Les procès en cours contre les égorgeurs criminnels du groupe ADF-NALU, et leurs complices en Ville et Térritoire de Beni, se poursui, normalement ; En effet le nom d'une certaine humanitaire a été cité par un prévenu, ce qui fait croire que, les masques continuent à tombés jours au jours selon les membres dela société civile urbaine dela place, qui précisent que la justice doit être rendu, àla faveur des habitants civils les victimes des massacres, vols, incendies, viols,... ; En ce jours dans le même chapitre du dossier dela phénomène des térroristes des islamistes radicaux dans la région de Beni, la plus part des membres dela société civile de Beni-Ville, situé au conté Est dela République Démocratique du Congo, dans la province du Nord-Kivu, ont félicités dernièrement, la CIRGL, pour la mise en application dela recommandation du dernier sommet de Luanda, d'où ils ont déplorés, une décision « tardive ». D’après son président, Gilbert Kambale cité par Radio Okapi, ce centre de renseignements est créé après qu’environ 1.500 personnes à majorité des hommes, femmes, et enfants, vieillards, ont été massacrées à la hache et à la machette par les rébelles du groupe des ADF-NALU, présent, dans la région :... M. Kambale craint en outre que ce centre ne soit qu’une initiative de plus, au motif qu’il existe déjà le centre régional de fusion des renseignements sur les ADF à Goma qui collabore avec le mécanisme conjoint de vérification de la CIRGL. Gilbert Kambale recommande à cette organisation régionale de mettre en place des plans militaires et logistiques pour neutraliser définitivement les ADF dans la région :

La Conférence internationale des pays des Grands Lacs (CIGRL) vient de mettre en place à Kasese, en Ouganda, un centre de renseignements pour le suivi des rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) opérant à l’Est de la RDC.
Ce centre qui fait suite à une recommandation du dernier sommet de la CIRGL à Luanda, en Angola, a pour mission de rassembler les informations sur les mouvements des rebelles ADF dans la région et d’en informer les forces de sécurité des 4 pays de la sous-région : Kenya, Ouganda, RDC et Tanzanie.
Actifs en RDC depuis plusieurs années, les rebelles ougandais des ADF sont accusés de nombreuses exactions notamment des meurtres atroces de plusieurs centaines de personnes dans la province du Nord-Kivu.
Procès ADF : Le Chef de Watalinga a comparu pour la première fois ; Avant la comparution du mwami, sa défense a plaidé pour que son client soit renvoyé devant son juge naturel étant donné que cette Cour n’est pas compétente de juger monsieur BAMUKOKA qui aurait des privilèges de juridiction. Ce, pour avoir été élevé membre de l’ordre des héros nationaux Kabila-Lumumba l’année 2011. La partie défenderesse demande à la Cour de se déclarer incompétente pour faire comparaître le chef de la chefferie des Watalinga.
« En date du 18 octobre 2011, SAAMBILI BAMUKOKA a été déclaré membre de l’ordre national héros nationaux en vertu de l’ordonnance numéro 11/086 du 18 octobre 2011. Le fait pour lui d’être membre de cet ordre implique l’avantage de jouir du privilège de juridiction. Nous sollicitons que notre client ne soit poursuivi que par la Cour Suprême de Justice », a plaidé la défense. Mais, le ministère public s’inscrit en faux contre cette sollicitation.
Il soutient que le mwami SAAMBILI BAMUKOKA n’a jamais été sur la liste des membres de l’ordre héros nationaux KABILA LUMUMBA.
« Les faits n’indiquent pas que vous êtes admis dans l’ordre national. Vous avez un brevet des mérites civiques, Monsieur ! Nous avons passé en revue toutes les ordonnances. Le nom de SAAMBILI BAMUKOKA n’y existe pas »,a contredit le général MUNKUTU KIANA.
La cause a été renvoyée à la semaine prochaine. Le temps pour les avocats du prévenu de trouver l’ordonnance portant admission du mwami sur la liste des membres de l’ordre national héros nationaux KABILA-LUMUMBA. Quid des griefs qui pèsent sur le mwami SAAMBILI BAMUKOKA Roger, chef de la chefferie des Watalinga et KAYALA WANGALE, chef du village NTAMA de la même chefferie ? Le ministère public les accuse de participation à un mouvement insurrectionnel et de crimes contre l’humanité par déportation. La Cour Militaire opérationnelle du Nord-Kivu devait entendre mardi dernier ces chefs coutumiers dans le dossier d’enlèvement de 3 prêtres de Mbau.
Les humanitaires aussi, commencent à être accusés de connivence avec les ADF au procès de BENI. La prévenue SARAH WEWA SHENGWA inculpée le 24 février 2017 a commencé à citer une liste des humanitaires qui auraient collaboré avec les ADF se cachant derrière leur travail. Quatre agents de l’ONG SAVE THE CHILDREN dont les noms n’ont pas été cités en public pourront passer prochainement à la barre. Notre confrère ERIC KAWA NGOY de radio télévision RWANZURURU de BENI nous résume ce rebondissement dans le procès des ADF de vendredi 3 février 2017,s elon lui, la liste sera longue.
Le grand Nord-Kivu reste légué à la responsabilité de Kakolele Bwambale alias Aigle Blanc. Il doit y restructurer les différents groupes Mai-mai encore actifs en vue d’épauler et rendre les choses faciles au M23 au moment de l’extension de cette rébellion vers le nord du pays, en l’occurrence dans la conquête de Beni-Lubero et de l’Ituri, avec des sensibilisations des jeunes pour s'enrôler au rébéllion du M23, selon benilubero.com. Alors il faudra-t-il encore combien de temps pour que les congolais dignes de ce nom se réveillent de leur sommeil en vue de mettre définitivement hors d’état de nuire celui-là même dont le règne et le pouvoir n’ont été que trahison ?
Butembo : Le conseil de sécurité demande à ceux qui traînent de se faire enrôler ; Au cours de leur réunion de jeudi 2 février 2017, les membres du conseil urbain de Butembo ont rappelé que la période de l’enrôlement tend à sa fin et que les bons citoyens de 16ans et plus doivent s’investir d’aller se faire enrôler pour éviter qu’ils ne regrettent leurs sorts plus tard.
Dans un autre registre, les participants à cette rencontre ont insisté sur le respect strict du code de la route. De manière particulière, le conseil a interpelé les taximen des motos et des voitures qui ont tendance à ne pas respecter les bandes prévues pour le passage des piétons. Le conseil de sécurité martèle que les piétons sont prioritaires au niveau de ces bandes.
Au finish, le conseil a mis en garde les acteurs des tracts desquels ressortent des menaces de mort contre les personnes et les institutions innocentes. Il a aussi appelé au respect du rond-point dit VGH, où est érigé le monument historique de Butembo.

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