UN CERTAINS GROUPES DES OFFICIERS MILITAIRES FARDC SONT CITÉS, PAR LES PRÉVENUS DES RÉBÉLLES ISLAMISTES RADICAUX, DANS LE PROCÈS EN COURS, DES ADF À BENI-VILLE, SITUÉ, DANS LE NORD DU GRAND, ÀL'EST DELA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO : en effet, le vendredi 03 février 2017, le ministère public a présenté, à la cour le colonel Freddy kabalenga ancien commandant du 34 04 régiment basé au pk5 sur axe routier Mbau-Kamango, en territoire de BENI, celui-ci poursuivi pour violation des consignes est accusé par le MP d'avoir effectué à date du 20 février 2016 un appel téléphonique avec le commandant des Adf au nom de Feza, selon le lieutenant général mukutu kiana se sont, les prévenus, ndingiya Malikidogo David et mado constatin qui avaient incité cet officier FARDC à commettre cet acte contraire au code militaire parce que il n'avait pas l'aval de son hiérarchie, selon Jean Paul Ngahangondi, qui est, le président national d'une ONG, de déffence des droits del'homme, connu, sous l'appellation de la CRDH :

Les audiences auxquelles prennent part plusieurs officiers militaires engagés dans les opérations Sokola1 se déroulent, à la tribune du 8 mars à face de l’hôtel de ville. Alors la plus part des prévenus, sont ceux qui avaient été arrêtées par les services de sécurité avant leur transfèrement à Kinshasa. Elles ont été ramenées à Beni depuis vendredi 13 janvier dernier. Elles sont présentées par l’autorité urbaine comme des présumés auteurs des récents massacres des civils à Kididiwe, Ngadi, Munzambayi et Vemba, des quartiers périphériques de la ville de Beni.
«Il faut comprendre que, la dernière, attaque de la prison de Kangwahi avait, pour objectif de chercher à liberté, toutes ces personnes là qui sont, au nombre de 59, je ne veux citer le nom de personne pour ne pas faire sa publicité», déclare le maire de Beni. Jean Paul a indiqué, dans un message sur son compte Facebook, ce que, la police millitaire en disant : Madame mado angalia dirigeait cette opération parce que elle avait des contacts directs avec les assaillants. La prévenue a rejetée, les accusations du MP alléguant que la personne contactée était son frère qui devait l'envoyer un colis contenant l'or et que le colonel Freddy incriminé allait la faciliter à échapper aux tracasseries routières. Dans le même dossier monsieur undingiya Malikidogo DAVID a été présenté par le MP comme celui qui avait facilité madame mado à atteindre le colonel Freddy des FARDC, au lieutenant général de poursuivre que Malikidogo président d'une association de taxis-motos à OICHA est celui qui ravitaille régulièrement les adf dans cette zone d'oicha. Dans le même chapitre, le ministère public a promis, d'éclaircir la cour le lundi prochain, dans le même dossier comparaîtra le colonel katsanzu et autres officiers FARDC de l'opération sokola1. notons
que le colonel KAMBALE kisumba Martin, capitaine kangela kisoma Ferdinand et le lieutenant mwila kitoko comparaissaientaussi ce vendredi, accusés par le MP de refus de dénoncer une infraction commise par un justiciable de juridiction militaire, ces derniers avaient facilité la relaxe et disparition de certains présumés adf dont ramazani shabani. l'audience se poursuivra ce lundi à la tribune du 8 mars de BENI. Lors d’une conférence de presse tenue, le 18 août, 2016, le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende, avait de son côté indiqué que, quatre-vingts présumés rebelles ougandais des ADF étaient gardés, dans la prison centrale de Kangwanyi à Beni. Parmi eux, il y a beaucoup de sujets ougandais, tanzaniens, rwandais et quelques congolais, a-t-il précisé.
Pour sa part, la société civile de Beni parle d'une étape importante pour rendre justice aux populations victimes des massacres attribués à ces présumés rebelles actifs dans le territoire de Beni. À ce stade, La population de Beni qui assiste à ces nouvelles audiences attend beaucoup de ce procès. Elle souhaite que la vérité soit connue sur les tueries de civils dans cette zone. Dernièrement, Le maire de Beni a officiellement annoncé ce vendredi 20 janvier 2017 l’arrivée à Beni des collaborateurs présumés des rebelles ougandais d’ADF détenus transférés et détenus à Kinshasa depuis plusieurs mois.
Nyonyi Bwanakawa Masumbuko a projeté également le début de leur procès lundi prochain devant la cours militaire opérationnelle en ville de Beni.
«J’avais annoncé que les présumés complices ou bien collaborateurs qui avaient été antérieurement arrêtés et transférés à Kinshasa allaient revenir à Beni pour comparaître devant la cours opérationnelle en forain depuis le 20 août 2016 devant la tribune du 8 Mars (…) ces détenus sont effectivement arrivés à Beni le vendredi 13 janvier 2017. Et alors il faut comprendre que l’attaque de la prison Kangwayi avait pour objectif de libérer toutes ces personnes là qui sont au nombre de 59. Je ne vais citer le nom de personne pour ne pas faire soit sa publicité négative soit sa publicité positive mais seulement je voudrais que toute la population de la ville de Beni et environ sache que tous ces détenus sont arrivés à Beni et d’ici lundi, le grand procès tant attendu en rapport avec les massacres de Ngadi, de Munzambayi, de Kididiwe, de Vemba vont devoir donner leurs secrets», a dit l’autorité urbaine au cours d’une communication à la presse.
Par la même occasion, Bwanakawa indique aussi qu’un recruteur de renom dans les provinces de l’Est pour le compte des ADF a été arrêté.
«Et aussi je profite de votre micro pour pour vous qu’un certain Okapi, grand recruteur des ADF à partir d’Uvira (Sud-Kivu) jusqu’à Kisangani (Tshopo) qui avait été antérieurement cité dans l’affaire du colonel Birocho est enfin tombé dans les mailles des services. Lui aussi va devoir comparaître devant la tribune du 8 mars(…), a-t-il déclaré.
Pour le contexte, au moins trois procès dans l’affaire ADF a eu lieu depuis 2014 à la tribune du 8 mars à Beni. Certains condamnés sont détenus à la prison de Beni, d’autres ont été transférés à Kinshasa pour purger leurs peine.

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