L'insécurité en cours gagne du térrain, de plus en plus dans plusieurs localités dela province du Nord-Kivu ; La # radio # télévision # graben # beni nous informé, dernièrement, le soire du jeudi 16 mars 2017 que, les millitaires Fardc, ont délogés, un groupe des miliciens Maï-Maï, qui se sont établie, ilégalement à RWAHWA une localité situé en Chefferie de Bashu, dans le térritoire de Beni, vers le conté Est dela République Démocratique du Congo. Alors un combat farouche a été signalé, par la société civile dela place, dépuis 05heures du matin d'où, les armes lourde et légère ont, chantés hymne dela mort entre les deux parties. Et aucun bilan n'est disponible pour le moment, donc pour nous c'est difficile de savoir àl'heure actuel. Selon la même source, la situation est sous contrôle del'armée mais parailleurs, on signale aussi, un déplacement massif des habitant civils qui étaient entrain, de fuir pendant la journée de ce jeudi, dans l'objectif d'aller, vers d'autres villages le plus sécurisés, de cette partie dela province du Nord-Kivu, en proie des actes d'inciviques, des groupes armés, et des térroristes des ADF-NALU qui endeullent la région de Beni ce dernier temp :......... Mais de part et d'autres régulièrement,.......

À ce stade, l'armée et les Maï-Maï s'affrontent : jeudi du 16 mars 20217, le village de RWAHWA s’est revéilé, en panique générale. Des coups de balles qui ont raisoné, tôt le matin de ce jour, résultant d’un affrontement entre les soldats des FARDC et les MAI MAI dans le village voisin de kalemba, ont jeté dans la peur les habitants de cette contrée. Les FARDC venaient de lancer un assaut sur un retranchement des Mai-mai de longue date sur place. Par conséquent, tous les paysans ont, momentanément quitté leur domicile pour trouver asile ailleurs. Dans la même actualité, dela fois passé, il y a eu des incursions par les Mai Mai (milice). Ils voulaient libérer, les prisonniers de la prison centrale », a déclaré à Reuters Maître Fabrice Kakurusi, avocat et activiste des droits humains en ville de Butembo au Nord-kivu. « Ils étaient dans l'objectif de profiter de la journée, pour libérer les prisonniers», précise-t-il. Des miliciens Mayi-mayi ont attaqués, la prison centrale du district pénitentiaire de Butembo (ex-Prison de kakwangura) dans l’est du Congo lundi, s’engageant dans un combat armé contre les forces de sécurité, dans le contexte de tensions accrues à la fin du dernier mandat du président Joseph Kabila. En marge de l’expiration du mandat de Kabila, deux mai-mai ont été tués, dans l’assaut contre l’armée congolaise au Mont carmel.
Le bilan de cet échange des tirs fait état de deux morts dans les rangs des maï-maï et un blessé du côté de l’armée loyaliste. Ce, dans une attaque en armes lourdes et légères qui se sont fait entendre depuis 5 heures du matin du mercredi 30 novembre dernier, au quartier KYAGHALA sur le Mont CARMEL en commune de Bulengera en ville de Butembo.
Les reporters de la RMBB se sont rendus sur le terrain, pour constater, le fait aux environs de 10 heures. Ils ont franchis, l’endroit où était érigée, l’ancienne barrière desdits maï-maï.
L’un des capitaines dont nous taisons expressément le nom a expliqué que, les maï-maï ont fait incursion vers 4 heures et à 5 heures, ils ont lancé l’assaut contre les éléments des FARDC.« Malheureusement, ces assaillants subissent des pertes humaines »,a-t-il indiqué.
La frappe…
L’une des victimes transportant un sac au dos a été atteint par une roquette. Cette roquette l’a poussé très loin de sa position initiale et il en est mort sur le champ. Des jambes, doigts et cheveux ainsi que certains morceaux de sa chair sont éparpillés. Un autre maï-maï qui était à environs 20 mètres du camp de fortune des FARDC a aussi, été atteint par balle et en est mort également.
Selon des sources concordantes, ce jour là, d’autres maï-maï ont été grièvement blessés dans leurs fuite vers BUSAGHALA et environs à l’Est de la ville de Butembo. Ils se seraient cachés, dans certaines structures sanitaires qui ne voulaient pas elles aussi les garder aussi longtemps de peur d’être interpellées par des services de sécurité des territoires de Beni et Lubero.
De leurs côté, certains habitants qui ont fuit les combats, d'où ils ne savaient plus, à quel saint se vouer. Mais, la situation sécuritaire est redevenue un peu calme.
Il sied aussi de signaler que, la nuit de dimanche à lundi 13 mars, ces mêmes bandits ont agressé Mr KAMBALE Manzekele chez lui en cellule Vuhika, Quartier Katwa, commune Mususa.
D’autres cas sont signalés, au Quartier Mukuna, commune Bulengera et dans d’autres quartiers comme Kitulu, Vulema (Mususa), …
Pour le moment, nous apprenons que 11 malades seraient internés à l’hôpital Général de Référence de Matanda (nous allons confirmer ce chiffre après comptage ce soir).
Lundi dernier, le bourgmestre de Mususa a alerté au sujet de 6 ménages qui qui ont quitté cette commune. Entretemps, la ville de Butembo a atteint un niveau spectaculaire d’insécurité, tel que le fait constater les responsables de la société civile locale, inventoriant quelques cas récents, mais à priori non exhaustifs :
Les bandits souvent habillés en tenues semblables à celles des policiers et des FARDC opèrent en groupes de 15 – 20 – 30 ou plus avec des fusils ou des armes blanches (machettes et barres à mines). Ils exigent argent, téléphones et autres biens de valeur.
Le cas le plus récent est celui du ménage de KASEREKA SYAHETERA, professeur de Mathématique à l’Institut Mgr Henri Pierard, la nuit de mercredi à ce jeudi 16 mars 2017 en cellule Vukaka, quartier Bwinongo, en commune Mususa.
À Beni-Ville, Mr. Kilolo, chef de cellule Kimbya, au quartier RWANGOMA, commune de BEU en ville de BENI, a été abattu à coup de lance le 09 mars dans son domicile.
Il est inquiétant de constater l’ampleur de la montée du taux d’assassinat et d’attaques ciblées à un rythme quasiment quotidien tel qu’on le déplore actuellement dans les villes de Butembo et Beni, ainsi que dans la plupart des agglomérations importantes de l’espace de Beni-Lubero.
Faudrait-il rappeler, et cela jusques à quand, aux autorités leur devoir de prendre au sérieux leur responsabilité pour la protection des citoyens et leurs biens ?

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