Des inconnus armés ont mis fin à sa vie la nuit de dimanche à lundi 06 février 2017. Une source sur place décrit une incursion d’hommes munis de machette et de lance, arrivé au domicile de la victime vers 0h heures de la nuit. Alors que la victime tentait de résister avec son épouse, la fatalité est arrivée. Poignardée, la victime est morte sur place. Son épouse en est sortie avec des blessures et est admise aux soins. Consécutivement à cette situation, les activités d’enrôlement et identification des électeurs ont été perturbées avec les autres activités dans le village, ce lundi 06 février 2017 pour permettre l’inhumation de la victime :
Il s’appelle Kambale Kagheni SILWANO, né en 1983 père de 3 enfants, marié à Immaculée Musavuli et habitant du village de Kaseghe, en Localité Kamiriki, groupement Masiki Kalonge en Territoire de Beni, à environs 70 km à l’est de la Ville de Butembo.
En effet, l’école Primaire RWAMISI est voisine de quelques 160 m du Poste de Santé de Kaseghe où fonctionne le Bureau d’Inscription et d’enrôlement. Jusque là, aucune ne trace des auteurs de cet homicide. Il y a peu, d’autres actes d’incursion d’hommes armés ont été décriés dans ce village au mois de janvier. Isolé en face du Parc National des Virunga, le village de Kaseghe, manque cruellement de mécanisme de protection de sécurité des civils. Aucune position, ni des FARDC, ni de la Police, ni de l’ANR n’est présente et la route qui serpente la colline est en état d’impraticabilité manifeste et relie les villages de Kamiriki à Burondo, sur l’axe Kyavinyonge-Karuruma, des zones à haute sensibilité sécuritaire. Vers l'après midi de ce lundi 06 février 2017, un suspect dans l'affaire aurait étéarrêtépar la population puis lapidé.
A BENI, le procès des ADF continue d’offrir ses révélations. Dans les FARDC, il y a des complices des ADF et un député national. Ces derniers lançaient des menaces et faisaient des pressions aux OPJ (Officiers de police judiciaire) qui instruisaient les dossiers des prévenus. Ce lundi, une partie du procès était autour des numéros de téléphone masqués, des cartes SIM détruites pour cacher des traces de conversation entre ces complices des ADF et certains officiers FARDC comme le colonel FREDDY KABALENGA, ancien commandant des troupes FARDC au PK5 sur la route MBAU-KAMANGO.
De part, L’ACCO annonce une grève le 20 février suite au délabrement des routes du grand Nord-Kivu
L’Association des Chauffeurs du Congo, ACCO Grand-Nord, menace de déclencher un mouvement de grève suite à cette situation. Ce mouvement de grève est annoncé pourle 20 février si rien n’est fait dans le sens de pallier ce problème d’impraticabilité des axes routiers de la région.
Cette association fait savoir que la partie la plus délabrée, c’est l’axe Butembo-Beni-Kasindi. Citée par nos confrères de Radio Moto Oïcha, l’ACCO Grand-Nord dit avoir retiré sa confiance au concessionnaire de ce tronçon qui est SOPECO-CREC7. Les chauffeurs exigent son remplacement sans délai par le gouvernement. Se confiant à nos confrères de Radio Moto Oïcha ce week-end, Mbusa Musavuli, vice-président provincial de cette association, a souhaité que la firme SYNOHYDRO14 supplée CREC7.
«SYNOHYDRO a déjà fait ses preuves de compétences à Butembo où elle a assuré l’asphaltage du boulevard Joseph Kabila», justifie Mbusa Musavuli.
Il ajoute que l’association a constaté avec amertume que CREC7 n’est pas outillé en machines.
« C’est pour cela que nous sommes en train de réclamer la rupture de leur contrat avec le gouvernement. Qu’on nous amène SYNOHYDRO parce que nous avons été témoins des travaux que cette entreprise a exécutés»,
a-t-il insisté.
Il indique que cette grève que va déclencher son association d’ici le 20 février fait suite à de nombreuses alertes adressées au gouvernement central au sujet de l’impraticabilité de ces axes routiers.
BUTEMBO : L'honorable Maître Gilbert Kyatsinge décourage la population de la ville de Butembo d'aller s'enrôler dans les territoires voisins (Beni et Lubero) car, dit-il, aller s'enrôler en dehors de la ville c'est changer son identité.
Pourtant lui-même, habitant de Kinshasa est aller s'enrôler à Butembo. A-t-il succombé dans ce que lui-même reproche à ses concitoyens?
Toutefois, notre souhait est de voir les gens s'enrôler au grand maximum possible. Que chacun s'y implique.
Un notable Hutu de Rutchuru vivant a Kinshasa continu d’accuser le gouverneur Julien Paluku d’empêcher les Hutus de Masisi et Rutchuru de migrer vers l’Ituri par son arrêté signé en Mai 2016.OTTO BAHIZI ajoute que les territoires de Masisi et Rutchuru sont saturés et la suspension de déplacement des personnes migrant en Ituri est anticonstitutionnelle car la bilan sécuritaire des 10 ans de Julien Paluku est négatif. -Joint au téléphone hier, le rapporteur de l’assemblée provinciale d’ou était venue cette idée de suspension des mouvements suspects des personnes inconnues vers l’Ituri en traversant les zones insécurisées de Lubero et Beni recadre le débat. L’honorable Nkuba Kahombo précise qu’il y a ignorance des règles de l’assemblée provinciale car la note du gouverneur est venue de ma motion d’un député :-Le porte-parole du gouverneur n’a pas caché sa colère contre le jugement du notable Hutu de Rutchuru vivant à Kinshasa OTTO BAHIZI. Roger Rachidi Tumbula accuse Otto Bahizi de simuler ou imiter les FDLR, ces combattants Hutu-Rwandais et d’être leur complice et pyromane.
