Procès contre les présumés et collaborateurs des ADF-NALU, continue en Ville de Beni avec l'arrestation des civils à Oicha, chef lieu du téritoire de Beni, situé vers l'Est dela République Démocratique du Congo, dans la province du Nord-Kivu, en proie des plusieurs cas, d'insécurité grandissante de plus en plus : Dans les procès en cours au tribune du 08 mars, les prévenues commencent déja à citer les gens, dans les dossiers des massacres dans la région de Beni. Avec la mort du chef de Groupement de BAMBUBA KISIKI le Mwami KALUME 3, dernièrement, les choses débutent pétit à pétit à ce niveau, après les différentes auditions des concérnés par le répresentant, du ministère public ; En effet, selon les déclarations de BOROSO, le chef de la localite de LINZO et, son KAPITA serait, planifier par le Prevenu ROGER BAMUKOKA et BOROSO BENDERA pour avoir refuser de donner la zone de CHUCHUBO au HUTU-NANDE, Les explications ont été fournie, à la cour le Jeudi 29 mars 2017, par l'ex ADF Winny et chef MABRUKI ki ont comparu, en qualité de Renseignant, et le Prevenu BOROSO, était aller à GETY dans la province del' ITURI, àla recherche des médicaments traditionnel gris gris, dans l'objectif de combatre les NANDE, avant de prendre en otage les BAMBUBA DE KISIKI qui dirigés le Groupement : À ce sujet, l'audience a continue, à la Tribune du 08 MARS le Jeudi 29 MARS 2017 :..................

Dans le même dossier, les massacreurs ont été former, au Rwanda parmis lesquels, un certain KISOFELE dont le Prevenu BOROSO reclame à la Barre, en ajoutant que, les massacres de la région de Beni n'ont pas, pour fondation Tribalisme entre BAMBUBA, BAPAKOMBE, BATALINGA Contre NANDE ET BABOHIYO-BAMBUBA plutot contre le Gouvernement congolais. Alors la cour a invité le prevenu, a peser le mot, en rappelant que c'est pour la 2em fois que Boroso declare cela à la cour precisant que, le Gouvernement provincial est inclus.
À OICHA : d'après le maître avocat Jean Paul Paluku Ngahangondi, le T2 de la 3eme zone de défense basé à Beni, au Nord-Kivu, a arrêté quelques civils à Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, àl'Est dela République Démocratique du Congo, pendant la journée du mercredi 29 mars 2017. Dans le même dossier, personne ne sait, la raison de leurs arrestation d'où, la plus part des gens d'Oicha se posent des quéstions pour savoir de plus. Et puis, ils sont, entre les mains du service de renseignement militaire de Beni-Butembo.
ÀL'EST DELA RDC :
La fois passée, certaines intelligences avaient qualifié mon analyse sur le procès en cours à Beni de simple "camouflage" (selon leurs propres termes). Je reviens vers vous chers internautes.
En effet, ce que nous vivons en RDC, particulièrement à l'est du pays n'est pas différent de "La théorie du choc" qu'ont prêché les penseurs américains Naomy KLEIN et Williams RYAN.
Le premier a démontré (dans son livre "Thé choc doctrine and the rise of disaster capitalism" = La doctrine du choc et l'émergence du capitalisme du désastre=, paru en 2007 à New-York, aux éditions Metropolitan Books, lire le premier chapitre) que les hommes politiques des pays sous tutelles des multinationaleslaissent leurs pays être conquis en proie à l'exploitation par ces dernières avec comme armes, l'utilisation des euphémismes comme: la justice, le droit, le développement, la reconstruction... entre temps leurs populations meurent... Unique souci : exploitation des hommes par l'homme.
Quant au deuxième (dans son livre "The blaming the victim" = La victimisation de la victime =, ouvrage publié en 1971 à New-York aux éditions Pantheon Books, pp.24-27), il démontre que l'imposteur, après avoir commis autant désastres sur le peuple lui revient avec une sympathie sans pareil en voulant aider la victime à sortir de son malheur. Il cherche à tout prix à faire croire comprendre à cette victime qu'elle est l'agent causal principal de sa catastrophe.
Est-ce le cas chez nous ?
Voyez par exemple ce SCANDALE au procès des ADF à BENI. Le ministère public accuse un prêtre assomptionniste, l’ancien curé de la paroisse de MBAU, d’être à la base de l’enlèvement le 19 octobre 2012 de ses 3 collègues pour n’avoir pas restitué aux ADF l’argent qui leur était dû. Ainsi les ADF en venant le chercher ont pris ses collègues en guise d’hypothèque. Le Général Major TIMOTHE MUKUTU veut faire inculper le père AUGUSTIN SIRIMIRWA, autorité morale de l’association KITAKYA MAENDELEO qu’il accuse d’effectuer clandestinementdes transactions avec les ADF. Les trois prêtres enlevés à MBAU le vendredi 19 octobre 2012, les pères WASUKUNDI, NDULANI et KISUGHU avaient été effectivement kidnappés deux jours après que le père AUGUSTIN SIRIMIRWA s’était mis à l’abri à BUTEMBO. Dans les échanges durant l’audience de ce mardi 28 mars 2017, le père AUGUSTIN SIRIMIRWA a reconnu avoir été responsable de cette association KITAKYA MAENDELEO mais a qualifié les allégations du ministère public de racontars.
Soit... C'est possible... Attendons la fin des audiences, ne soyons pas pressé. Le jour où on fera comparaître celui qui a envoyé cet argent... peut-être ....
Mais, moi... Je serai le dernier à croire... Si vous me donnez encore la chance de vivre, peut-être que mon appétit viendra en mangeant ! Et je vais vous rejoindre.
En Lubero : FARDC et Mazembe se regardent en chiens et chats
Toutes les activités ont été paralysées le matin de ce mardi 28 mars dans la bourgade de KASUGHO en groupement MUSINDI dans la chefferie des Batangi.
À la base, la présence des miliciens MAZEMBE. Ces derniers et les FARDC se sont regardés comme des chiens et chats. À l’arrivée des miliciens, toutes les activités ont été paralysées. Des bureaux étatiques, des écoles et boutiques ont précipitamment fermé leurs portes. Les activités ont repris mais dans une timidité sans pareil dans la soirée, comme l’a informé notre source à KASUGHO.
Toutefois, les deux forces se regardent encore comme deux coqs gardés dans une même maison. Notons que la localité de KASUGHO est encerclée par plusieurs forces. A part les éléments FARDC qui sécurisent la population, des miliciens MAZEMBE, NDUMA et des rebelles FDLR font la loi dans les environs de ce coin du territoire de Lubero.
En outre ; Selon un rapport de l’ONG Femmes Juristes pour les Droits de la Femme et de l’Enfant, FJDF rendu public en marc 2017, durant l’année 2016, 1618 dossiers, ont été reçus au bureau de FJDF et 1555.

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