Roi du Rwenzururu Ouganda Charles Wesley Mumbere mise en liberté, sous caution d'une audience ajournée ; Mumbere fait face à des accusations de terrorisme, de meurtre et de vol qualifié. JINJA -L'audition d'une demande de libération sous caution par Omusinga (roi) de Rwenzururu Charles Wesley Mumbere a été ajourné lundi au jeudi (12 Janvier). C'était à la Haute Cour de Jinja, où Mumbere comparut devant la juge Eva Luswata. Il est accusé de terrorisme, de meurtre et de vol qualifié. La mère de Mumbere, vêtue de lunettes et d'une canne, a également été vue en cour lundi. Au cours de la séance, l'équipe du parquet a soutenu que Luswata, un juge de division criminelle, n'avait pas compétence pour entendre la demande de mise en liberté sous caution de Mumbere. L'Accusation a ensuite demandé au juge Luswata de renvoyer la demande de mise en liberté sous caution à la Division des crimes internationaux pour qu'un juge principal soit saisi. Chef de l'opposition au Parlement Winifred Kiiza (en bleu) a assisté à la séance de la cour.(Crédit: Donald Kiirya) Mumbere a offert un affichage de ses blancs nacrés tandis que dans le dock.(Crédit: Donald Kiirya). Les militants veulent que les cas suspects de Kasese se produisent au tribunal Les militants le plus proche du Roi veulent que les cas suspects de Kasese se produisent au tribunal ! Dans Sunday Vision: King Mumbere fait face à plus de charges. Les femmes ont également exigé du gouvernement d'annoncer publiquement tous les centres de détention où les suspects de choc Kasese sont détenus. Leader de l'opposition au Parlement, Winnie Kiiza. Les femmes activistes sous l'égide de «Femmes pour l'Ouganda» ont demandé au gouvernement de l'Ouganda de produire les suspects d'affrontement Kasese devant les tribunaux afin de garantir que justice leur est accordée comme prévu par la Constitution. Sous la direction de leur présidente, Sophie Kyagulanyi, au cours d'une réunion conjointe tenue au Parlement le samedi soir au bureau du leader de l'opposition au Parlement, Winnie Kiiza, elle a condamné le gouvernement pour ne pas respecter les règles de droit. "La force de police ougandaise a l'obligation de respecter l'état de droit et le pouvoir judiciaire en tant qu'institution de justice." La loi exige que les suspects soient inculpés dans les 48 heures qui suivent leur arrestation. "Kyagulanyi a ajouté. Les femmes ont également exigé du gouvernement d'annoncer publiquement tous les centres de détention où les suspects de choc Kasese sont détenus. "Nous ne savons pas où se trouvent les suspects, nous soupçonnons que leurs vies sont en danger." Des rapports non confirmés suggèrent que certains d'entre eux sont détenus dans des donjons de police inconnus comme Nalufenya dans les municipalités de Jinja, Masaka et Mbarara ", a déclaré Kiiza. . Kiiza, qui fait aussi office de députée de Kasese, a affirmé que si le gouvernement ne parvenait pas à produire des suspects devant les tribunaux pour un procès équitable, ils allaient mobiliser des gens et commencer la perquisition dans tous les postes de police du pays demandant leur libération Les cellules. Plus de 100 personnes, dont Rwenzururu King Charles Wesley Mumbere, ont été arrêtées et détenues dans différents commissariats de la région. Les affrontements qui ont éclaté entre les forces gouvernementales et les gardes royaux de Rwenzururu ont coûté la vie à plus de 100 personnes, dont 16 policiers. Pendant l'opération, le palais de Rwenzururu a été attaqué et le roi, Charles Wesley Mumbere, a été arrêté et est actuellement détenu au poste de police de Nalufenya à Jinja. Dans un mouvement étrange, Rwenzururu fonctionnaires du royaume se battent pour les postes.Qui se bat et pour quels postes se battent-ils?Quiles donne?Obtenez des réponses dans la vision du dimanche. L'armée a finalement établi l'identité des corps non réclamés dans le palais de Mumbere. Découvrez comment un ministre du Cabinet a été victime d'une escroquerie et a couru à la police pour obtenir de l'aide! Va-t-il récupérer son argent? Un homme de 24 ans s'est excusé auprès du pasteur Kayanja pour tromper que le pasteur lui avait sodomisé.L'homme, aidé par la mère, explique comment tout cela s'est passé et pourquoi et qui l'ont influencé.Obtenez leur témoignage à l'intérieur. Des millions de personnes perdues à Gulu alors que des fantômes engloutissent des salaires pour des centaines de travailleurs.Les fonctionnaires s'accusent mutuellement alors que le gouvernement se met en action. 12 filles ougandaises sont bloquées en Arabie saoudite.Qui sont-ils;Comment se sont-ils retrouvés en Arabie Saoudite?Ce qui leur est arrivé et où restent-ils pendant qu'ils attendent de l'aide?Obtenez des détails dans Sunday Vision. À ENTEBE EN OUGAND : un long serpent été visible sur un vol avion Emirates ! L'animal a été retrouvé, avant, le vol du dimanche dernier ! Un vol d'Emirates de Mascate à Dubaï a été annulé après que les bagagistes ont découvert un serpent dans la soute de l'avion.

