L'un des glaciers les plus rapidement fondants de l'Antarctique a versé encore un autre gros bloc de glace dans un événement que les scientifiques de la NASA disent est "une preuve supplémentaire de la fragilité de la plate-forme de glace." L'agence a attiré l'attention sur l'incident dans un tweet mercredi matin. Le glacier Pine Island, situé sur le bord de la glace de plus en plus instable de l'Antarctique Ouest, est une préoccupation majeure pour les climatologues et l'un des plus importants contributeurs potentiels de la région à l'élévation du niveau de la mer. Il verse 50 milliards de tonnes de glace dans l'océan chaque année, et les scientifiques pensent que ce taux pourrait continuer à augmenter dans l'avenir. Dans l'ensemble, le glacier a le potentiel d'élever le niveau global de la mer d'environ deux pieds. Un énorme glacier de l'Antarctique vient de perdre un autre morceau de glace - et nous savons à cause de la NASA :
L'incident, se produit, alors que l' avenir de la recherche climatique de l'agence devient, de plus en plus incertain. En novembre dernier, juste après l'élection du président Donal Trump, aux États-Unies, l'un de ses conseillers de campagne choqua la communauté des sciences du climat en suggérant que la nouvelle administration réduirait les activités de recherche sur le climat de la NASA .
Et maintenant , la question a repris dans une audience tenue jeudi dernier par le Comité de la Chambre sur la science, l'espace et la technologie. Lors de l'audience, le président du comité, Lamar Smith (R-Tex.) Aurait déclaré qu'il aimerait voir un «rééquilibrage» à la NASA et il a déclaré plus tard à E & E News qu'il aimerait que l'agence se concentre davantage sur l'exploration spatiale. D'autres organismes peuvent se concentrer sur les sciences de la terre et le changement climatique. (Sur le front de l'espace, les chercheurs de la NASA faisaient partie d'une équipe plus vaste qui vient de découvrir un groupe frappant de sept exoplanètes orbitant près d'un soleil proche, tous dans une gamme de température semblable à la planète Terre).
Bien qu'il soit vrai que d'autres agences fédérales jouent aussi un rôle important en matière de climatologie américaine, les observations satellitaires de la NASA donnent à l'agence un rôle unique et probablement irremplaçable lorsqu'il s'agit de la recherche sur le climat. Les données de la NASA ont été utilisées dans tout, de la construction de registres de température à l'échelle mondiale à la surveillance de la fonte des glaces aux pôles et l'enregistrement d'événements tels que le vêlage récent à Pine Island. Les experts ont noté que la réduction de la recherche des sciences de la terre de l'agence pourrait être dévastateur non seulement pour les scientifiques américains, mais pour les chercheurs du climat dans le monde entier.
Il est également remarquable que l'agence a continué de publier des articles sur la science du climat alors que d'autres agences - notamment l'Agence de protection de l'environnement - semblent avoir réduit leurs communications sous la nouvelle administration. Peu de temps après l'inauguration, les responsables de l'administration Trump ont, actuel président imposé une interdiction temporaire des médias pour certaines agences fédérales, y compris l'EPA et les ministères de l'Intérieur et de l'Agriculture.
Et bien que la plupart des agences aient repris les communications comme d'habitude peu de temps après, l'EPA est resté presque complètement silencieux sur les médias sociaux jusqu'à la nomination officielle de Scott Pruitt en tant qu'administrateur de l'EPA la semaine dernière.
Pour l'instant, il semble que les affaires comme d'habitude pour la NASA que l'agence continue de tenir le public informé sur Pine Island et d'autres nouvelles climat. L'inquiétude des scientifiques provient en grande partie de l'interaction du glacier avec l'océan, qui gagne contre le front exposé de la plate-forme de glace flottante et voyage aussi profondément en dessous. Le réchauffement des eaux océaniques peut provoquer la fonte des glaciers de bas en haut, ce qui les rend moins stables et plus susceptibles de se briser. En fait, Pine Island Glacier a connu plusieurs événements significatifs de vêlage - c'est quand un iceberg se détache de la plate-forme de glace - ces dernières années. En 2015, le glacier a perdu un iceberg massif avec une superficie de plus de 200 miles carrés.
L'événement le plus récent, qui a été capturé par l'imagerie satellitaire à la fin de Janvier, est faible en comparaison - les scientifiques de la NASA estiment que la zone de glace perdue ne s'étend sur un mile carré ou plus. Mais l'événement parle du fait que le glacier est encore fondre et briser.
