Un groupe des bandits armés, ont voulu, mettre fin àla vie d'un papa cultivateur au Sud du térritoire d'Irumu précisement, à NDALYA, selon la société civile de ce conté ; alors dans la soiré du samedi 11 mars del'année courant, nous avons apris que, le papa Nyangeta Sindani qui revenait de son champ, a été macheté dans une surprise, par des inconnus, à Ndalya, une localité situé au Sud dela province d'Ituri, en térritoire d'Irumu, àla limite avec la province voisine du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo. La nouvel a été donné, par un membre d'ONGDH connu sous appellation dela CRDH convention pour le réspect des droits del'homme, qui est aussi l'une des composantes dela société civile noyau de OTOMABER, contacté, par la Radio Muungano Oicha, qui est notre source. Selon la même source, cet événement malheureux s'est produit, dans la soiré du 18heures 30" du vendredi 11 mars 2017, d'où un groupe d'inciviques suivait ce papa, peut être de près. Pour le moment, cet homme victime est admis, au centre de santé dela place, pour des soins approprié. À noter aussi que, ces criminnels courent encore dans la nature, après leurs forfait peut être dans l'objectif de mettre la fin àla vie de Mr Sindani :......
Au Sud du térritoire d'Irumu comme ce de Beni, les hommes armés circulent de plus en plus ce dernier, temp d'où ce deux parties dela République Démocratique du Congo, sont, en proie des massacres, vols incendies et viol, contre les gens. Mais, depuis mars 2015, l’armée dans le cadre de la traque contre les ADF dans la région de Beni, àl'Est dela Rdcongo, l’expérience a été, entre autres, donnés au différents, généraux qui se sont succédés, avec la présence de Mac Azukay qui était le directeur adjoint de la presse.
Jeune Afrique : Où en est l’opération « Sokola 1 » lancée début 2014 pour traquer les rebelles ougandais ADF dans le territoire de Beni ?
Capitaine Mak Hazukay: On observe aujourd’hui une accalmie. Cela est dû aux pressions que les FARDC sont en train d’exercer sur l’ennemi. Il n’y a pas longtemps, l’ennemi sortait et venait tuer, égorger et piller des villages. Et ce massacre de grande envergure remonte au mois d’août.
D'après Mac Azukay, l'armée a réussi, à construire une seconde ceinture autour du « triangle de la mort » [zone comprise entre Mbau, Kamango et Eringeti, NDRL]. Nous poursuivons par ailleurs des opérations de routine, des patrouilles régulières de reconnaissance et de combat, entre autres. Nous avons aussi positionné des militaires sur des grands axes pour assurer le contrôle, la surveillance et la sécurité sur les routes.
Carte du triangle de la mort à Beni, compris entre Mbau, chef-lieu du secteur Beni-Mbau, Kamango, dans la chefferie des Watalinga, plus à l’est, et Eringeti, au nord de Mbau.
Dans un autre chapitre en ce qui concerne conflit inter-communautaires au Nord-Kivu : des Hutus écrivent à Joseph Kabila !
Face aux massacres perpétrés contre leur ethnie et autres frustrations que connait leur communauté au Nord-Kivu, de jeunes cadres Hutu congolais regroupés au sein de « Club Nyirangongo » viennent d’adresser une lettre ouverte au Président de la République, Joseph Kabila, avec copies à plusieurs organisations internationales.
Dans leur mémorandum, ils attirent l’attention du Chef de l’Etat sur les dérives qui caractérisent, selon eux, la gouvernance de Julien Paluku, actuel gouverneur du Nord-Kivu.
Ces jeunes hutu congolais font état de massacres dont leur communauté est victime de la part des autochtones Nande, dont le plus récent est celui du 7 février 2016 sur plus de 30 personnes – hommes, femmes et enfants confondus – à Luhanga, en territoire de Lubero.
À les en croire, cette haine tribale serait exacerbée par les discours de certains députés et autorités politico-admini
stratives du Nord-Kivu.
Ils ont pointé nommément un doigt accusateur sur le gouverneur du Nord Kivu, Julien Paluku, mais aussi sur les députés nationaux Venant Tshipasa et Bonane Lusenge, qui feraient de l’amalgame entre les FDLR,
ces rebelles rwandais qui sèment la désolation à l’Est du pays depuis plus de 20 ans et de paisibles citoyens Hutu congolais vivant au Nord-Kivu.
Les jeunes du « Club Nyrangongo » font savoir au Président de la République que les Hutu congolais ne sont pas non plus membres de l’ADF comme le soutiennent certains députés.
« Pour preuve, ni l’armée, ni la Monusco ne sont jamais arrivées à de telles conclusions, et aucun fait n’a lié un jour l’ADF à la population Hutu congolaise aux événements du Grand –Nord », ont-ils relevé, avant de marteler que les liens supposés entre les FDLR et les Hutu ainsi que les similitudes entre les deux groupes ne sont que le fruit de l’imagination de certains députés Nande.
Les jeunes cadres Hutu rappellent que les frontières héritées de la Conférence de Berlin de 1886.
En Ville de Butembo ; les cartes d’électeurs étaient épuisées et que la société civile a invité à une ville morte jeudi, 50.000 nouvelles cartes d’électeurs sont arrivées ce samedi. La pénurie des cartes d ‘électeurs commençait à énerver depuis février mais ce samedi la cheffe de la CENI Butembo, Georgette Kibendelwa a rassuré avoir reçu ce nouveau lot. En tout elle dit avoir déjà fait enrôler 95% d’électeurs attendus.
