Le groupe armés du FRPI, ont fait parlés d'eux encore de nouveau, dans Dassault quelques localités de la Colléctivité de Walendu-Bindi, en Ituri, le lundi et mardi dernier, pendant les heures nocturne, selon, notre amie Guillaume Divin Chrispin-mike qui nous a informé, d'une nouvel incursion d'un groupe des miliciens idatifié, aux combatants du FRPI, à MATAFU, une localité du groupement de Bukiringi, situé dans la Chefferie des Walendu-Bindi au Sud du térritoire d'Irume, dans la province del'Ituri, au Nord-Est dela République Démocratique du Congo, àla limite avec le groupement de Boloma ! En effet, l'événement malheureux, s'est produit, dans la nuit du lundi 13 février 2017 dernier. Après un échange des tirs de part et d'autres, les assaillants ayant étaient délogés par la pnc et fardct en garde, dans cette localité ciblée. Dans leurs passage ces assaillant ont reussi de pillés un village voisin soit à 600m du ci dont le bilan fait beaucoup des bêtes pillés et plusieurs biens de valeur. Dans la nuit du mardi au mercedi vers 20 heures locale jusqu'à 22h, les combants du FRPI ont opérés en Kaswara et Modhiro, tout près d'Aveba, chef lieu du groupement de Boloma, où, ils ont pillés systématiquement les biens des pauvres habitants civils dela place, et tués deux millitaires FRDC sur place, avant d'enlevé une femme, qui reste introuvable jusque présent. C'est le bilan provisoire qui peut d'ici 2 heures révu, àla hausse d'où, on aura de plus, une suite encore selon une source locale que, j'ai contacté, moi même au téléphone ce mercredi 15 févrir 2017 vers 08heures locale. Selon la même source, le mardi, la CENI, n'a pas ouvert sa porte au public suite à une fuite d'information sur la présence encore les assaillants le plus proche soit à demi km du Bureau dela CENI, peut être dans l'objectif d'une nouvelle attaque contre la CENI : selon une source des soit disant, les assaillants, ces derniers, ont promis de piller des maisons étant déjà enrichis et garantis par la ceni. D'après les autorités politico millitaire, le centre d'enrôlement dela place, sera délocalisé, afin d'eviter de plonger, la vie humaine des habitants civile, dans un grand fléau de desespoir souligne l'ops et le pci en n'est directement informer sa hierarchie, et doivent contacter le commandant des millitaires Fardc, en place de fardc se dit déjà informé, de cette situation, et promet, de prendre des mésures et bien garder, l'opération d'enrôlement en cours vers localité Matafu, d'où, l'insécurite grandissante est devenue une pire prière de litanie à la bouche de tous. NB : le chef de cette localité, c'est mon propres oncle son nom c'est Matso Sengi donc, le frère de ma mère Androsi Jeannet Manenge qui vit, à Matafu son village d'origine ! C'est là que, mr Adirodu Roger a grandi de plus, avec la maîtrise de ma langue maternel à 50% :

La fois passé, la population recommandé aux autorités de rassembler d’urgence pour sauver ce processus DDR qui risque de se solder en échec comme les trois premières phases.
« Ces combattants peuvent disparaitre dans la nature. Nous demandons au gouvernement de récupérer ces ex-combattants qui sont éparpillés dans la chefferie de Walendu Bindi et de les réinsérer selon leurs choix », a plaidé Masumbuko Adaba.
De son côté, le responsable de l’Unité d’exécution de programme DDR en Ituri, René Sileki, a indiqué que ces ex-combattants sont en visite familiale en attendant le début de formation professionnelle prévue dans un mois.
« Chacun a reçu une somme de 100 $ pour regagner son milieu en attendant que le processus se poursuive. Toutes les dispositions sont prises et il n’y a pas à craindre », a assuré René Sileki.
Les notables de Walendu Bindi estiment à environ 350 miliciens de la FRPI qui avaient intégrer ce processus de DDR.
En effet, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont décidé de mettre fin à la présence des miliciens FRPI dans la province de l’Ituri.
