Russie, États-Unis Mulling Mission conjointe à Vénus ; Le programme spatial russe et la NASA travaillent ensemble sur une mission à Venusqui permettrait d'enquêter sur certains des plus grands mystères de la planète brûlante, y compris, peut-être, si elle abrite la vie. Une équipe internationale de scientifiques chargée d'élaborer les principaux objectifs de la mission, connue sous le nom de Venera-D, achève ses travaux et transmettra son rapport final à la NASA et à l'Institut de recherche spatiale de l'Académie russe des sciences à la fin Du mois, a déclaré David Senske, du Jet Propulsion Laboratory de la NASA à Pasadena, en Californie :
Senske, la coprésidente américaine de cette «équipe conjointe de définition de la science», a déclaré à Space.com le mois dernier lors de la réunion annuelle d'automne de la American Geophysical Union, à San Francisco.[ Vénus mystérieux: 10 faits étranges]
Longtemps à venir
Venera-D est dirigée par la Russie, qui développe le projet depuis plus d'une décennie.La mission marquera le retour à un territoire autrefois familier pour la nation;L'État précurseur de la Russie, l'Union soviétique, a lancé un certain nombre de sondes à Venus du début des années 1960 au milieu des années 1980, dans le cadre de ses programmes Veneraet Vega.(«Venera» est le nom russe de Vénus.)
"La Russie a toujours été intéressée à retourner à Vénus", a déclaré Senske.
La NASA s'est impliquée il ya environ trois ans, quand la Russie a demandé si l'agence spatiale américaine serait intéressée à collaborer à la mission, a ajouté Senske.
L'équipe conjointe de définition de la science est née de ces premières discussions.L'équipe s'est retirée peu de temps après;L'annexion de la Crimée par la Russie en mars 2014 a incité la NASA à suspendre la plus grande coopération avec Roscosmos, l'agence spatiale fédérale russe (les activités impliquant la Station spatiale internationale étant l'exception la plus importante).
Mais la collaboration a repris en août 2015, a déclaré Senske, et l'équipe s'est réunie à Moscou en octobre.D'autres réunions sont prévues, y compris un atelier de mai qui servira à éclairer les décisions concernant les instruments scientifiques de la mission, a-t-il ajouté.
Planet Venus: Quiz Yourself on Venus Facts Planète Vénus: Testez-vous sur Venus Facts
La planète Vénus est souvent assimilée à la Terre mais avec un problème de serre.La 2ème planète du soleil est chaude entourée de nuages mortels.Ce sont des indices.Testez maintenant vos connaissances sur les faits de Vénus. Un orbiteur, un lander et plus?
Venera-D est une mission de grande envergure, comparable à la portée de la NASA "phares" des efforts tels que la 2,5 milliards de dollars Curiosity Mars rover, a déclaré Senske.Le concept de base appelle un orbiteur qui étudiera Vénus depuis au-dessus pendant au moins trois ans, plus un lander qui fonctionnera pendant quelques heures sur la surface de la planète.
Les planificateurs de la mission ont dit qu'ils avaient initialement espéré que l'émetteur pouvait survivre pendant 30 jours;Le «D» dans Venera-D signifie «dolgozhivushaya», ce qui signifie «longue durée» en russe.Mais cet objectif a finalement été jugé trop difficile et coûteux, étant donné les températures cloques sur la surface de Vénus, selon RussianSpaceWeb.com(qui décrit l'histoire tortueuse dela mission en détails riches).
Les données recueillies par l'orbiteur devraient aider les scientifiques à mieux comprendre la composition, la structure et la dynamique de l'atmosphère de Vénus, y compris pourquoi l'air de la planète tourne tellement plus vite que la surface, phénomène mystérieux connu comme super- rotation.
Le sondage recueillera d'autres informations atmosphériques tout en descendant, puis étudiera la composition et la morphologie de la surface de Venusian après avoir touché vers le bas.
Venera-D pourrait également incorporer des composants supplémentaires.Quelques idées sur la planche à dessin incluent une poignée de petites stations de terre relativement simples qui rassembleraient des données de surface pendant un mois ou ainsi (remettant le «D» dans Venera-D) et un véhicule aérien solaire, dévissé qui ply Le ciel vénusien.
La surface de Vénus est beaucoup trop chaude pour supporter la vie que nous connaissons, mais les températures sont beaucoup plus hospitalier à une altitude de 50 km ou plus.En outre, l'atmosphère de la planète des sports mystérieux stries sombres que certains astronomes ont spéculé pourrait être des signes de vie microbienne.L'UAV pourrait hypothétiquement étudier cette possibilité, l'échantillonnage de l'air tout en croisière le long.
Les ingénieurs ont déjà réfléchi à la façon de construire un tel avion.Par exemple, la société aéronautique américaine Northrop Grumman et le partenaire L'Garde Inc. font des recherches depuis plusieurs années sur un véhicule conceptuelappelé Venus Atmospheric Maneuverable Platform(VAMP).
Illustration d'un artiste de la plate-forme manœuvrable atmosphérique de Vénus (VAMP) volée à travers les nuages de Vénus. Les premiers jours encore
Il est encore trop tôt pour savoir exactement ce que ressemblera Venera-D, ce qu'il fera ou quand la mission sera lancée.Un décollage en 2025 ou 2026 est possible sous une ligne de temps «agressif», a déclaré Senske."Cela dépend quand les Russes peuvent obtenir cela dans leur budget de l'espace fédéral", at-il dit.
