La découverte d'un cercueil à Mangboko-Mbau alimente, une pyscause au sein des habitants civils qui ont peur d'être victimes d'un événement malheureux s'est produit, le samedi dernièr, dans cette localité, du sécteur de Beni-Mbau :

Nous révenons sur les derniers actualités, dans quelques localités du térritoire de Beni-Lubero, dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, en proie des actes de térrorisme dépuis octobre 2014 :
Précisement, à Mbau, un cercueil avec une croix dans le quel se trouvaient, des cheveux, des femmes, hommes, a été découvert, devant la porte d'une habitation, le 04 février 2017, à MANGBOKO, un village du chef lieu du sécteur de Beni /Mbau, situé, en térriroire de Beni, àl'Est dela République Démocratique du Congo. Alors que, les domiciliés étaient, encore au lit : en effet, c'est une dame voisine qui a constaté, le fait quand elle voulait, se rendre très tôt le matin, pour puisé de l'eau. Alors le responsable de la maison et ses enfants craignant, pour leurs sort, n'ont pas su quitté, logis jusqu'à l'aboutissement des enquêtes menées par la notabilité locale, et les éléments de la PNC. Pendant plus de 3heures ceux - ci étaient, enfermé, dans la maison. Sigalons ici bas que, cette nouvelle étant répandue dans le milieu, dans tout le village qui a été alerté. Ce jour là, un chef coutumier local entouré, par la population en présence des éléments de la police de l'ANR, a procédé aux cérémonies coutumières avant l'ouverture de cette bière qui, par surprise ne contenait que des chevelures des humains qu'on voit souvent jetées dans des salons de coiffure comme saleté. Après l'opération, ce cercueil bien couvert par une étoffe et une croix portant mention 666 a ete transporter par le commandant de la PNC commissariat de Mbau pour disposition et compétence . Jusqu'à présent, on ignore encore l'origine de ce cercueil. Le propriétaire de la maison craint pour la suite de cet événement.
Au procès des ADF de BENI, le Général Major TIMOTHEE MUKUTU, avocat général des FARDC, a présenté un membre d’une association des motards d’OICHA qui ravitaille les ADF en vivres. Il a trainé devant la cour également un colonel FARDC, FREDDY KABALENGA, ancien commandant du 34-04e régiment basé au point kilométrique 5 sur la route MBAU-KAMANGO qui était en contact téléphonique avec un commandant des ADF. Le procès a été suspendu pour reprendre lundi avec d’autres révélations.
À Oïcha Shaykh Ibrahim Dongo : « Vu comme c’est parti, même dans 10 ans la mosquée ne sera pas achevée ».
Selon l' immersion au sein de la communauté musulmane d’Oïcha, chef-lieu du territoire de Beni, a ému certains congolais de la diaspora, qui ont mis en place une collecte de fonds, la situation reste hautement délicate pour les responsables religieux sur place.
175 Euros récoltés sur l’objectif de 5000 que se sont fixés les initiateurs français de la collecte de fonds destinée à financer la finalisation des travaux de construction de la grande mosquée d’Oïcha. Depuis 20 ans, le projet stagne et les musulmans de la région peinent à réunir les fonds nécessaires. Contacté par nos soins, Shaykh Ibrahim Dongo s’est dit attristé face à une situation qui n’évolue pas, mais aussi face à la levée de fonds qui ne décolle pas.
« Nous continuons avec les travaux, petit à petit, dès qu’on reçoit un sac de ciment, on avance avec, dès qu’on a des briques, on les pose, mais… en réalité, nous sommes à bout de forces. Vu comme c’est parti, dans 10 ans, la mosquee ne sera pas finie, a déploré l’imam. Nous voyons qu’il n’y a pas beaucoup de gens pieux qui sont prêts à aider notre religion au Congo. Après, si les gens ne souhaitent pas nous venir en aide, Allâh Seul jugera entre nous le Jour du Jugement. »
Nord Kivu : Face aux multiples cas de violation des droits humains en Groupement Malio, la population lance l’alerte ; Depuis le mois de novembre 2016, les Forces Armées de la RDC sont en opération contre les miliciens Mayi Mayi aux alentours de la ville de Butembo particulièrement dans le Groupement Malio, en Chefferie de Bashu, Territoire de Lubero. Des acteurs de la société civile dénoncent nombreux actes inciviques commis par des hommes armés vêtus en tenues militaires.
Dans ces villages, les militaires de l’armée loyaliste sont accusés de plusieurs exactions contre la population civile : viol, vols à mains armées, extorsions et autres actes inhumains allant jusqu’au déshabillage des femmes et des hommes ainsi que des enfants sous prétexte de rechercher des tatouages humain, généralement retrouvés chez les personnes ayant été scarifiées par les miliciens. Plusieurs barrières payées ont été érigées sur ces axes. Les frais perçus sont évalués entre 500 (environs 0, 4$) et 1000francs congolais (0,9$) pour chaque passant. Ces frais sont perçus par ces hommes armés, dénonce cette lettre.
Dans cette lettre adressée à l’administrateur du Territoire de Lubero, les communautés de la localité Kisesa Ndondi, Vurondo et Axe Mwenye dénoncent des cas de vols dans 618 ménages, le vol de plusieurs chèvres et biens de ménages par des éléments militaires déployés dans cette zone. Ces populations meurtries appellent les autorités à user de leur pouvoir pour mettre fin à ces actes.

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