En politique, Etienne Tshisekedi s’en est allé avec une partie non révélée de l’histoire de la RDC. Le 02 Juin 1966, le président Mobutu Sese Seko commettait son premier meurtre politique une pendaison de trois ministre.
En effet, l’école Primaire RWAMISI est voisine de quelques 160 m du Poste de Santé de Kaseghe où fonctionne le Bureau d’Inscription et d’enrôlement. Jusque là, aucune ne trace des auteurs de cet homicide. Il y a peu, d’autres actes d’incursion d’hommes armés ont été décriés dans ce village au mois de janvier. Isolé en face du Parc National des Virunga, le village de Kaseghe, manque cruellement de mécanisme de protection de sécurité des civils. Aucune position, ni des FARDC, ni de la Police, ni de l’ANR n’est présente et la route qui serpente la colline est en état d’impraticabilité manifeste et relie les villages de Kamiriki à Burondo, sur l’axe Kyavinyonge-Karuruma, des zones à haute sensibilité sécuritaire. Vers l'après midi de ce lundi 06 février 2017, un suspect dans l'affaire aurait étéarrêtépar la population puis lapidé.
A BENI, le procès des ADF continue d’offrir ses révélations. Dans les FARDC, il y a des complices des ADF et un député national. Ces derniers lançaient des menaces et faisaient des pressions aux OPJ (Officiers de police judiciaire) qui instruisaient les dossiers des prévenus. Ce lundi, une partie du procès était autour des numéros de téléphone masqués, des cartes SIM détruites pour cacher des traces de conversation entre ces complices des ADF et certains officiers FARDC comme le colonel FREDDY KABALENGA, ancien commandant des troupes FARDC au PK5 sur la route MBAU-KAMANGO.
De part, L’ACCO annonce une grève le 20 février suite au délabrement des routes du grand Nord-Kivu
L’Association des Chauffeurs du Congo, ACCO Grand-Nord, menace de déclencher un mouvement de grève suite à cette situation. Ce mouvement de grève est annoncé pourle 20 février si rien n’est fait dans le sens de pallier ce problème d’impraticabilité des axes routiers de la région.
Cette association fait savoir que la partie la plus délabrée, c’est l’axe Butembo-Beni-Kasindi. Citée par nos confrères de Radio Moto Oïcha, l’ACCO Grand-Nord dit avoir retiré sa confiance au concessionnaire de ce tronçon qui est SOPECO-CREC7. Les chauffeurs exigent son remplacement sans délai par le gouvernement. Se confiant à nos confrères de Radio Moto Oïcha ce week-end, Mbusa Musavuli, vice-président provincial de cette association, a souhaité que la firme SYNOHYDRO14 supplée CREC7.
«SYNOHYDRO a déjà fait ses preuves de compétences à Butembo où elle a assuré l’asphaltage du boulevard Joseph Kabila», justifie Mbusa Musavuli.
Il ajoute que l’association a constaté avec amertume que CREC7 n’est pas outillé en machines.
« C’est pour cela que nous sommes en train de réclamer la rupture de leur contrat avec le gouvernement. Qu’on nous amène SYNOHYDRO parce que nous avons été témoins des travaux que cette entreprise a exécutés»,
a-t-il insisté.
Il indique que cette grève que va déclencher son association d’ici le 20 février fait suite à de nombreuses alertes adressées au gouvernement central au sujet de l’impraticabilité de ces axes routiers.
BUTEMBO : L'honorable Maître Gilbert Kyatsinge décourage la population de la ville de Butembo d'aller s'enrôler dans les territoires voisins (Beni et Lubero) car, dit-il, aller s'enrôler en dehors de la ville c'est changer son identité.
Pourtant lui-même, habitant de Kinshasa est aller s'enrôler à Butembo. A-t-il succombé dans ce que lui-même reproche à ses concitoyens?
Toutefois, notre souhait est de voir les gens s'enrôler au grand maximum possible. Que chacun s'y implique.
Un notable Hutu de Rutchuru vivant a Kinshasa continu d’accuser le gouverneur Julien Paluku d’empêcher les Hutus de Masisi et Rutchuru de migrer vers l’Ituri par son arrêté signé en Mai 2016.OTTO BAHIZI ajoute que les territoires de Masisi et Rutchuru sont saturés et la suspension de déplacement des personnes migrant en Ituri est anticonstitutionnelle car la bilan sécuritaire des 10 ans de Julien Paluku est négatif. -Joint au téléphone hier, le rapporteur de l’assemblée provinciale d’ou était venue cette idée de suspension des mouvements suspects des personnes inconnues vers l’Ituri en traversant les zones insécurisées de Lubero et Beni recadre le débat. L’honorable Nkuba Kahombo précise qu’il y a ignorance des règles de l’assemblée provinciale car la note du gouverneur est venue de ma motion d’un député :-Le porte-parole du gouverneur n’a pas caché sa colère contre le jugement du notable Hutu de Rutchuru vivant à Kinshasa OTTO BAHIZI. Roger Rachidi Tumbula accuse Otto Bahizi de simuler ou imiter les FDLR, ces combattants Hutu-Rwandais et d’être leur complice et pyromane.
En politique, Etienne Tshisekedi s’en est allé avec une partie non révélée de l’histoire de la RDC. Le 02 Juin 1966, le président Mobutu Sese Seko commettait son premier meurtre politique une pendaison de trois ministre.
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