Retour difficile d'un groupe de la population en colère, à Kamandi, situé dans la province du Nord-Kivu, en Rdcongo ; Mais chose drôle il n ya pas d' assistance de part et d'autres, envers ce rescapés du dernier événement malheureux : la plus part d'entre eux sont, dans des familles d'accueille précisement à Kamandi jite, kikuvo, Kirumba d'où pour le moment, il n ya pas d'activités d'enrôlement. En territoire de rutshuru le kidnapping perpétuel orchestres, par de groupes armées, les conflits inter ethniques a bwito, affrontements répétitif entre maimai et nyatura donnant naissance ala haine entre les etvision plusieurs dialogue sociaux de renforcement de cohabitation pacifique sans suite favorable. Nos adressée aux autorités compétentes sécuritaire provincial que centrale était de traquer ces groupes rebels qui s,autoproclamé défenseur des ethnies or aucune communauté qui avait mandater un groupes de individus a sécuriser le leur mais parce que le maimai parle kinandi et le nyatura parle le kinyarwanda les politiciens en coulisses qui attise le feu profite l occasion de manipuler la population pourtant depuis longtemps cohabiter sans reproche :

Mais dernièrement face à cette situation d'insécurirté, les membres dela communauté Yira ont déplorés, la persistance de l’insécurité, des cas des massacres des populations en répétitions en territoire de Beni (Nord-Kivu) et Irumu (Ituri), des tueries, des incursions nocturnes et des braquages en ville de Beni et Butembo, de kidnapping des civils (le cas illustratif étant celui de Jean Baptiste Kasereka, membre du conseil culturel de Mambasa) ainsi que des attaques des centres d’enrôlement des électeurs et des camps militaires…
1. La résurgence et l’activisme des groupes armés, nationaux et étrangers sur le sol congolais, semant ainsi la désolation dans le chef de la population ;
2. La délinquance de certains éléments Fardc envoyés en mission dans les villages de Beni-Lubero pour traquer les miliciens, mais détournent leurs missions en se livrant au pillage et à l’extorsion des biens de la paisible population, aux viols des femmes et des enfants, ainsi qu’au payement des taxes illégales sans en être inquiétés ;
3. Le déplacement massif des populations obligées d’abandonner leurs villages et leurs champs craignant pour leurs sécurités ; ils vivent dans des conditions difficiles sans assistance adéquate.
Au gouvernement congolais,
4. De restaurer l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue de la république sans en sacrifier un seul mètre carré, et de résoudre les problèmes de grèves des cultivateurs de Cacao pour multiplication des Taxes en province de l’Ituri et celui des Bouchers du Grand Nord Kivu qui pèsent sur les paisibles populations.
Aux politiciens congolais ;
5. De privilégier l’intérêt général en trouvant le plus rapidement possible une issue favorable à leurs divergences sous la facilitation de la CENCO;
Pendant ce temp, on nous signale un manquement de matériel de la Ceni dans plusieurs centre de cet entité de la province du nord Kivu, presque tous les bureaux, sont presque fermés leurs portes, d'où un groupe d'un membre de la société civile sont entrain d'alerter les députés nationaux que provinciaux élus de Lubero jusqu'à présent, aucune suite favorable, est entendu, après les passages des députés en Lubero sensibise plus la population à l'enrôlement au lieu de dire la vérité que le blocage reste Kinshasa mais applique la démagogie à cause des intérêt égoïstes au lieu d'aider la communauté et trouver solution à ce problème. Toute fois, pourquoi appelé les gens a l'enrôlement tout en sachant qu'il y a pas de matériel ? Ouï aux élections pour le pouvoir non aux élections pour le changement. La population très clair voyante actuellement et analyse tous discours de nos leaders politiques. actuellement le nord Kivu sous menace de plusieurs groupes armées. En territoire de Lubero groupes confondus de Maï-Maï entre autre mazembe, gido, la fontaine,... Et d'autres qui se dit défenseur de la communauté) l' autre Maï-Maï qui ont attaqués les forces loyalistes à Kamandi lac, la semaine dernière village riverain du lac Édouard mais après victoire de fardc dans ce village où ils ont brûler plus de 230 maisons, plus de dix pirogue, cinq motos, vélo et plusieurs bien de valeur pillé dans ce village.
En Beni-Ville ; UN CHEF MIWA DE CELLULE A BENENGULE HERBERGE DES BANDITS CHEZ LUI SOUS LA PROTECTION DE L'ETAT.... La population de benengule dans la cellule de l'institut kisolokele voulait en finir en tabassant a mort un enfant biologique voleur du chef miwa qui a été surpris avec une grande pierre catherine voulant ouvrir la porte d'autrui vers 3 heures du matin. KWA UKUMBUSHO ULE CHEF YEYE PEKE ALIKUWAKA MWIZI NA KWA LEO YEYE NJO ANA WEKA BA BANDITS KWAKE KAMA MTOTO YAKE, UN CERTAIN SENGESENGE... sasa hautujuwe kama serkali ili tiyaka uyu chef bengengule juu akuwe na tesa peuple. NOUS EXIGEONS SON DEPART AVANT QUE LE PURE N'ARRIVE JUU MA PANEAU, MA KUKU, MA MBUZI ZIME ISHA JUU YA CHEF.
Dans la région de beni la rébellion des groupes djihadistes ADF nalu qui venait d'ameurtrir beaucoup des familles par des carnages, voilà récemment le colonel kakolele ex CNDP qui se dit il vient liberer la population nande entre le main des ADF vouloir sensibiliser les jeunes de beni ville et territoire a adhérer sa vision mais son idéologie reste critique. Chose grave la réapparition de rebels M23 en territoire de rutshuru disparu depuis 2012 après leur défaite face aux vayant combattants fardc sous le commandement du feu général bauma ambamba, et la détermination du colonel Mamadou ndala général en titre postule. demandons les renforcement sécuritaire de mesure face a ces groupes rebels, la détermination totale des forces loyalistes, la vigilance de la population de la population, la désolidarisation de la population a ces groupes rebels, la coopération synergique des la population civile, FARDC, MONUSCO et tous autres service des sécurité car la période où nous sommes certains groupes rebels (nyatura, corps du christ de kakolele, gido, la fontaine, et autres peuvent être au service du M23), qui veut des troubles chez nous.

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