Depuis un certain temps, la population de Butembo-Ville situé vers le conté Est dela République Démocratique du Congo, au Nord-Kivu, et plus particulièrement les opérateurs économiques sont la cible des inciviques, porteurs d’armes blanches et à feu. selon Edgard Mateso un membre dela société civile urbaine à Butembo. Ceux-ci opèrent nuitamment sans être inquiétés par qui que ce soit. Le cas le plus récent est celui de Mr Kambale Kighoma Jean de Dieu alias King ainsi que l’épouse de Mr Kasereka Kikala Séguin agressés aux environs de 1 heure de ce samedi 25 mars 2017, tous habitant en cellule Visogho, Quartier Vutetse, commune Kimemi, en ville de Butembo et œuvrant au sein de la galerie Licho Moya. Les agresseurs constituent un groupe de plus de 30 personnes et opèrent pendant plus d’une heure sans aucune assistance des victimes. Pendant les opérations, les numéros vers de la police restent fermés, mais peu après, ils redeviennent fonctionnels :.................
Il sied de noter que la nuit de samedi à dimanche 17 mars 2017, les bandits similaires ont opéré en cellule Katsya, Quaritier Vutetse, Commune Kimemi. Ils ont opéré chez Muhindo Nguomoya, chez Paluku Kinyeo et dans beaucoup d’autres ménages. D’autres cas similaires sont également signalés très régulièrement en commune Mususa et Bulengera au cours de ce mois de mars.
RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO PROVINCE DU NORD-KIVU
VILLE DE BUTEMBO
GROUPE INTERSYNDICAL DES GALERIES ET CORPORATIONS DE BUTEMBO !
Contact (+243) 814 488 886 / 975 559 909 / 997 130 838
MEMORANDUM DES OPERATEURS ECONOMIQUES FACE A L’INSECURITE EN VILLE DE BUTEMBO ! Notre inquiétude est de constater que ces bandits opèrent dans une ville où sont actifs les services spécialisés de sécurité (ANR, PNC et FARDC) mais sans être identifiés ni traqués par ces derniers. Pourtant, les opérateurs économiques sont en train de payer les taxes et impôts, mais en contre partie, ils ne sont pas sécurisés. Bien au contraire, ils deviennent de plus en plus la cible principale de ces malfrats.
À cet effet, les opérateurs économiques réunis au sein du Groupe Intersyndical des Galeries et Corporations de Butembo demandent aux autorités locales de s’occuper davantage de leur sécurité et menacent d’entrer en grève suivie de la suspension de payement des impôts, taxes et redevances si pareille situation se manifeste encore une fois.
Fait à Butembo, le 25 mars 2017
Pour le Groupe Intersyndical des Galeries et Corporations de Butembo !
Voir liste en annexe
Vu pour approbation de la Coordination urbaine de la Société Civile de Butembo !
Voilà ce qu'est devenu la securité en ville de Butembo.
BUTEMBO, les président de l'APILU et le président de la Galerie licho moya échappent de justesse à la mort.
Le banditisme armés n'en finit pas en ville de BUTEMBO. Vers 2h du samedi 25 mars 2017, près de 10 bandits armés de machettes, fusils et autres armes blanches ont fait incursion dans les domiciles des présidents de la galerie licho moya et au domicile du président des l'Association des Pétroliers de Lubero APILU, Monsieur KASEREKA Kikala Séguin. Le bilan été lourd : plusieurs biens, bijoux et argent ainsi que des téléphones emportés de ces domiciles situés, au quartier vutetse en cellule LUSANDO. Les domiciles visités sont voisins. Le président de la galerie licho moya à été grièvement blessé, à son bras à l'arme blanche par ces bandits, alors que l'épouse du président de l'APILU, réputée sous le surnom MAMA Grâce à piqué une crise. Tous les blessés sont aux soins d'urgence dans une structure locale spécialisée.
La police est arrivée en retard, déplorent les victimes. Actuellementen ville de BUTEMBO, presque toutes les nuits est caractérisées, par des incursions d'hommes armés, souvent une troupe de plusieurs dizaines qui emportent tout à leurs passage et violent même.
Dans un communiqué publié le mercredi 18 mai 2016, le Groupe d'Associations de Défense des Droits Humains et de la Paix, réseau actif au Nord Kivu à appellé, les autorités de la Ville de Butembo, à prendre en charge les victimes de l'insécurité notamment en payant les soins médicaux des victimes des balles tirées par les bandits. Signé par Jérémie KASEREKA KITAKYA, Secrétaire Permanent de ce réseau, le communiqué appelle aussi les autorités nationales et provinciales à mettre des moyens pour renforcer, l'équipe, des policiers.
EN TÉR DE MASISI-RUCHURU : cette alerte nous vient d'une source sur terre en ces termes :
"MARU (masisi-rutshuru) est une plateforme qui est en cours de creation. ce groupe est sous l'initiative des politicienr Tutsi dits originaire et anciens membres du rcd, cndp, m23 avec l' appui du rwanda. ils veulent venir au secours dans different massacres à bwito, lubero... au motif dla restauration dla cohabitation pacifique. Jean Mugimba, Erasto... sont des noms biens connus dans le rutshuru et masisi car omnipresents dans toutes les rebellions d' origines rwandaises.
