PHILADELPHIE - Les républicains qui cherchent avec impatience des réponses du président Trump sur la façon dont il envisage de mettre en œuvre son agenda se sont trouvés défléchir de nouvelles questions mercredi sur les dernières déclarations controversées du président : Les républicains de la Chambre et du Sénat ont commencé la semaine en attendant des directives précises sur ce qui remplacera la Loi sur les soins abordables, sur la rapidité avec laquelle les taxes pourraient être réduites et sur la façon dont le gouvernement paiera un nouveau mur et un nouveau plan d'infrastructure :
C'est exactement ce que le président de la Chambre Paul D. Ryan (R-Wis.) Et le leader de la majorité au Sénat Mitch McConnell (R-Ky.) Ont essayé de faire plus tard dans l'après-midi. Dans un rassemblement privé de législateurs, les deux dirigeants du GOP ont présenté un programme législatif agressif demandant au Congrès d'abroger une partie importante de l'ACA, de passer des mesures de remplacement et d'entreprendre une refonte importante du code des impôts - GOP à Washington.
Ce qu'ils n'ont pas fait, c'est expliquer pleinement comment ces objectifs seront atteints, ce qui est ce que la plupart des législateurs républicains ont voyagé à Philadelphie pour apprendre.
[ Trump va après l'orthodoxie républicaine. Comment répondra Paul Ryan? ]
Des entrevues avec plus d'une douzaine de législateurs du GOP ont révélé un conflit d'attentes entre les législateurs de rang-et-fichier pour commencer à désassembler Obamacare et les chefs de parti qui sont tous trop conscients des obstacles et des choix difficiles à venir.
«Exact, précis et détaillé - c'est ce que les gens veulent», a déclaré le représentant Pete Sessions (R-Tex.), Le président du Comité des règles de la Chambre. "Nous allons posséder ce truc, et nous allons mieux pouvoir l'expliquer."
"Je ne pense pas que vous verrez un plan", a déclaré le représentant Patrick J. Tiberi (R-Ohio), président d'un sous-comité clé sur les soins de santé. «Je pense que vous verrez des composantes d'un plan qui font partie de différents textes de loi qui constitueront ce qui sera finalement le plan.
Lors de la séance privée, Ryan et McConnell ont déclaré abrogation et remplacement de Obamacare leur premier ordre des travaux, avec une date cible pour l'action dans les trois prochains mois. Les législateurs ont également dit qu'ils envisagent de passer rapidement sur une réécriture large du code des impôts qui devrait inclure des réductions de taux profonds tout en maintenant les revenus actuels grâce à des changements au code fiscal international, selon plusieurs législateurs dans la salle qui a demandé l'anonymat pour décrire le réunion.
Les dirigeants ont mis en place un plan en trois volets visant à saper la loi Obamacare avec une combinaison de nouvelle législation, d'une action de l'exécutif par Trump et de changements réglementaires au sein de son administration. Ils ont dit qu'une loi de remplacement nécessiterait un certain soutien démocratique.
La restructuration de l'impôt suivrait un calendrier ambitieux, ont déclaré les membres qui ont assisté au briefing, en vue de faire adopter cette révision, du moins à la Chambre, avant que le Congrès ne paie ses vacances d'été en août. Ryan a dit aux membres qu'ils travailleraient vers une refonte fiscale qui réduirait les taux tout en maintenant. Mais mercredi, Trump a offert une nouvelle série de distractions avec une foule d'annonces et de tweets tôt le matin.
Il a signé des ordonnances exécutives visant à relancer la construction d'un mur le long de la frontière entre les États- Unis et le Mexique et à refuser des fonds fédéraux aux villes qui ne respectent pas les lois fédérales sur l'immigration. Le projet de loi de la Maison Blanche a également permis de permettre à la CIA de rouvrir les prisons secrètes à l'étranger - et peut-être de reprendre des techniques d'interrogation améliorées. Et Trump a utilisé Twitter pour annoncer des plans "pour une enquête majeure" dans ses accusations non prouvées de fraude électorale généralisée.
Cela a laissé les républicains brouiller avec peu de détails et moins de réponses à un moment où ils avaient eu l'intention d'obtenir le contraire.
Les premiers signes de troubles sont survenus mercredi à midi, lorsque le sénateur John Thune (RS.D.) et la députée Cathy McMorris Rodgers (R-Wash.) Ont rencontré des journalistes dans une salle de bal de l'hôtel au début d'une stratégie de deux jours session.
Ils sont venus prêts à parler de soins de santé et le code des impôts, mais ont été barraged avec des questions sur les derniers mouvements de Trump.
Sur la fraude électorale, Thune a déclaré qu'il n'avait pas vu de preuve de problèmes généralisés et a refusé d'endosser directement l'enquête de Trump.
"S'ils veulent prendre cela en place, c'est une décision évidente, il peut faire", a déclaré Thune.
