Auditions des ADF se poursuivent dévant une foule des civils, avec des magistrats d'auditorat millitaire de Garnison de Beni-Butembo, et les avocats au tribune du 08 mars, en Beni-Ville : Dans les procès toujours en cours des presumes collaborateurs des rébélles étrangers des ADF-NALU, à majorité des islamistes radicaux, en Ville de Beni, au Nord-Kivu en République Démocratique du Congo, Dans les échanges durant l’audience de ce mardi 28 mars 2017, le père AUGUSTIN SIRIMIRWA a reconnu, avoir été responsable de cette association KITAKYA MAENDELEO mais a qualifié les allégations du ministère public de racontars. Le Père AUGUSTIN SIRIMIRWA ex cure dela Paroisse de Mbau a été entendu, en qualite de renseignant ! Mais selon le Ministere Public il gerait une fondation qui s'occuper de recvoir et transferer le fond a certain groupe mission qu'il n'avait pas bien remplit les proprietaires de ces fonds, ont cherchés a se venger, contre les innocents, prêtres qui étaient les serviteurs de Dieu, dans la paroisse de Mbau, en térritoire de Beni, comme il etait introuvable c'est ainsi que le 3 pretres ont été pris a sa place. En effet, incriminé le Pere Augustin a fait savoir que, ce sont des rancontars :................

SCANDALE au procès des ADF à BENI. Le ministère public accuse un prêtre assomptionniste, l’ancien curé de la paroisse de MBAU, d’être à la base de l’enlèvement le 19 octobre 2012 de ses 3 collègues pour n’avoir pas restitué aux ADF l’argent qui leur était dû. Ainsi les ADF en venant le chercher ont pris ses collègues en guise d’hypothèque. Le Général Major TIMOTHE MUKUTU veut faire inculper le père AUGUSTIN SIRIMIRWA, autorité morale de l’association KITAKYA MAENDELEO qu’il accuse d’effectuer clandestinementdes transactions avec les ADF. Les trois prêtres enlevés à MBAU le vendredi 19 octobre 2012, les pères WASUKUNDI, NDULANI et KISUGHU avaient été effectivement kidnappés deux jours après que le père AUGUSTIN SIRIMIRWA s’était mis à l’abri à BUTEMBO.
Le procès des ADF au stade actuel avec le témoignage et même les prêtres qui passent à la barre fait réfléchir les défenseurs des droits humains. Le directeur du CEPADHO (Centre d’Etude pour la Promotion de la Paix, la Démocratie et les Droits de l’Homme), OMAR KAVOTA, considère que la cour mène ses audiences en toute équité pour rechercher la vérité. Pour lui, ce n’est pas le moment des conclusions mais il faudra attendre le jour de verdict car à chaque audience il y a de nouvelles matières.
Au Nord-Kivu : D’après des sources au sein de l’armée congolaise, les conclusions de l’enquête publiées dans un rapport confidentiel du 27 février dernier, confirment les incursions des ex-M23 entre novembre 2016 et février 2017 dans le territoire de Rutshuru.
Quant à l’appui en armes, minutions et autre matériel militaire, les ex-rebelles du M23 se seraient servis dans plusieurs caches d’armes laissées par leur mouvement à Rutshuru. Donc, selon les mêmes sources, le Rwanda et l’Ouganda n’ont donné aucun appui officiel à ces ex-combattants.
Toutefois, les deux pays auraient fermé les yeux devant le retour clandestin de ces ex-combattants en RDC, indique le rapport de la CIRGL.
Pour leur part, les responsables du M23 ont indiqué aux experts que, si certains ex-combattants tentent de revenir clandestinement en RDC, c’est parce que le Gouvernement congolais n’a pas respecté les déclarations de Nairobi, signées en décembre 2013 pour mettre fin à la rébellion.
Elles prévoyaient notamment d’accorder l’amnistie aux ex-rebelles, la libération des prisonniers, la transformation du M23 en parti politique ainsi que la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants du M23. La CIRGL recommande de «revisiter leur mise en œuvre».
Entre-temps, le chef militaire Makenga Sultani, qui a disparu de sa résidence à Kampala le 14 janvier dernier, reste toujours introuvable. Il serait toujours sur le sol congolais, à en croire des sources militaires qui citent les conclusions de l’enquête du Mécanisme conjoint de vérification élargi de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs. Le Mécanisme conjoint de vérification élargi de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL) confirme l’incursion des combattants de l’ex-M23 sur le territoire congolais, de novembre 2016 à février dernier, révèlent des sources au sein de l’armée congolaise citant un rapport de l’organisation. L’appui logistique ni matériel du Rwanda et de l’Ouganda à ces ex-rebelles, encore hébergés sur les territoires de ces deux pays, n’est pas confirmé par le rapport, indiquent les mêmes sources.
Les révélations de la CIRGL ont été faites à l’issue des enquêtes menées du 7 au 18 février dernier au Rwanda, en Ouganda et en RDC par une équipe de cette organisation régionale. Ces enquêtes étaient basées notamment sur des témoignages des ex-combattants du M23 capturés aux fronts à Rutshuru (Nord-Kivu), et ceux cantonnés dans des camps au Rwanda et en Ouganda.
Parailleurs la cour pénale internationale (CPI), va procéder aux enquêtes à l’encontre des personnes qui s’approprient illégalement les terres appartenant à des tiers dans la province du Nord-Kivu, a annoncé Daniel Ruiz, chef de bureau de la Mission d’organisation des nations-unies en RDC MONUSCO/Goma.
Selon ce Responsable onusien qui s’exprimait le weekend au cours d’une briefing tenu au quartier général de la Monusco-Goma, au vu de la situation des appropriations illégales des plusieurs portions de terres par des personnes zélées dans cette partie de la RDC au détriment de la grande majorité de la population.
En outre, un nouveau projet pour renforcer, les organisations locales et les structures communautaires dans la consolidation de la paix au Nord et au Sud-Kivu, vient de voir le jour ; c’est le projet solution pour la paix et le relèvement qui va durer 3 ans, avec possibilité de prolongation de 2 ans. Ce projet va étendre ses activités à Goma, Masisi, Walikale, au Nord-Kivu et Bukavu, Kabare, Kalehe et Walungu, dans le Sud-Kivu. Ces activités seront basées, entre autres, sur les efforts de la compréhension mutuelle, la confiance, et l’amélioration des liens communautaires.Tout ceci pour trouver des solutions pour la paix.

Commentaires