À LUBERO ;
Un véhicule de marque Fuso est tombé, dans une embuscade tendue par des bandits armés sur le tronçon Kayna-Mapera dans le sud du territoire de Lubero. Le chauffeur a été tué par balles dans cette embuscade vers 3h du matin de ce samedi 25/03/2017 :
Au sud del'Ituri :
9morts ont étaient enrégistrés dont : kasereka maliro, mumbe jacques, kahindo musinzi, muhindo tumikia kazmiri, masika fazila, neema kavuo, et kapitula, josué, avec le fils de neema ! Bilan d'un accident d'un arbre arraché, par un vent violent à pasaulemba sous le nom de kasoko, en chefferie de Walese vonkutu, groupement bandavilemba, 18km à l'ouest d'automaber route no4. Le drame s'est produit, le mercredi 22 mars vers 14h00 sous une pluie, suivie d'un vent violent, dans une cabane du propriétaire d'un champ, qui semait le padis, avec ses journaliers pour s'approvisionner de l'huile, de palme, tous ont été entérrés, dans une fosse commune car leurs corps étaient déjà décomposés. Et l'arbre était une économie d'un exploitant forestier paix à leurs âmes.
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MEMORANDUM DES OPERATEURS ECONOMIQUES FACE A L’INSECURITE EN VILLE DE BUTEMBO ! Notre inquiétude est de constater que ces bandits opèrent dans une ville où sont actifs les services spécialisés de sécurité (ANR, PNC et FARDC) mais sans être identifiés ni traqués par ces derniers. Pourtant, les opérateurs économiques sont en train de payer les taxes et impôts, mais en contre partie, ils ne sont pas sécurisés. Bien au contraire, ils deviennent de plus en plus la cible principale de ces malfrats.
À cet effet, les opérateurs économiques réunis au sein du Groupe Intersyndical des Galeries et Corporations de Butembo demandent aux autorités locales de s’occuper davantage de leur sécurité et menacent d’entrer en grève suivie de la suspension de payement des impôts, taxes et redevances si pareille situation se manifeste encore une fois.
Fait à Butembo, le 25 mars 2017
Pour le Groupe Intersyndical des Galeries et Corporations de Butembo !
Voir liste en annexe
Vu pour approbation de la Coordination urbaine de la Société Civile de Butembo !
Voilà ce qu'est devenu la securité en ville de Butembo.
BUTEMBO, les président de l'APILU et le président de la Galerie licho moya échappent de justesse à la mort.
Le banditisme armés n'en finit pas en ville de BUTEMBO. Vers 2h du samedi 25 mars 2017, près de 10 bandits armés de machettes, fusils et autres armes blanches ont fait incursion dans les domiciles des présidents de la galerie licho moya et au domicile du président des l'Association des Pétroliers de Lubero APILU, Monsieur KASEREKA Kikala Séguin. Le bilan été lourd : plusieurs biens, bijoux et argent ainsi que des téléphones emportés de ces domiciles situés, au quartier vutetse en cellule LUSANDO. Les domiciles visités sont voisins. Le président de la galerie licho moya à été grièvement blessé, à son bras à l'arme blanche par ces bandits, alors que l'épouse du président de l'APILU, réputée sous le surnom MAMA Grâce à piqué une crise. Tous les blessés sont aux soins d'urgence dans une structure locale spécialisée.
La police est arrivée en retard, déplorent les victimes. Actuellementen ville de BUTEMBO, presque toutes les nuits est caractérisées, par des incursions d'hommes armés, souvent une troupe de plusieurs dizaines qui emportent tout à leurs passage et violent même.
Dans un communiqué publié le mercredi 18 mai 2016, le Groupe d'Associations de Défense des Droits Humains et de la Paix, réseau actif au Nord Kivu à appellé, les autorités de la Ville de Butembo, à prendre en charge les victimes de l'insécurité notamment en payant les soins médicaux des victimes des balles tirées par les bandits. Signé par Jérémie KASEREKA KITAKYA, Secrétaire Permanent de ce réseau, le communiqué appelle aussi les autorités nationales et provinciales à mettre des moyens pour renforcer, l'équipe, des policiers.
EN TÉR DE MASISI-RUCHURU : cette alerte nous vient d'une source sur terre en ces termes :
"MARU (masisi-rutshuru) est une plateforme qui est en cours de creation. ce groupe est sous l'initiative des politicienr Tutsi dits originaire et anciens membres du rcd, cndp, m23 avec l' appui du rwanda. ils veulent venir au secours dans different massacres à bwito, lubero... au motif dla restauration dla cohabitation pacifique. Jean Mugimba, Erasto... sont des noms biens connus dans le rutshuru et masisi car omnipresents dans toutes les rebellions d' origines rwandaises.
À LUBERO ;
Un véhicule de marque Fuso est tombé, dans une embuscade tendue par des bandits armés sur le tronçon Kayna-Mapera dans le sud du territoire de Lubero. Le chauffeur a été tué par balles dans cette embuscade vers 3h du matin de ce samedi 25/03/2017 :
Au sud del'Ituri :
9morts ont étaient enrégistrés dont : kasereka maliro, mumbe jacques, kahindo musinzi, muhindo tumikia kazmiri, masika fazila, neema kavuo, et kapitula, josué, avec le fils de neema ! Bilan d'un accident d'un arbre arraché, par un vent violent à pasaulemba sous le nom de kasoko, en chefferie de Walese vonkutu, groupement bandavilemba, 18km à l'ouest d'automaber route no4. Le drame s'est produit, le mercredi 22 mars vers 14h00 sous une pluie, suivie d'un vent violent, dans une cabane du propriétaire d'un champ, qui semait le padis, avec ses journaliers pour s'approvisionner de l'huile, de palme, tous ont été entérrés, dans une fosse commune car leurs corps étaient déjà décomposés. Et l'arbre était une économie d'un exploitant forestier paix à leurs âmes.
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