Sur les plans de l'administration pour repenser comment les détenus terroristes sont interrogés, Thune était plus fort, en soulignant que le Congrès avait réglé la question.
"En ce qui concerne la torture - qui est interdit", at-il dit, citant une loi de 2015 qui a été approuvée en grande majorité.
«Nous devons nous concentrer sur les choses qui nous unissent», a-t-il ajouté, ajoutant: «Nous devons révoquer Obamacare et rénover le code des impôts.
See what President Trump has been doing since his inauguration. Hill Républicains veulent des réponses.
Ce qu'ils n'ont pas fait, c'est expliquer pleinement comment ces objectifs seront atteints, ce qui est ce que la plupart des législateurs républicains ont voyagé à Philadelphie pour apprendre.
[ Trump va après l'orthodoxie républicaine. Comment répondra Paul Ryan? ]
Des entrevues avec plus d'une douzaine de législateurs du GOP ont révélé un conflit d'attentes entre les législateurs de rang-et-fichier pour commencer à désassembler Obamacare et les chefs de parti qui sont tous trop conscients des obstacles et des choix difficiles à venir.
«Exact, précis et détaillé - c'est ce que les gens veulent», a déclaré le représentant Pete Sessions (R-Tex.), Le président du Comité des règles de la Chambre. "Nous allons posséder ce truc, et nous allons mieux pouvoir l'expliquer."
"Je ne pense pas que vous verrez un plan", a déclaré le représentant Patrick J. Tiberi (R-Ohio), président d'un sous-comité clé sur les soins de santé. «Je pense que vous verrez des composantes d'un plan qui font partie de différents textes de loi qui constitueront ce qui sera finalement le plan.
Lors de la séance privée, Ryan et McConnell ont déclaré abrogation et remplacement de Obamacare leur premier ordre des travaux, avec une date cible pour l'action dans les trois prochains mois. Les législateurs ont également dit qu'ils envisagent de passer rapidement sur une réécriture large du code des impôts qui devrait inclure des réductions de taux profonds tout en maintenant les revenus actuels grâce à des changements au code fiscal international, selon plusieurs législateurs dans la salle qui a demandé l'anonymat pour décrire le réunion.
Les dirigeants ont mis en place un plan en trois volets visant à saper la loi Obamacare avec une combinaison de nouvelle législation, d'une action de l'exécutif par Trump et de changements réglementaires au sein de son administration. Ils ont dit qu'une loi de remplacement nécessiterait un certain soutien démocratique.
La restructuration de l'impôt suivrait un calendrier ambitieux, ont déclaré les membres qui ont assisté au briefing, en vue de faire adopter cette révision, du moins à la Chambre, avant que le Congrès ne paie ses vacances d'été en août. Ryan a dit aux membres qu'ils travailleraient vers une refonte fiscale qui réduirait les taux tout en maintenant. Mais mercredi, Trump a offert une nouvelle série de distractions avec une foule d'annonces et de tweets tôt le matin.
Il a signé des ordonnances exécutives visant à relancer la construction d'un mur le long de la frontière entre les États- Unis et le Mexique et à refuser des fonds fédéraux aux villes qui ne respectent pas les lois fédérales sur l'immigration. Le projet de loi de la Maison Blanche a également permis de permettre à la CIA de rouvrir les prisons secrètes à l'étranger - et peut-être de reprendre des techniques d'interrogation améliorées. Et Trump a utilisé Twitter pour annoncer des plans "pour une enquête majeure" dans ses accusations non prouvées de fraude électorale généralisée.
Cela a laissé les républicains brouiller avec peu de détails et moins de réponses à un moment où ils avaient eu l'intention d'obtenir le contraire.
Les premiers signes de troubles sont survenus mercredi à midi, lorsque le sénateur John Thune (RS.D.) et la députée Cathy McMorris Rodgers (R-Wash.) Ont rencontré des journalistes dans une salle de bal de l'hôtel au début d'une stratégie de deux jours session.
Ils sont venus prêts à parler de soins de santé et le code des impôts, mais ont été barraged avec des questions sur les derniers mouvements de Trump.
Sur la fraude électorale, Thune a déclaré qu'il n'avait pas vu de preuve de problèmes généralisés et a refusé d'endosser directement l'enquête de Trump.
"S'ils veulent prendre cela en place, c'est une décision évidente, il peut faire", a déclaré Thune.
Sur les plans de l'administration pour repenser comment les détenus terroristes sont interrogés, Thune était plus fort, en soulignant que le Congrès avait réglé la question.
"En ce qui concerne la torture - qui est interdit", at-il dit, citant une loi de 2015 qui a été approuvée en grande majorité.
«Nous devons nous concentrer sur les choses qui nous unissent», a-t-il ajouté, ajoutant: «Nous devons révoquer Obamacare et rénover le code des impôts.
See what President Trump has been doing since his inauguration. Hill Républicains veulent des réponses.
Commentaires