Mumbere Wesley Charles le Roi du Rwanzururu a été libéré momentanément, dela prison après des revendications indépendantistes selon les autorités Ougandaise ; En Ouganda, le roi du Rwenzururu, Charles Mumbere, a été arrêté, dimanche 27 novembre 2016 ! Le porte-parole de la police affirme qu’il va être inculpé pour « incitation à la violence ». Cette arrestation fait suite à une nouvelle vague de violence qui a éclaté, cette semaine, en Ouganda, dans la région du Rwenzori qui borde la frontière congolaise. Lors de ces affrontements contre les forces de sécurité ougandaises, le point culminant de ces attaques a sans doute été la journée de samedi où 55 personnes ont été tuées. Les tensions dans la région ont ressurgi avec les élections générales qui se sont tenues en février.
Quatorze policiers ont été tués et 41 assaillants mis « hors d’état de nuire », a détaillé la police, ce dimanche matin, lors d’une conférence de presse. Quatre autres officiers et deux soldats ont été blessés. Alors que la police et l’armée patrouillaient aux abords du palais du Royaume du Rwenzururu, au matin du samedi 26 novembre, « la garde royale a attaqué la patrouille », affirme le porte-parole de la police Felix Kaweesi. Un important échange de tirs s’en est suivi.
D’autres attaques ont eu lieu de manière sporadique dans la région et un véhicule de la police a été brûlé. Selon les forces de l’ordre, ces attaques ont été « minutieusement préparées » et les assaillants seraient bien équipés notamment de « pistolets » et de « grenades ».
Si aucun lien direct n’est confirmé avec les rébellions de l’Est de la RDC - on pense surtout à la rébellion ougandaise ADF – la police soupçonne néanmoins de possibles contacts notamment pour l’échange d’armes.
La raison de ces nouvelles violences semble être politique et liée à la volonté de créer un territoire indépendant au sein de l’Ouganda, la République d’Yiira.
Derrière ces dernières violences, la suspicion d'une volonté indépendantiste pour la création d'un nouvel Etat
Au dernier rapport, la police comptait 14 morts dans ses rangs après l'attaque de samedi. Pour le porte-parole de la police ougandaise, Felix Kaweesi, c'est une force qu'il ne faut pas négliger. « On ne peut pas dire le nombre des assaillants, mais apparemment ils semblent être bien entraînés, organisés et coordonnés. Parce que lorsque le premier incident a eu lieu, cela est devenu viral et sporadique, ce qui signifie qu'ils sont déployés partout. En plus, il y a de nouveaux recrutements parce que nous savons qu'ils tentent de recruter et d'entraîner de nouveaux gardes royaux. »
L'armée a de son côté annoncé l'arrestation de 139 personnes. Dimanche soir 27 novembre, le calme était précaire, des patrouilles quadrillaient la ville de Kasese. Cette région fait régulièrement l'objet de tensions surtout depuis les élections de février. Pour le correspondant local d’Uganda Radio Network, Emmanuel Kajubu, il ne fait aucun doute qu'il s'agit de volontés indépendantistes : « Il y a eu ces discussions sur le fait que le roi ici veut former un pays appelé Yiira. Et il dispose de ces gardes royaux, il les entraîne. Ces personnes ont des camps dans le district de Kabarole qui est voisin du district de Kasese. Donc le gouvernement suspecte qu'il veuille étendre son pouvoir à d'autres régions du pays principalement dans l'ouest de l'Ouganda. »
Récemment un projet de loi proposait de diviser le district de Kasese afin - on peut l'imaginer - d'affaiblir les forces présentes. Dans l'ouest de l'Ouganda, des combats ayant opposé les forces de sécurité aux gardes d'un roi local ont fait 62 morts. La police dit avoir été attaquée par des gardes royaux qu'elle accuse de faire partie d'une milice séparatiste. Le roi du Rwenzururu, Charles Wesley Mumbere, a été arrêté et transféré à Kampala. Il nie tout lien avec les indépendantistes.
L'Ouganda a aboli ses royaumes en 1967. Ce protectorat britannique venait de proclamer son indépendance et il fallait construire un État-nation. Cela n’a pas empêché les Bakonzo de se soulever, dès les années 1960, dans l'espoir de faire reconnaître leur vieux royaume.
La plupart de ces rebelles du Front de libération du Rwenzururu déposeront les armes, au début des années 1980. Leur très jeune chef, Charles Wesley Mumbere, obtiendra quelques concessions du gouvernement de Kampala. Ainsi, dans la ville de Kasese, par exemple, le konzo (une langue apparentée au nande, parlée de l’autre côté de la frontière, en RDC) devient une langue officielle.
Ce n’est qu’en 2009 que le royaume - célèbre pour ses « montagnes de la Lune », la chaîne du Rwenzori - sera reconnu officiellement. Le président Museveni pose alors une condition. Ne pas faire de politique ! Certains partisans de la monarchie réclament, malgré tout, la création d’une République, à cheval sur l’Ouganda et la République démocratique du Congo.
Le roi, un Ougandais qui a longtemps travaillé comme aide-soignant en Pennsylvanie et au Maryland, nie tout lien avec...

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