Dans l'objectif d'aller chercher des terres favorable àla semence d'agriculture, un groupe des sujets d'éxpression rwandophones à majorité des hommes, femmes, et enfants, qui voulaient se rendre en Ituri, ont été stopés par les civiles dela localité d'ERINGETI, au rond-point dela place, d'où ils sont été, abandonnés, par le chaufeur del'engin qu'ils les ont, amèné, là bas, après, un long voyage à partir du térritoire de RUTSURU, jusqu'en, Beni térritoire : cette nouvel a plus rapidement circulé, au sein des habitants qu'ils n'ont pas voulu, voir ce group des gens, qui étaient en voyage vers l'Ituri pour les travaux des champs, à BOGA, MITEGO, et ZUNGULUKA, selon témoignage, d'un de leurs, après, une vive tensions de part, et d'autres, dans la journée du lundu, à BAONGATSU :

Dans la journée du 06 févrvier 2017, un climat des tentions a été observé, au sein des habitants en colère de BAUNGATSO-ERINGETI, après avoir intercepté, un véhicule dans le quel se trouvaient, un groupe des gens venu, du térritoire de Rutsuru, qui voulaient se rendre à Tchabi, et Boga, au Sud dela province del'Ituri : alors c'est grâce àl'intervation des agens del'ordre, qui étaient, non loin, du lieu, qu'ils sont, échapés de plus, aux actes dela justice populaire, tout près, dela grande barrière de LUNA. En effet, beaucoup des gens d'ERINGETI disent idatifiés, ces migrateurs comme, les hauteurs massacres à répétition, dans la région de Beni, et au Sud d'Irumu. À ce stade, c'est une guerre d’usure faite contre la population, dans, le but de la fatiguer, et la décourager, pour qu’elle abandonne, ses terres arables. Pour prouver qu’il y a un peuple qui est visé, il suffit de se poser la question de savoir pourquoi ces massacreurs occultes ne traversent-ils pas les limites (à moins de 2 km) de la province du Nord-Kivu avec l’Ituri pour opérer de l’autre côté de la limite de la province.
Par ailleurs, en réfléchissant profondément on comprendra que ces gens apprendraient le kinande pour créer une sorte de diversions dans les rapports entre les Ituriens et les Nandes en vue d’empoisonner ces rapports. Dernièrement, les sujets hutus ressortissants de Masisi, ont été, désavoués, par les habitants de Boga, Mitego en Ituri ; Et après, un
déplacement, des populations en provenance de Masisi vers, l’Ituri, a été observé, de plus. Alors le mouvement contraire s’observe quelques jours après la mesure du gouverneur de province qui interdisant le mouvement de ce peuple de Masisi vers Beni voire l’Ituri. Ces personnes appartenant à la communauté Hutu été entrain, d’être chassé encore de l’Ituri par les autochtones. Ces derniers signalent que depuis la présence de ces sujets hutus dans la région l’insécurité a élu domicile dans les villages de Boga et environs. Désavoués par la population locale, certains de ces ressortissants de Masisi ont commencé à retourner dans leur milieu d’origine. Le cas concret est qu’un mini bus plein de ces sujets de Masisi, a été arrêté vendredi 10 juin dernier en ville de Butembo. Interrogés par la presse locale, ils ont signalé rentrer à Masisi. Comment ces personnes arrivent- elles à se procurer des cartes d’identité congolaises alors que ce sont des sujets Rwandais ?
– Pourquoi acceptent-ils d’aller vivre dans une région insécurité ?
– N’y-a-il pas un lien entre le massacre en territoire de Beni et la présence de ces immigrés dans la région ?
Voilà autant de questions qui méritent être analysées par quiconque se sentant concerné par ces mouvements des populations hutues rwandais vers la province de l’Ituri. Le cas le plus récent est celui concernant les mouvements de déplacement massif et clandestin de la population hutue du Rwanda vers l’Ituri. Ces immigrés prétendent venir de Masisi et de Rutshuru alors qu’il n’en est pas le cas. Jusqu’à présent aucun écho n’a filtré des villages tant du territoire de Rutshuru que de celui de Masisi par rapport au déplacement massif des populations hutu congolais au niveau de ces deux territoires en quête des terres arables en province de l’Ituri. Les informations dignes de foi reçues font étant des traversées nocturnes des populations hutues du Rwanda selon l’itinéraire suivant : « Rwanda-Ile d’Idjwi-Kalehe-Masisi-Ituri via Beni».
Selon ces mêmes sources ces mouvements seraient la mise en exécution d’un plan savamment monté, peaufiné et financé au Rwanda. En revanche, du côté congolais aucun effort n’est fourni en vue d’éclairer l’opinion nationale à propos. Pour tout observateur averti, certaines questions méritent réponses :
– Pourquoi ces mouvements des populations hutues du Rwanda sont-ils initiés pendant une période caractérisée par l’insécurité dans les sites d’accueil (collectivité de Walendu-Bindi en territoire d’Irumu ) et les zones environnantes (collectivité de Batangi-Mbau en territoire de Beni) ? Les populations du Nord, Sud-Kivu et Ituri devront également intérioriser le fait que la terre n’est jamais vendue aux étrangers. La grande partie des terres du territoire de Masisi n’est plus gérée par l’autorité coutumière autochtone parce qu’ayant été vendue aux particuliers qui y établissent des pâturages pour bétails. Les palestiniens avaient fini par perdre tout leurs pays après avoir vendu, progressivement et légalement toutes leurs terres vidées, d’hommes aux Israéliens de la diaspora. Aujourd’hui ils sont des apatrides. Pour les populations hutues du Rwanda, candidates à l’immigration, devront savoir que l’hospitalité légendaire du peuple congolais n’est plus à démontrer. Certes, La République Démocratique du Congo regorge en son sein de vastes étendues des terres vides dont la mise en valeur s’avère nécessaire pour son développement. Même si la nature a l’horreur du vide, les mécanismes de remplissage devront être planifiés et ordonnés.

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