La société civile de Manzamapini, en térritoire de Beni, a confirmé, une fusillade d'une fille par un homme qui a vétu, l'uniforme semblable à ceux des millitaires Fardc: alors événement, s'est passé, dans un village situé, dans la partie, Ouest de May Maya, en Groupement de Bambubha-Kisiki, d'ou, une fille âgé, de plus de 20 ans a été fusié, dans un champ, pendant la journée de ce mercredi, par un incivique non autrement identifiés, selon un membre dela société civile dela place, contacté, par la Radio Semliki Beni, qui est notre source, lors d'une séssion du journale de 19heures 30, ce soire du mercredi 08 février 2017 : au dernière nouvel, on nous signale que, la victime est àl'hôpital, pour des soins approprié ! Et pour nous, tout cela porte les signatures des rébélles du groupe Adf-Nalu puisqu'ils se sont établie, ilégalement, dans plusieurs parties dela région de Beni.... Del'autre conté du même térritoire, un autre membre dela société civile indique que, dans le groupement de isale bulambo chefferie des BASHU, 3 personnes ont été kidnappés à kisanga en cheval avec le sécteur de RWENZORI, par des inconnus. Selon la même source, ces ravisseurs ont même, brûlés 2 maisons. Alors un groupe des habitants dela place en colère ont brûlés une personne complice de cet événement malheureux. Le conflit de terre serait à la base de cette situation : En ce qui concerne la fusillade d'une fille, le criminnel a voulu, qu'il puisse tombé, avec la fille, en faisant, un acte de séxcualité, ce qui, n'a pas été le cas, pour la victime, après avoir était, long temp, solicité, par cet homme armé : et après, la fille a pris la fuite avec des cries ninakufaeeee en français, je suis mort, et sans tardé, l'homme en arme semblable à un millitaire Fardc incontrôlée, a tiré, à cou d'une balle réel qu' il a bléssé, gravement, la fille, à sa cuisse ! Après son forfait, ce lui là, a pris, le large, dans la nature, jusque présent, selon, le témoignage dela victime qui est admi au centre de santé, de May Moya, dans le même journée : À BUTEMBO aussi.......

« Le semeur des troubles peut être un militaire, un civil ou toute autre personne. Nous devons tous les dénoncer afin de les démasquer. Et dans des cas où des bandits sont porteurs des tenues militaires, il peut s’agir des gens qui ont acquis des tenues militaires illégalement. Même dans le cas où il s’avère que c’est un militaire, ce dernier doit répondre de ses actes devant des instances judiciaires tout comme des civils coupables »,chute le colonel Guillaume NYONGO BALINGENE B52.
Il espère que la collaboration entre la population et les services de sécurité tout comme la souplesse dans la dénonciation des incursions et des ennemis de la paix pourra vite contribuer à la restauration d’un climat de paix à Butembo. Butembo : L’autorité militaire fait des révélations sur les vraies personnes qui insécurisent la ville avec ou sans les armes à feu
Le colonel Guillaume NYONGO BALINGENE B52 pense d’emblée que cette insécurité est causée par presque 3 catégories de bandits. D’abord, certains enfants du milieu opérant avec l’appui de certains groupes armés. Ensuite, des bandes armées venus de l’Ituri. Ce groupe opère avec des clés passe-partout en connivence avec des enfants de la ville. Enfin, des militaires incontrôlés, des déserteurs et des démobilisés qui peuvent détenir des armes en violation de la loi. Mais, ce problème est soluble, confie le commandant ville des FARDC. Il ne doute pas un seul instant que la solution soit trouvée dans l’immédiat. Notre interlocuteur souhaite que l’intervention des services de sécurité ne tarde plus. De telle sorte que si des bandits arrivent dans une parcelle à 0 heure 5 minutes, que la jeep des agents de l’ordre et de défense atteigne le lieu de l’incursion à 0 heure 10. Mais, il faut que les citoyens alertent vite pour gagner le pari. La stratégie consiste à renouer avec les patrouilles mixtes qui avaient été suspendues. La raison, permettre à la PNC de s’acclimater à la mission de sécuriser les kits électoraux et aux FARDC de poursuivre des membres des groupes armés. Aujourd’hui, tout étant redevenu encore normal, les patrouilles mixtes PNC-FARDC seront au rendez-vous chaque nuit et chaque journée. Et cela, avec des moyens disponibles. Mais, notre source insiste sur la dénonciation des cas suspects. Rutshuru : Un journaliste d’ALJEZIRA et son chauffeur libérés après une semaine d’enlèvement
Lui et le chauffeur qui conduisait la voiture à bord de laquelle tous voyageaient lors de la prise d’otage mercredi 1er février dernier par des hommes armés sont libres. Ils avaient été enlevés sur la piste Rwindi-Kibirizi. Ces deux personnes ont été relâchées lundi 6 février 2017. Elles ont voyagé jusqu’à Kiwanja grâce à un convoi de l’administrateur assistant du territoire de Ruthuru.
Ces ex otages sont encore discrets au sujet des conditions de leur libération. En cinq jours de leurs captivité, ces deux personnes témoignent avoir passé des moments très durs, dans leurs vies.
En Ville de Goma, c'est l’une des rares rencontres du gouverneur JULIEN PALUKU avec les membres de la coalition des partis politiques d’opposition de Goma qui s’est tenue en sa résidence ce mercredi 8 février 2017. Ils ont demandé au gouverneur de s’impliquer dans la libération de leurs camarades emprisonnés depuis maintenant deux mois à la prison provinciale de MUNZENZE. Le gouverneur comme point focal de la majorité présidentielle et comme autorité provinciale, les opposants lui ont demandé de s’impliquer dans la mobilisation pour l’enrôlement et de dire au maire de Goma de laisser les opposants libres de sensibiliser pour les élections car en définitive c’est le peuple qui va y gagner. Les membres du RDC-KML, de la DCF/N, FCR (Front Citoyen pour la République), l’UNAFEC, l’UDCF, MLC et PTC sont allés chez le gouverneur pour parler à la fois de son bilan de 10 ans, pour eux, passé dans le deuil, et de l’implication de tous dans l’enrôlement pour les élections prochaines. Maitre RENE KIUNDA de la DCF/N, point focal de la COALITION DE L’OPPOSITION AU NORD-KIVU insiste ici sur l’implication de l’opposition dans l’enrôlement.
21 présumés rwandais sont arrêtés par la Direction Générale de Migration « DGM » pour s’être fait enrôler à Goma. parmi eux, il y a un étudiant rwandais qui poursuit ses cours dans un institut supérieur de Goma. Le vice-président de la CENI a dit que la commission juridique de la centrale électorale va s’occuper de ce dossier et les enquêtes sont déjà ouvertes selon la loi électorale. Si ces personnes sont identifiées comme étant réellement de nationalité rwandaise, elles sont passibles de poursuite pour usurpation de la nationalité congolaise qui est une et exclusive. Par ailleurs, tout congolais vivant au RWANDA ou dans un autre pays étranger qui veut se faire enrôler doit attendre car la diaspora pourra aussi prochainement se faire enrôler à travers les ambassades, a précisé le vice-président de la CENI. Hier mercredi quelques agents commis à l’enrôlement, ont annoncés, des grèves....

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