"Je pense que cet événement est l'équivalent de vêlage d'une« réplique après l'événement beaucoup plus grand », a déclaré Ian Howat, un glaciologue à l'Ohio State University, dans une déclaration récente . «Apparemment, il y a des faiblesses dans la plate-forme de glace - juste à l'intérieur de la faille qui a causé le vêlage de 2015 - qui entraînent ces petites pauses.» En effet, les scientifiques ont déjà observé de multiples petites fissures dans la glace qui, De vêlage à l'avenir. 1
Le scientifique de Harvard s'inquiète que nous 'revenions à une forme de pensée pré-éclairée'
2
Un énorme glacier de l'Antarctique vient de perdre un autre morceau de glace et nous savons à cause de la NASA
3
La Maison Blanche fait allusion à une «plus grande application» de l'interdiction fédérale de la marijuana dans les États où elle est légale
4
Dakota accède à un camp d'oléoduc dépouillé de manifestants
5
Google accuse un ancien exec de voler des secrets commerciaux et de les prendre à Uber. Chelsea Harvey est un journaliste freelance couvrant la science. Elle se spécialise dans la santé environnementale et la politique. Suivre@chelseae.
Et maintenant , la question a repris dans une audience tenue jeudi dernier par le Comité de la Chambre sur la science, l'espace et la technologie. Lors de l'audience, le président du comité, Lamar Smith (R-Tex.) Aurait déclaré qu'il aimerait voir un «rééquilibrage» à la NASA et il a déclaré plus tard à E & E News qu'il aimerait que l'agence se concentre davantage sur l'exploration spatiale. D'autres organismes peuvent se concentrer sur les sciences de la terre et le changement climatique. (Sur le front de l'espace, les chercheurs de la NASA faisaient partie d'une équipe plus vaste qui vient de découvrir un groupe frappant de sept exoplanètes orbitant près d'un soleil proche, tous dans une gamme de température semblable à la planète Terre).
Bien qu'il soit vrai que d'autres agences fédérales jouent aussi un rôle important en matière de climatologie américaine, les observations satellitaires de la NASA donnent à l'agence un rôle unique et probablement irremplaçable lorsqu'il s'agit de la recherche sur le climat. Les données de la NASA ont été utilisées dans tout, de la construction de registres de température à l'échelle mondiale à la surveillance de la fonte des glaces aux pôles et l'enregistrement d'événements tels que le vêlage récent à Pine Island. Les experts ont noté que la réduction de la recherche des sciences de la terre de l'agence pourrait être dévastateur non seulement pour les scientifiques américains, mais pour les chercheurs du climat dans le monde entier.
Il est également remarquable que l'agence a continué de publier des articles sur la science du climat alors que d'autres agences - notamment l'Agence de protection de l'environnement - semblent avoir réduit leurs communications sous la nouvelle administration. Peu de temps après l'inauguration, les responsables de l'administration Trump ont, actuel président imposé une interdiction temporaire des médias pour certaines agences fédérales, y compris l'EPA et les ministères de l'Intérieur et de l'Agriculture.
Et bien que la plupart des agences aient repris les communications comme d'habitude peu de temps après, l'EPA est resté presque complètement silencieux sur les médias sociaux jusqu'à la nomination officielle de Scott Pruitt en tant qu'administrateur de l'EPA la semaine dernière.
Pour l'instant, il semble que les affaires comme d'habitude pour la NASA que l'agence continue de tenir le public informé sur Pine Island et d'autres nouvelles climat. L'inquiétude des scientifiques provient en grande partie de l'interaction du glacier avec l'océan, qui gagne contre le front exposé de la plate-forme de glace flottante et voyage aussi profondément en dessous. Le réchauffement des eaux océaniques peut provoquer la fonte des glaciers de bas en haut, ce qui les rend moins stables et plus susceptibles de se briser. En fait, Pine Island Glacier a connu plusieurs événements significatifs de vêlage - c'est quand un iceberg se détache de la plate-forme de glace - ces dernières années. En 2015, le glacier a perdu un iceberg massif avec une superficie de plus de 200 miles carrés.
L'événement le plus récent, qui a été capturé par l'imagerie satellitaire à la fin de Janvier, est faible en comparaison - les scientifiques de la NASA estiment que la zone de glace perdue ne s'étend sur un mile carré ou plus. Mais l'événement parle du fait que le glacier est encore fondre et briser.
"Je pense que cet événement est l'équivalent de vêlage d'une« réplique après l'événement beaucoup plus grand », a déclaré Ian Howat, un glaciologue à l'Ohio State University, dans une déclaration récente . «Apparemment, il y a des faiblesses dans la plate-forme de glace - juste à l'intérieur de la faille qui a causé le vêlage de 2015 - qui entraînent ces petites pauses.» En effet, les scientifiques ont déjà observé de multiples petites fissures dans la glace qui, De vêlage à l'avenir. 1
Le scientifique de Harvard s'inquiète que nous 'revenions à une forme de pensée pré-éclairée'
2
Un énorme glacier de l'Antarctique vient de perdre un autre morceau de glace et nous savons à cause de la NASA
3
La Maison Blanche fait allusion à une «plus grande application» de l'interdiction fédérale de la marijuana dans les États où elle est légale
4
Dakota accède à un camp d'oléoduc dépouillé de manifestants
5
Google accuse un ancien exec de voler des secrets commerciaux et de les prendre à Uber. Chelsea Harvey est un journaliste freelance couvrant la science. Elle se spécialise dans la santé environnementale et la politique. Suivre@chelseae.
Commentaires