Un corp sans vie, a été rétrouvé, décapité, par des inconnues, en ville de Beni, précisement dans le quartier NGONGOLIO, en commune de MULEKERA, selon la Radiookapi-Benicapté, vers 17heures locale du lundi, 30 janvier 2017 : selon la même source, les gens qui se sont rendu, sur le lieu du drame, n' ont pas vu, quelques partie du corp dela victime ! Notament, les jambes, les pieds, la tête, les mains, et d'autres parties du corp :

Ainsi, la dépouille mortelle avec des têtes tranchées, avec des cous des armes blanche ce qui se fait dans la région de Beni ! Mais chez nous dans la Chefferie des Walendu-Bindi, on n’avait encore jamais vu cela ! comme par passé, au Nord-Kivu, mais on leurs coupe tout simplement la tête. C’est vraiment le dernier degré de la sauvagerie, qui veulent se répéter, encore de nouveau. C’est de la barbarie à l’état brut. Les dommages subis, par la victime doivent être considérer comme crimes grave contre les civils ! En effet, l'enterrement a eu lieu, sous une grande émotion ! Pour sa part la société de Beni-Ville demande encore une fois aux autorités politico-millitaire d'ouvrir une enquête pour identifier, les hauteurs de ces actes des crimes contre l'humanité, en cours dans la région de Beni, dépuis octobre 2014, à ce jour d'où plus de 1000 personnes sont tués sauvagement, par les rébélles étrangers des islamistes radicaux, présent, dans cette partie du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo, en proie des massacres, viols, incendies, déplacements massif des habitants civils, qui sont victimes les trois, dernières années. Dernièrement, les rebelles ADF sont accusés, d’avoir massacré, samedi 13 août, del'année passé, environ trente-six personnes, au quartier Rwangoma, à Beni-ville (Nord-Kivu).
Selon la société locale, les populations du quartier Paida auraient aperçu, vers 17 heures locales, une colonne de ces rebelles ougandais, se dirigeant vers Kasanga et Rwangoma, dans la commune de Behu.
La même source a indiqué que, ces assaillants ont entamé, leurs sale besogne vers 18 heures, tuant au passage, à la machette et à la hache, des populations trouvées dehors et dans leurs habitations, et même ceux qui revenaient de leurs champs.
La morgue de l’hôpital général de Beni été débordée, de plus et, les corps des victimes été entassés, les uns sur les autres, sous la protection des policiers qui empêchaient, tout accès aux populations.
Le bilan pourrait, encore s’alourdir, selon la société civile, ce jours là car, d’après elle, des corps ont retrouvés au fur et à mesure que, les recherches s’effectuent sur le terrain.
Dépuis les derniers massacres survenu dans le passé, la région de Beni à l’est de la République démocratique du Congo, beaucoup des personnalités et activistes appellent la communauté internationale à réagir, alors que, beaucoup d’internautes tentent d’alerter, en relayant des images de corps mutilés d’hommes, de femmes et d'enfants. Si la démarche de sensibilisation est essentielle, les méthodes parfois employées sont contestables : certaines de ces images n’ont rien à voir avec les massacres de Béni.
Le bilan des massacres dans la région de Béni depuis trois ans fait froid dans le dos : selon l’ONG Coordination de la société civile du Nord-Kivu, qui a rédigé une lettre ouverte au président congolais Joseph Kabila, plus de 1 000 personnes auraient été tuées et 1 400 autres enlevées. Les massacres de Beni illustrés par des images… d’autres pays africains ; Dix-sept personnes ont, trouvés la mort samedi 24 septembre à Ville de Beni et, plusieurs autres sont portées disparues, principalement les enfants, suite à un mouvement de panique provoquée par la rumeur d’une incursion des ADF dans cette ville du Nord-Kivu. Selon le responsable de la protection civile de Beni, la situation a été aggravée quand un militaire FARDC en tenue civile a commencé à tirer en l’air. Il a précisé que, ce bilan est encore provisoire.
Le responsable de la protection civile à Beni, Jean-Paul Kapitula, précise que quinze personnes sont mortes par noyade:
«Pendant cette panique, comme il pleuvait abondamment, il y a des enfants qui ont été perdus. Nous sommes en train de rechercher ces enfants. Ils ont pris la route Mangina, la route Butembo et d’autres, la route d’Oïcha. Et par rapport aux dégâts humains, nous comptons 15 morts par noyade et deux par crise. Nous attendons encore recevoir d’autres corps qui seront repêchés.» Pour la société civile, les forces de sécurité auraient pu empêcher ces massacres car, la population avait déjà signalé la présence de ces rebelles dans la ville quelques heures auparavant.
«Nous disons toujours aux forces de sécurité qu'il faut mettre une forte ceinture autour de grandes agglomérations. A Beni, à Oicha, à Mbau. Apparemment, on ne sent pas cela. Et on l’a toujours dit, il ne faut pas subir les évènements, mais plutôt les précéder. Puis qu’ils [rebelles ADF] sont venus jusque dans le cœur de la commune Behu jusqu’à côté du quartier Rwangoma», a dénoncé le président de la société civile de Beni-ville, pasteur-Gilbert Kambale.
La population en colère est descendue dans la rue pour protester contre ces massacres et demander la démission de certaines autorités du pays.
Radio Okapi n'a pas encore aucune réaction des responsables civils, militaires et ceux de la police du territoire de Beni car ils étaient, tout l’avant-midi, dans une réunion des agens, de sécurité dela place.

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