Les camions poids-lourds ont encore une fois commencés à traverser le pont sur la rivière SEMULIKI, situé dans la partie Sud-Est du térritoire de Beni, vers. l'Est dela République Démocratique du Congo, précisement, dans la partie Nord dela provinciale du Nord-Kivu. En effet, le conseiller technique du gouverneur, ROGER MALINGA, dit avoir passé toute la journée de samedi 18 février courant, sur ce pont avec des ingénieurs et experts de l’Office des routes pour remplacer la bande de roulement. Ce dimanche, ils vont renforcer de plus ce pont par serrage brides, selon la même source :

Sur instruction du Président de la République, le Gouvernement avait mis les bouchées doubles pour rétablir la circulation sur cet ouvrage construit vers les années 1950. « Il n’ya rien à s’inquiéter du pont Semliki, celui –ci ne s’est pas effondré comme les prétendent les mauvaises langues », a rassuré le Chef de l’Exécutif provincial Paluku précisant qu’il s’agit « d’une bande de roulement faite de quelques planches qui ont cédé au-dessus ».
Des explications techniques de l’Office des Routes fournies au Gouverneur indiquant « qu’il y a eu un petit décollage de la soudure sur le diagonal interne consécutive à la vibration du bois après le récent passage des engins lourds sur l’ouvrage dont les 63 mètres restent intacts ».
Pour parer contre toute éventualité, les ingénieurs de l’Office des routes ont déjà été dépêchés sur place pour non seulement remplacer les planches mais aussi renforcer la soudure de la ferraille diagonale longue des 43 mètres. Pendant l’exécution des travaux de réparation qui ne prendront que quelques jours, seuls les véhicules de tonnage moyen pourront traverser, a encore assuré l’Autorité provinciale qui a mis en garde contre les récupérations politiciennes.
Une partie du pont Semliki longue de vingt mètre, jeté sur la rivière du même nom, sur l’axe Beni-Kasindi à une vingtaine de kilomètres à l’Est de la ville de Beni s’était effondrée en date du 2 janvier dernier au passage d’un gros camion Mercedes Benz « Actros ». état actuel du pont Semliki ne présente aucune inquiétude sur l’état actuel sauf quelques de la bande de roulement qui se sont légèrement détachées du platelage de la partie restée intacte, a rassuré le Gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku au cours d’une mise au point tenue ce vendredi 17 février à sa résidence officielle.
L’ICCN (Institut Congolais pour la Conservation de la Nature) a retrouvé ce samedi ses 3 gardes-parc morts noyés dans le lac EDOUARD. Le naufrage est arrivé en pleine tempête quand ils accompagnaient une soixantaine d’aspirants gardes-parc qui se rendaient à ISHANGO et qui, eux, sont bien arrivés à destination. La 4e personne noyée dans le lac reste encore introuvable, c’est le comptable du comité des pêcheurs qui allait pourtant à la rescousse de ces gardes-parc noyés. Le chargé de communication de l’ICCN, JOEL WENGAMULAY, affirme que malgré la tempête qui persiste sur le lac EDOUARD, les recherches continuent pour retrouver le 4e corps.
Au Nord-Kivu : Ce samedi, la MONUSCO et le fonctionnaire délégué du gouvernement à BWALANDA-NYANZALE dans le territoire de RUTSHURU ont enterré les 24 personnes tuées vendredi matin par des présumés MAI-MAI. 20 dans le village de BITIKURA et 4 à NYAMARERE. Selon FRANK BAKUNDAKABO NDAHURURUNGA, fonctionnaire délégué du gouvernement à BWALANDA- NYANZALE, l’insécurité persiste dans les bourgades KYAHALA, NYAMARERE, BITIKURA et dans toute la région de BWALANDA- NYANZALE à cause des MAI-MAI qui se cachent sur la frontière commune avec le territoire de WALIKALE. Il ajoute que 7 blessés rescapés de ce massacre continuent les soins à NYANZALE et ici à GOMA.
À Kinshasa : Cinquante – un prisonniers condamnés pour des infractions de droit commun ont bénéficié samedi 18 février d’une grâce présidentielle.
Parmi ces bénéficiaires figurent des condamnés pour vol, escroquerie, vol avec violence , Extorsion et recel d’objet à des peines variant entre trois et dix ans. Cette grâce présidentielle a coïncidé avec la célébration de onze ans de la promulgation de la constitution du pays. Jean Claude Katende président d’Association africaine des Droits de l’Homme (ASADHO) a soutenu ce samedi 18 février 2017 la nécessité d’une enquête indépendante après la diffusion de la vidéo impliquant des présumés FARDC dans le massacre d’un groupe de civils identifiés comme adeptes de Kamuina Nsapu.
«Pour élucider ce massacre, il est important qu’une enquête indépendante soit organisée afin de sanctionner ceux qui ont commis ce massacre et tous ceux-là qui les ont protégés en déclarant qu’ils ont fait du bon travail. Ils sont tous connus », a dit Jean Claude katende.
Contacté cet après-midi par ACTUALITE.CD, le porte-parole du gouvernement Lambert Mende accuse l’entourage de Moïse Katumbi d’être derrière cette vidéo de massacre qu’il qualifie de montage « grossier et ridicule » visant à ternir l’image de la République. Massacre par des présumés FARDC :
L’ASADHO soutient l’ouverture d’une enquête indépendante. Jean Claude Katende président d’Association africaine des Droits de l’Homme (ASADHO) a soutenu ce samedi 18 février 2017 la nécessité d’une enquête indépendante après la diffusion de la...
À BENI-VILLE : Sur, les dernier l’audience que été vite suspendue, non seulement suite aux tentions qui s’en sont immédiatement suivies parmi la foule révoltée par le caractère scandaleux de cette révélation, mais aussi du fait que les meneurs du procès eux-mêmes ne pouvaient trouver comment cacher leur honte devant une telle situation.

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