L'ACTUALITÉ DU LUNDI 20 MARS 2017, EN BENI-LUBERO AU NORD-KIVU EN RÉP DÉM DU CONGO, RESTE DOMINÉ PAR LES TROIS POINTS SUIVANTE : Le point A : Est le Premier anniversaire de l’assassinat de Père Vincent Machozi, le Héro Yira, SANS OUBLIER LA MORT D'UN JEUNE GARÇON DERNIÈREMENT, QUI ÉTAIT ENTRAIN DE FAIRE LA PÊCHE SUR LE LAC ÉDOUARD, ET ÀLA FIN L'ACCIDENT MORTEL D'UN ENGIN ROULANT, DANS LE QUEL SE TROUVAIENT, LES JOUEURS D'UN CLUB DE FOOTBALL, AS-NYUKI, DE BUTEMBO : En ce qui concerne le premier anniversaire dela mort du prêtre Vincent-Machozi, certaines œuvres pour immortaliser feu père Vincent MACHOZI KARUNZU sont en train d’être pensées selon un membre dela société civile urbainne de Butembo. Ce sont des poèmes, des chansons voire des publications sur son engagement patriotique conçus pour sa mémoire par ses amis à Butembo et à travers le monde. Martyr, Héro, Patriote, Soldat et chrétien, voilà autant de titres de mérite collés à Feu Père Vincent MACHOZI par ses amis et compagnons. Ce, une année après son assassinat par des inconnus à VITUNGWE, son village natal, le 20 mars 2016. Tous ces titres de mérites et honorifiques ont été révélés au cours d’une conférence en sa mémoire tenue dans la grande salle Ouest de l’Institut KAMBALI samedi 18 Mars 2017. Edgar MATESO, l’un de ses amis et conférencier du jour a animé cette séance scientifique et culturelle à l’intention des étudiants de l’ISEAB. Des membres des partis politiques, des enseignants et autres se sont associés à cette activité. Edgard Mateso a insisté sur certaines qualités reconnus à l’illustre disparu. « Nous retenons que la vie de Père Vincent Machozi a été un véritable témoignage chrétien. Il a été un serviteur de Dieu, soldat du peuple. Au regard des menaces pesant sur la communauté, il s’est engagé à enregistrer au quotidien les violations des droits de l’homme, les cas d’agression par les voisins et la balkanisation de l’Est du pays », a expliqué Edgar MATESO. D’autres participants qui ont vécu avec Feu Père Vincent MACHOZI plaident pour son immortalité. « Nous avons vécu avec Vincent MACHOZI pendant un moment à la Paroisse de Lyambo. Toutes les fois que l’on échangeait avec lui, il revenait au mot patriotisme. Il disait qu’il est le Congo, qu’il est Yira. Il a lutté contre la balkanisation de l’Est de la RDC »,témoigne un participant à cette conférence. Le point B : EST L'ACCIDENT MEURTRIÈRE DELA CIRCULATION ROUTIÈRE QUI S'EST PRODUIT, LE DIMANCHE 19 MARS 2017, À KYONDO, PRÉCISEMENT, EN TÉRRITOIRE DE BENI, VERS L'EST DELA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO : Parmi les victimes mortes sur place, les témoins de l’accident affirment qu’il s’agit du gardien et de l’étendard de cette équipe. Les dépouilles ont été ramenées à Butembo par les officielles de Nyuki Sport. Quant aux blessés, ils sont internés au centre hospitalier de Kyondo situé à 30 km de Butembo. Un minibus transportant les joueurs de l’équipe Nyuki Sport de Butembo a fini sa course dans un ravin dimanche 19 mars vers 10heures sur la route Butembo-Kyavinyonge, à Vusorongi dans le te territoire de Beni (Nord-Kivu). Le bilan provisoire fait état de deux morts et douze blésées. L'engin roulant, s'est reversé vers 10heureurs selon les témoins qui n' étaient pas non loin du lieu du drame ; parmi les décédés on compte : KASRREKA KAKURUSI Asifiwe et KEREKO . Blessés : PUISSANCE, MATALE , NDUNGO, SULEMANI,THIERRY, DANIEL, ÉTIENNE, KALIMULI, AMANI, LUNZUMBI, MUNDEKE, BALTHAZARD et MERVEILLE. Selon les témoignages recueillis sur place, cet accident est survenu lors que ce minibus a voulu dévier un autre qui venait dans le sens opposé. En voulant éviter une collusion, le chauffeur a fini dans le ravin. Cette équipe de Butembo se rendait à Kyavinyonge pour un match amical avec l’équipe locale Banamayi. Ce match, qui devait se jouer ce dimanche même, a été annulé :..............

