteries. En 2015, on se souvient que l’entreprise américaine avait dû publier une série de correctifspour la version iOS de ses programmes. En effet, dans certaines circonstances, ils vidaient plus que de raison la batterie de l’iPhone. Android Wear 2.0, le système d’exploitation mobile à destination des smartwatchs, devait à l’origine sortir durant l’automne 2016. Mais suite aux retours négatifs desdits développeurs, Google avait décidé de repousser sa sortie à une date indéterminée. Finalement, et après quelques mois de bêta supplémentaires, la sortie de la nouvelle version sera déployée durant le mois de février prochain, sans plus de précision sur la date.
Une nouvelle interface et un Play Store intégré
L’information a été donnée hier aux développeurs d’applications pour Android Wear. S’ils sont prévenus en avance, c’est afin de leur permettre de mettre à jour leurs applications et de les préparer à l’arrivée de cette nouvelle version de l’OS. Ils ont d’ailleurs tout intérêt à le faire, puisqu’Android Wear 2.0 intégrera (enfin) un Play Store au sein des montres, permettant aux utilisateurs de trouver directement sur leur smartwatch des applications et de les installer sans passer par le téléphone.
Android Wear 2.0sera l’occasion pour Google de revoir en profondeur son OS mobile. Outre un App storeintégré, Android Wear 2.0 introduira une nouvelle interface un peu plus intuitive, un véritable clavier virtuel, quelques cadrans de base en plus et des fonctionnalités supplémentaires de fitness.
Le bon prétexte pour présenter Angelfish et Swordfish ?
Surtout, on s’attend à ce que l’arrivée d’Android Wear 2.0 soit un bon prétexte pour Google pour dévoiler deux smartwatchs qu’il aurait conçues en interne. L’existence de ces smartwatchs a été confirmée le mois dernier par un représentant de Google au site The Verge. Elles devaient, elles aussi, sortir en fin d’année dernière — pour accompagner Android Wear 2.0 — et ont été repoussées en même temps que la mise à jour.

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