C’est ainsi qu’elles ont lancé depuis dimanche 29 janvier, des attaques contre plusieurs positions des miliciens du Front de résistance patriotique de l'Ituri (FRPI) dans les villages de Kilonge, Tsekele et Bamugara dans la chefferie de Walendu Bindi.
Selon le porte-parole de l’armée en Ituri, le capitaine Carlos Kalombo cité par Okapi, l’objectif de cette opération est de démanteler le sanctuaire de ces miliciens dans cette région.
Ces combattants cherchaient à se réorganiser dans la région, mais l’armée nationale a réussi à les déloger, à indiqué les mêmes sources.
Interrogé, un membre de la société civile locale a indiqué que, les miliciens ont incendié, à leur tour, une position des FARDC à Tshekele, une allégation démente par le porte-parole de l’armée en Ituri.
Le bilan, même provisoire, de ces affrontements n’a pas encore été fourni, étant donné que les combats se poursuivaient encore ce lundi 30 janvier dans cette région.
Les miliciens de la Force de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI), de Cobra Matata aux arrêts, ont regagné depuis samedi 17 janvier leurs anciens maquis dans la chefferie de Walendu Bindi dans le territoire d`Irumu, trois jours après les combats qui les ont opposés aux FARDC dans la périphérie du village d’Aveba. Une colonne de ces miliciens bien armés a été aperçue aux villages Maga et Araba, a indiqué la société civile locale, craignant pour la sécurité de la population locale.
Les combattants de la FRPI ont regagné leurs maquis le samedi vers 18 heures. Ils sont localisés aux villages Nyaibo, Katoto et Toro vers Burasi à la rivière Semuliki, frontalière avec l’Ouganda.
Selon la société civile d’Aveba, ces miliciens bien armés sont accompagnés de leurs dépendants. Cette structure s’est dite préoccupée du retour des miliciens dans leurs maquis.
Selon son président, Jean De Dieu Mbafele, la population est la première victime des exactions de ces miliciens, chaque fois qu’ils retournent dans leurs maquis.
Il demande aux FARDC de bien garantir la sécurité de la population dans cette région.
Des sources concordantes indiquent qu’avant de se retirer au village de Mahindi à 3 kilomètres d’Aveba, ils avaient violé et tué cinq femmes d'où, le responsable local de la FRPI étant injoignable.
Les FARDC disaient être au courant du retour des miliciens dans leurs anciens maquis. Le commandant de la 32ème région militaire, Jean-Pierre Bongwangela, àl'époque a assuré que, les FARDC restent déterminées à protéger la population et leurs biens.
Aucun bilan n’été encore connu, de violents combats qui ont opposé, ce jour là, les Forces armées de la RDC aux miliciens de la Force de résistance patriotique de l’Ituri de Cobra Matata dans la chefferie des Walendu-Bindi. Notons que, Justin Banaloki, alias Cobra Matata, avait été transféré à Kinshasa lundi 5 janvier, trois jours après son arrestation à Bunia par le commandement militaire opérationnel de l’Ituri pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Son transfèrement avait été salué notamment une ONG locale de défense de droit de l’Homme, Justice-Plus, espérant voir Cobra Matata être jugé et les victimes d’exactions de la FRPI obtenir réparation.
La population de la chefferie de Walendu Bindi en Ituri s’inquiètait du retour depuis mercredi dernier d’une dizaine d’ex-combattants du groupe armé FRPI qui avait intégrés le processus DDR. Dans une déclaration faite samedi 25 juin, le vice-président de la communauté Ngiti, Masumbuko Adaba, a indiqué que la population locale redoute que ces ex-miliciens venus du centre de Kamina réintègrent la milice FRPI qui continue de semer la terreur au sud du territoire d’Irumu.
Il a rapporté que quatre parmi eux ont été aperçus jeudi au village de Kaswara et 11 autres à Gety-Etat.
Masumbuko Adaba a précisé que leur présence a créé une psychose dans cette entité coutumière où les conflits armés perdurent depuis environ 15 ans.

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