Les agents du centre d’enrôlement sont arrivés à dénoncer leurs trois collègues véreux qui enrôlaient des Congolais de la diaspora moyennant seulement leurs photos passeport. Ces trois agents ont frauduleusement, complétés les cartes de leurs proches en séjour aux Indes, en Ouganda et Kenya, que la loi sur l’enrôlement interdit car la diaspora sera enrôlée dans leurs embrassades. Avec chef du centre titulaire ont été utilisées, pour valider ces vraies-fausses cartes et les faussaires sont aux arrêts.
À Beni Ville : les procès des ADF continue de donner des révélations inquiétantes. Durant la séance publique de vendredi le 10 Mars 2017, durant laquelle 7 ADF ont été condamnés de 12 mois jusque a la peine de mort ; un jeune ADF de nationalité Kenyane a été remis a son juge naturel du tribunal pour enfant pour son âge mineur. Ainsi la thèse des terroristes ADF étrangers venant de plusieurs pays d’Afrique qui tuent dans le territoire de Beni se confirme dans ce procès.
Jeune Afrique : Où en est l’opération « Sokola 1 » lancée début 2014 pour traquer les rebelles ougandais ADF dans le territoire de Beni ?
Capitaine Mak Hazukay: On observe aujourd’hui une accalmie. Cela est dû aux pressions que les FARDC sont en train d’exercer sur l’ennemi. Il n’y a pas longtemps, l’ennemi sortait et venait tuer, égorger et piller des villages. Et ce massacre de grande envergure remonte au mois d’août.
D'après Mac Azukay, l'armée a réussi, à construire une seconde ceinture autour du « triangle de la mort » [zone comprise entre Mbau, Kamango et Eringeti, NDRL]. Nous poursuivons par ailleurs des opérations de routine, des patrouilles régulières de reconnaissance et de combat, entre autres. Nous avons aussi positionné des militaires sur des grands axes pour assurer le contrôle, la surveillance et la sécurité sur les routes.
Carte du triangle de la mort à Beni, compris entre Mbau, chef-lieu du secteur Beni-Mbau, Kamango, dans la chefferie des Watalinga, plus à l’est, et Eringeti, au nord de Mbau.
Dans un autre chapitre en ce qui concerne conflit inter-communautaires au Nord-Kivu : des Hutus écrivent à Joseph Kabila !
Face aux massacres perpétrés contre leur ethnie et autres frustrations que connait leur communauté au Nord-Kivu, de jeunes cadres Hutu congolais regroupés au sein de « Club Nyirangongo » viennent d’adresser une lettre ouverte au Président de la République, Joseph Kabila, avec copies à plusieurs organisations internationales.
Dans leur mémorandum, ils attirent l’attention du Chef de l’Etat sur les dérives qui caractérisent, selon eux, la gouvernance de Julien Paluku, actuel gouverneur du Nord-Kivu.
Ces jeunes hutu congolais font état de massacres dont leur communauté est victime de la part des autochtones Nande, dont le plus récent est celui du 7 février 2016 sur plus de 30 personnes – hommes, femmes et enfants confondus – à Luhanga, en territoire de Lubero.
À les en croire, cette haine tribale serait exacerbée par les discours de certains députés et autorités politico-admini
stratives du Nord-Kivu.
Ils ont pointé nommément un doigt accusateur sur le gouverneur du Nord Kivu, Julien Paluku, mais aussi sur les députés nationaux Venant Tshipasa et Bonane Lusenge, qui feraient de l’amalgame entre les FDLR,
ces rebelles rwandais qui sèment la désolation à l’Est du pays depuis plus de 20 ans et de paisibles citoyens Hutu congolais vivant au Nord-Kivu.
Les jeunes du « Club Nyrangongo » font savoir au Président de la République que les Hutu congolais ne sont pas non plus membres de l’ADF comme le soutiennent certains députés.
« Pour preuve, ni l’armée, ni la Monusco ne sont jamais arrivées à de telles conclusions, et aucun fait n’a lié un jour l’ADF à la population Hutu congolaise aux événements du Grand –Nord », ont-ils relevé, avant de marteler que les liens supposés entre les FDLR et les Hutu ainsi que les similitudes entre les deux groupes ne sont que le fruit de l’imagination de certains députés Nande.
Les jeunes cadres Hutu rappellent que les frontières héritées de la Conférence de Berlin de 1886.
En Ville de Butembo ; les cartes d’électeurs étaient épuisées et que la société civile a invité à une ville morte jeudi, 50.000 nouvelles cartes d’électeurs sont arrivées ce samedi. La pénurie des cartes d ‘électeurs commençait à énerver depuis février mais ce samedi la cheffe de la CENI Butembo, Georgette Kibendelwa a rassuré avoir reçu ce nouveau lot. En tout elle dit avoir déjà fait enrôler 95% d’électeurs attendus.
Les agents du centre d’enrôlement sont arrivés à dénoncer leurs trois collègues véreux qui enrôlaient des Congolais de la diaspora moyennant seulement leurs photos passeport. Ces trois agents ont frauduleusement, complétés les cartes de leurs proches en séjour aux Indes, en Ouganda et Kenya, que la loi sur l’enrôlement interdit car la diaspora sera enrôlée dans leurs embrassades. Avec chef du centre titulaire ont été utilisées, pour valider ces vraies-fausses cartes et les faussaires sont aux arrêts.
À Beni Ville : les procès des ADF continue de donner des révélations inquiétantes. Durant la séance publique de vendredi le 10 Mars 2017, durant laquelle 7 ADF ont été condamnés de 12 mois jusque a la peine de mort ; un jeune ADF de nationalité Kenyane a été remis a son juge naturel du tribunal pour enfant pour son âge mineur. Ainsi la thèse des terroristes ADF étrangers venant de plusieurs pays d’Afrique qui tuent dans le territoire de Beni se confirme dans ce procès.
Commentaires