Le point C : du dimanche est été dominée, par un incident majeurs, dans le territoire de Rutshuru, la situation sécuritaire est délicate : À partir de la localité de Nyakakoma selon la société civile dela place : nous avons apris que, un millitaire incontrôlé de Fardc a fusié, un pêcheur connu, sous le nom de Kambale, dans la journée du dimanche 19 mars 2017, sur le Lac Édouard au le conté, Est du térritoire de Rutsuru, au Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo. Selon la même source, de cette stricrure citoyenne de Nyakakoma, cet événement malheureux, est arrivé après la résistance, de victime mr Kambale, àla traccaserie, d'homme armé qui était munis d'une arme à feu, individuel du type AK-47, avec la quelle il at tué celui ci. Et après un climat des tensions a été observé de part et d'autres, au sein des habitants civils qui ont voulu, venger la mort d'un de leurs. Toute fois, la situation été très tendu d'où les soldats marins del'armée national ont créputés, plusieurs cous des balles à l'air, pendant un certain moment, peut être dans l'objectif d'assayé de calmer la tension dela population, en colère qui se sont rendu sur le lieu, dans le motif d'attraper, le soldat incriminé, en se rendant, une justice populaire contre le milliaire auteur de cet acte dela crime grave contre le jeune pêcheur Kambale. Dans un moment, la plus part des pêcheurs ont voulu, s'attaqué contre les agens del'ordre dela place, avec les jets des pierres, et aussi des slogans hostile aux autorités politico-administratives de cette localité, de Nyakakoma. Et la situation été rédevenu, calme plus tard, dans la soiré, le même dimanche, selon d'autres sources concordente, dans l'après midi.
Dans le même sujet, un certain groupe des millitaires Fardc et les Maï Maï sont accusés dernièrement de traccassés, les pêcheurs sur ce Lac Édouard. À titre de rappel, la Fédération des comités des pêcheurs individuels du lac Edouard (FECOPEILE) dénonce la perception illégale des taxes par les éléments du groupe Maï-Maï dénommé Alliance des forces de résistance congolaise, qui ont occupés dans la passé, les positions abandonnées, par la force conjointe FARDC-ICCN au sud du lac Edouard en territoire de Rutshuru. Dans une lettre adressée , un certain le 15 avril au ministre provincial de l’intérieur au Nord-Kivu, àl'époque, cette association des pécheurs a accusé, ce mouvement armé d’imposer aux pêcheurs une taxe parallèle variant de 10 000 francs congolais (10.5 USD) à 30 000 francs congolais (environ 31 USD) par pirogue chaque semaine. Pour avoir le droit à la pêche sur le lac Edouard, les pêcheurs étaient obligés, de payer aux miliciens un jeton valide pour 7 jours dont le prix varie entre 6.000 et 20.000Fc par pirogue, signale-t-on.
Même aujourd' hui dans plusieurs cas isolé, les pirogues arrêtée, sur le lac sans ce jeton est sommée de payer une amande variant entre 100.000 et 250.000Fc a-t-il conclu.
Dans les dernières actualité de ce village, de Nyakakoma, plus de 40 jeunes gens, qu'on avait identifiés comme enlevés par les FDLR vendredi dernier à Nyakakoma, au bord du lac Edouard à environ 150 kilomètres au nord de Goma, ont commencés à retourner dans leurs villages certain lundi. Selon la police locale, ils avaient été réquisitionnés,pour transporter les biens pillés le vendredi soir. Alors la plupart de ces personnes enlevées, ont été relâchées, plus tard. Des témoignages d'habitants racontaient, qu'elles ont été enlevées, par les FDLR qui avaient envahi, leurs villages 48 heures seulement après que les militaires FARDC de la brigade mixée Bravo aient quitté Nyakakoma. Ces combattants ont, tout d'abord déclaré à la population qu'ils étaient là pour assurer leur protection. Mais quelques temps plus tard vers 17h , ils se sont mis à désarmer la police, les éléments de la force navale ainsi que les gardes de parc de l'ICCN àl'époque en poste sur place, puis ont ensuite pillés les villages, maisons et boutiques. Des biens de ménage, des habits et ustensiles de cuisine, de l'argent et des téléphones mobiles de la population de Nyakakoma ont été emportés. Et pour transporter les biens pillés, une quarantaine de jeunes avaient été réquisitionnés jusqu'aux différents postes occupés par les FDLR dans les environs de Nyamilima dans le parc national des Virunga. Dès leurs remise en liberté, ils ont dû passer par Nyamilima, d'où la MONUC àl'époque les a escortés, jusqu'à Nyakakoma. Mais avec les
4 corps des civils tués, ont été ramassés à Katwiguru, environ 30 kilomètres au nord-est de Kiwanja, en territoire de Rutshuru. Selon des sources de la MONUC, ce jour là, une équipe des casques bleus en patrouille a retrouvé, 2 corps à moitié couverts dans un champ et 2 autres aux alentours des maisons de paysans. Pour un habitant de cette localité, au moins, 17 personnes auraient été assassinées, à nyakakoma dans cette localité. La MONUC, àl'époque assistée de d'autres organisations qui étaient, à pied d'œuvre pour découvrir d'autres victimes éventuelles.

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