Les combatants du groupe FDLR continuent de se comporter, dans le térritoire de RUTSHURU, comme sur un territoire conquis, vers l'Est dela République Démocratique du Congo, au Nord-Kivu selon une source dela société civile de ce coin : Ils ont donné de nouveaux noms à certains coins du groupement de BWITO où ils règnent en conquistador. Par exemple, ils ont baptisé au nom de MOZAMBIQUE une région sous leur contrôle où chaque congolais est obligé à payer une redevance pour aller cultiver. Egalement, Ils ont débaptisé un autre endroit dans le BWITO au nom de KAINA en plein parc de VIRUNGA. Chose grave, à cause de l’absence de l’autorité de l’Etat, un représentant des FDLR participe même au conseil local de sécurité parce que ce sont eux qui contrôlent le milieu et font payer 20 dollars et un sac de manioc pour chaque saison culturale. Un activiste de droits de l’homme de la localité de KISHISHE, groupement BAMBO, chefferie de BWITO a donné toutes ces révélations sur KIVU1 au téléphone de MODESTE RWANIKA :....

À ce sujet, deux morts et un blessé, tel a été, le bilan d’un affrontement qui a opposé mercredi dernier, les miliciens FDLR/Nyatura aux FARDC à Kiyeye, une localité de la chefferie de Bwito, dans le territoire de Rutshuru, a appris l’ACP des sources proches de la 34ème région militaire.
Dernièrement les notables d’intercommunautaire du Nord-Kivu ont exprimés leurs profonde inquiétude face à la dégradation de la situation sécuritaire en Rutsuru, et dans la province.
Dans un communiqué parvenu mercredi 20 mai 2016 à Radio Okapi, ils dénoncaient, notamment les tueries des populations et des casques bleus à Beni ainsi que les kidnappings à répétition à Rutshuru et Lubero. L’intercommunautaire encourage donc le Gouvernement à poursuivre les efforts de pacification pour éradiquer définitivement les groupes armés dans le Nord-Kivu, d'où ils ont constaté que, la situation sécuritaire est particulièrement dégradée dans les territoires de Beni et Rutshuru. En fait, la situation sécuritaire est mauvaise partout [dans la province…]», a indiqué le président de l’intercommunautaire du Nord-Kivu, Jean Sekabuhoro.
Pour le cas particulier du territoire de Rutshuru, il a évoqué «de véritables affrontements entre les communautés Nande et hutu» qui ont éclaté récemment dans la localité de Nyamilima.
«C’est ainsi qu’à l’occasion de la réunion de l’intercommunautaire, nous avons appelé les différentes communautés, c’est-à-dire les Nande, les Hunde, les Hutus, les Nyanga et toutes les autres communautés à apprendre à régler leurs problèmes éventuels par la dialogue», a rappelé Jean Sekabuhoro.
Outre les affrontements intercommunautaires, la localité de Nyamilimaa fait face à l’insécurité attribuée notamment aux Maï-Maï Nyatura. À la date du 30 avril, d'année passé, le nombre des civils tués, dans leurs champs par armes blanches ou par balles
Selon une certaine sources, d'iformation à notre possession, les inciviques en collaboration avec des jeunes démobilisés de la contrée, ont profité pour attaquer les positions de Fardc dégarnies par les Fardc partie sécuriser les mamans à l’occasion de la commémoration de la journée internationale dédiée à la femme .
Cette tentative s’est avérée ratée car déjouée par une contre-offensive vigoureusement lancée par les FARDC faisant deux (2) morts du côté des assaillants et un blessé du côté de la force loyaliste ainsi qu’une femme blessée qui poursuit des soins appropriés dans un centre de santé de la place.
Pour rappel, des présumés rebelles FDLR ont kidnappé, un certain mardi 26 janvier, une cinquantaine de familles dans la localité de Bushalingwa, en groupement Ikobo, à cheval entre les territoires de Lubero et Walikale (Nord-Kivu).
Selon la société civile de Luofu, ces combattants rwandais ont emmené, ces ménages vers une destination inconnue après avoir incendié leurs habitations.
La même source a indiqué que, ces combattants occupaient, le village de Bushalingwa le mois d’octobre dernier.
De son côté, le porte-parole des opérations Sokola 2, le capitaine Guillaume Njike, a précisé que, des dispositions a été prises pour retrouver ces populations en otage.
Il a assuré que, les opérations de traque contre les forces négatives sont toujours en cours dans le territoire de Walikale, où, selon lui, l’étau se resserre autour de différents bastions des rebelles FDLR.
L’enlèvement de ces populations intervenu, deux mois après que le député Juvénal Munubo avait invité le gouvernement congolais à agir pour mettre fin à l’insécurité dans le territoire de Walikale qui, selon lui, nécessite une attention particulière des autorités.
Cet élu de l’opposition avait également déploré les affrontements entre miliciens Maï-Maï et rebelles FDLR dans cette partie du Nord-Kivu. Des affrontements qui, selon lui, ont fait des milliers de déplacés. Les Forces armées de la RDC (FARDC) ont lancé vendredi 11 mars des opérations contre les rebelles rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) dans le territoire de Rutshuru.
À en croire des sources militaires, ces opérations visent à mettre fin à l’insécurité qui sévit dans la région.
Ces opérations ont été lancées dans la région de Chondo, au bord du lac Edouard à Kigaligali, en plein parc des Virunga et dans les forêts de Katwiguru, Busesa, Kiseguru, Kisharu et Nyabanira, indiquent les mêmes sources.
Selon des sources de la société civile de Rutshuru, depuis plus d’une semaine, les FDLR chassés de Lubero par l’armée occupent ces localités, empêchant les habitants de se rendre dans leurs champs.
Les mêmes sources révèlent qu’environ trente familles ont fui, vers l’Ouganda voisin, à cause de la présence des rebelles rwandais.
Le porte-parole des opérations Sokola II le capitaine Njike Kaiko, indique que l’armée a délogé les FDLR et les miliciens Maï-Maï de Chondo.
D'après la même source, les miliciens rébélles en débandade ont attaqué samedi une position conjointe des FARDC et des garde-parcs à Chondo et Kawu. Une attaque qui a fait Sept morts.

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