Certaines choses sont connues, cependant.Par exemple, la Russie construira l'orbiteur et l'atterrisseur, et Venera-D lancera au sommet de la Russie en développement Angara A5 fusée, a déclaré Senske. Si la NASA reste impliquée dans cette mission.
Longtemps à venir
Venera-D est dirigée par la Russie, qui développe le projet depuis plus d'une décennie.La mission marquera le retour à un territoire autrefois familier pour la nation;L'État précurseur de la Russie, l'Union soviétique, a lancé un certain nombre de sondes à Venus du début des années 1960 au milieu des années 1980, dans le cadre de ses programmes Veneraet Vega.(«Venera» est le nom russe de Vénus.)
"La Russie a toujours été intéressée à retourner à Vénus", a déclaré Senske.
La NASA s'est impliquée il ya environ trois ans, quand la Russie a demandé si l'agence spatiale américaine serait intéressée à collaborer à la mission, a ajouté Senske.
L'équipe conjointe de définition de la science est née de ces premières discussions.L'équipe s'est retirée peu de temps après;L'annexion de la Crimée par la Russie en mars 2014 a incité la NASA à suspendre la plus grande coopération avec Roscosmos, l'agence spatiale fédérale russe (les activités impliquant la Station spatiale internationale étant l'exception la plus importante).
Mais la collaboration a repris en août 2015, a déclaré Senske, et l'équipe s'est réunie à Moscou en octobre.D'autres réunions sont prévues, y compris un atelier de mai qui servira à éclairer les décisions concernant les instruments scientifiques de la mission, a-t-il ajouté.
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La planète Vénus est souvent assimilée à la Terre mais avec un problème de serre.La 2ème planète du soleil est chaude entourée de nuages mortels.Ce sont des indices.Testez maintenant vos connaissances sur les faits de Vénus. Un orbiteur, un lander et plus?
Venera-D est une mission de grande envergure, comparable à la portée de la NASA "phares" des efforts tels que la 2,5 milliards de dollars Curiosity Mars rover, a déclaré Senske.Le concept de base appelle un orbiteur qui étudiera Vénus depuis au-dessus pendant au moins trois ans, plus un lander qui fonctionnera pendant quelques heures sur la surface de la planète.
Les planificateurs de la mission ont dit qu'ils avaient initialement espéré que l'émetteur pouvait survivre pendant 30 jours;Le «D» dans Venera-D signifie «dolgozhivushaya», ce qui signifie «longue durée» en russe.Mais cet objectif a finalement été jugé trop difficile et coûteux, étant donné les températures cloques sur la surface de Vénus, selon RussianSpaceWeb.com(qui décrit l'histoire tortueuse dela mission en détails riches).
Les données recueillies par l'orbiteur devraient aider les scientifiques à mieux comprendre la composition, la structure et la dynamique de l'atmosphère de Vénus, y compris pourquoi l'air de la planète tourne tellement plus vite que la surface, phénomène mystérieux connu comme super- rotation.
Le sondage recueillera d'autres informations atmosphériques tout en descendant, puis étudiera la composition et la morphologie de la surface de Venusian après avoir touché vers le bas.
Venera-D pourrait également incorporer des composants supplémentaires.Quelques idées sur la planche à dessin incluent une poignée de petites stations de terre relativement simples qui rassembleraient des données de surface pendant un mois ou ainsi (remettant le «D» dans Venera-D) et un véhicule aérien solaire, dévissé qui ply Le ciel vénusien.
La surface de Vénus est beaucoup trop chaude pour supporter la vie que nous connaissons, mais les températures sont beaucoup plus hospitalier à une altitude de 50 km ou plus.En outre, l'atmosphère de la planète des sports mystérieux stries sombres que certains astronomes ont spéculé pourrait être des signes de vie microbienne.L'UAV pourrait hypothétiquement étudier cette possibilité, l'échantillonnage de l'air tout en croisière le long.
Les ingénieurs ont déjà réfléchi à la façon de construire un tel avion.Par exemple, la société aéronautique américaine Northrop Grumman et le partenaire L'Garde Inc. font des recherches depuis plusieurs années sur un véhicule conceptuelappelé Venus Atmospheric Maneuverable Platform(VAMP).
Illustration d'un artiste de la plate-forme manœuvrable atmosphérique de Vénus (VAMP) volée à travers les nuages de Vénus. Les premiers jours encore
Il est encore trop tôt pour savoir exactement ce que ressemblera Venera-D, ce qu'il fera ou quand la mission sera lancée.Un décollage en 2025 ou 2026 est possible sous une ligne de temps «agressif», a déclaré Senske."Cela dépend quand les Russes peuvent obtenir cela dans leur budget de l'espace fédéral", at-il dit.
Certaines choses sont connues, cependant.Par exemple, la Russie construira l'orbiteur et l'atterrisseur, et Venera-D lancera au sommet de la Russie en développement Angara A5 fusée, a déclaré Senske. Si la NASA reste impliquée dans cette mission.
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