LES PROCÈS DES ADF EN COURS DANS LA RÉGION DE BENI, UN DÉBUT DE VÉRITÉ PASSE INAPERÇU ? SELON UN GROUPE D'ANALISTES SUR LES DERNIERS QUI A COÛTÉS LA VIE À PLUS DE 500 CIVILS, À MAJORITÉ DES HOMMES, FEMMES, ET ENFANTS. À l'annonce du procès de Beni, un membre dela société civile urbaine de Butembo, a publié, une turbune sur sont compte habituel de Facebook, pour annoncé, un procès piège. Et bien après une gestion presque parfaite du dossier pendant trois trimestres, un détenu clé vient semer le trouble dans les esprits de organisateurs. Amuli Banza Suleyman un type qui a donné avec maîtrise la différence entre Adf et Nalu répondant à la question de savoir qui sont leurs chefs? Il donne deux noms, une autorité civile le PPRD maire de ma ville de Beni et le Général Mundos. Pas surprenant ce ne sont que des simples déclarations : en effet............

Pour que le Maire soit utilisé, il doit avoir reçu le feu vert du gouverneur de province, comment n'ont ils pas anticipé les événements? Pourquoi se justifier seulement quand ils sont cités par un adf?
3. Peuvent-ils nous aider à comprendre comment le chef des opérations Sokola à cette époque et l'autorité urbaine ont été simultanément utilisés dans une opération d'infiltration ?
Sinon, en échange des infos des adf, que ce que les autorités civiles et militaires ont donné en contrepartie aux tueurs?
5. Pouvons-nous comprendre que les informations tactiques qui permettaient aux tuers d'anticiper et d'éviter les patrouilles militaires, le retard dans les interventions, la logistique des tueurs et autres incompréhensions de terrain sont en partie liées aux opérations d'infiltration?
On a besoin de savoir plus au vu du drame et pour la réputation des autorités impliquées. Et surtout nous espérons que le prévenu Banza restera en vie jusqu'aux prochaines séances."
Hon Nzangi
Toutefois, personnellement, je continue à croire qu'il s'agit là d'une stratégie de chercher encore une de victimiser les victimes elles-mêmes. Il est trop tôt de conclure.
Mais la surprise vient de la réponse quasi directe du Général représentant le Ministère public, « nous infiltrons les adf en présentant le maire de la ville auprès des combattants subalternes comme leur chef pour avoir des infos fiables».
Ce petit éclairage vient remettre avec acuité la question de complicité interne sur la table.
1. Même si pour le maire ça paraît être une surprise, le Général avec qui il a été cité, est déjà mentionné avec detail dans un rapport des nations unies au delà du fait qu'il soit déjà désigné responsable par le plus grand leader local.
Il était donc désigné complice avant la désignation de Mukuntu comme instructeur du dossier.
En parcourant l'analyse de l'honorable Nzangi sur le procès des présumés égorgeurs des civils à Beni, il y a lieu de s'imaginer les raisons pour lesquelles le gouvernement congolais est toujours resté évasif et n'a jamais donné l'image d'un État responsable quant ce.
Le festival Amani a mis de la joie et des douleurs dans les coeurs et de l'argent dans les portefeuilles. Il a réuni, pour cette édition, 33 000 spectateurs, des organisateurs et des dizaines d'artistes. Pendant trois jours, les commerçants de Goma se sont frotté les mains, à commencer par les restaurateurs présents sur le site du festival. « Je vends la bière et de la nourriture. Ce festival nous a permis de vendre plus. En comparaison avec un week-end normal, ici, à Amani, on a peut-être triplé nos ventes, c'est intéressant », explique Lydia, l'une des restauratrices.
Quelques stands plus loin, même satisfécit pour Déborah, vendeuse de bijoux artisanaux, pour qui le festival Amani est un bon coup de pub. « Les gens demandent nos cartes de visite, ils demandent où se trouve notre boutique, certains passent commande. Vraiment ça nous donne une visibilité et nous permet d'être plus connus », se réjouit-elle.
À Goma, au Nord-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo, le festival Amani a fermé ses portes ce dimanche 12 février. Pendant trois jours, de nombreux artistes sont venus chanter et danser pour promouvoir la paix et la réconciliation. Et ce festival a eu aussi des retombées économiques pour les commerçants de la ville de Goma.
Ce lundi les artistes vont enterrer le jeune batteur Joe Paluku tué sur le site du festival Amani le week-end dernier. Le corps de ‘’MBedjo’’ sera exposé au domicile familial a l’office puis la messe sera dite a la maison de jeunes ou le deuil sera levé après enterrement au cimetière de l’Itig car Djoo Norbert Paluku était un des animateurs du foyer culturel et percussionnistede Grand renom a Goma. Joe Paluku âgé de 32 ans a été lâchement tué par un policier qui se chamaillait un matelas avec un scout le jeudi 09 Février 2017. Sa famille dit suivre tout le programme du deuil avec les organisateurs de Festival Amani et ce que sera l’après…Pendantce temps, Ezéchiel Bandu, le jeune scout qui était visé par le policier qui a achevé Jho Paluku, poursuit les soins dans les urgences d’un hôpital de la place. Hier dimanche il a subi une seconde opération et selon son père ses jours ne sont pas en danger.
Dans un autre chapitre, le 13 Février 2017, est la sixième année de la journée, internationale de la Radio. Cette journée a été créée par l’Unesco en 2011 pour célébrer la radio diffusion des nouvelles fait réfléchir comment cet outil de communication a un impact sur la vie de la société. La Radio est en compétition avec les réseaux sociaux, change en radio filmée et sa vie classique s’impose tous les jours. Selon l’un des plus célèbres journalistes de la Radio de la RDC, Joe Kafuka Rujamizi âgé de 63 ans, qui vit aujourd’hui en Suède après plus de 30 ans d’expérience professionnelle, a formé beaucoup de journalistes en RDC et principalement à Goma. Pour lui ; la radio a encore des bons jours a venir car elle reste exigeante.

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