Dans une interview accordée mardi 18 avril 2017 à Radio Okapi, le générale Falsi Kabwe a indiqué que la situation sécuritaire dans les territoires de Beni et Lubero dans la province du Nord-Kivu précisement, àl'Est dela République Démocratique du Congo est « globalement calme ce dernier temp, et sous le contrôle des Forces armées de la RDC ». « À lui d'ajouter que, depuis le 9 octobre 2016 jusqu’à ce jour, on n’a plus connu des tueries contre les habitants civils à Beni, et ses environs. Nous pouvons dire que, quelque chose a été faite », note le général Fall Sikabwe. Il indique que cette maitrise de la situation est notamment, due « au bouclier mis en place avec les partenaires des FARDC ». Le commandant de la 34e région militaire et des opérations Sokola 1 Sud a déclaré, mardi 18 avril 2017, que les menaces des maï-maï n’inquiètent pas du tout les forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) faisant allusion aux tracts jetés par des présumés maï-maï dans les villes de Beni et Butembo. Général Fall Sikabwe : «les menaces des maï-maï n’inquiètent pas du tout les FARDC » :

Depuis quelques jours, des menaces d’attaque de la ville de Butembo sont rapportés. Des témoins renseignent que des tracts ont même été ramassés dans les rues des villes de Beni et de Butembo.
A ce sujet, le général Fall Sikabwe apaise la population et affirme qu’il n’en est rien.
« La ville de Butembo par exemple ou à l’extérieur de Butembo a un contingent suffisamment costaud pour faire face à toute menace », apaise-t-il.
Quant au pullulement de petits groupes Maï-Maï, le général Fall Sikabwe précise que l’armée est « concentrée » sur cette question.
« La situation est largement sous contrôle de ce côté-là », assure le commandant de la 34e région militaire des opérations Sukola 1 sud.
Les territoires de Beni et Luberon ont été le théâtre de tueries depuis 2014. Human Right Watch a noté pas moins de 680 civils tués dans 120 attaquesperpétrées par des « combattants non identifiés » dans cette zone du nord de la province du Nord-Kivu. Les auteurs de ces attaques utilisent souvent des armes blanches pour opérer. Faisant le bilan de la province en 2016, le gouverneur du Nord-Kivu ne s’était pas empêché de parler « d’une année sanglante ».
En térritoire de Beni : la police de la Mission de nations unies pour la stabilisation de la R. Congo (UNPOOL) a évalué positivement le travail de la police nationale congolaise PNC en territoire de Beni.
Pour la même occasion, le colonel Wimbi Jean Pierre, commandant de la police en territoire de Beni a fait part de sa satisfaction.
Il a par ailleurs, noté des difficultés auxquelles ses policiers continuent à faire face sur le terrain.
Le général Saar a annoncé l’exécution en territoire de Beni des plusieurs autres projets à travers ce partenariat UNPOOL-PNC.
Le général Saar, commissaire général adjoint de l’UNPOOL a fait part de son appréciation, mardi 18 avril 2017, lors d’une visite de travail à Oicha, chef-lieu du territoire de Beni.
Depuis janvier 2017, la MONUSCO à travers sa police a doté le commissariat du territoire de Beni en locomotion et en matériels à savoir une dizaine de motos, deux téléphones verts et un bâtiment équipé en outils informatiques.
Le commissaire général adjoint de l’UNPOOL dit avoir constaté, au terme de sa visite dans les locaux de la police nationale congolaise, que tous ces matériels sont opérationnels et en bon état.
À Kasindi : Selon la coordination de la société civile du territoire de Beni, de plus à plus on remarque une immixtion des politiciens dans les affaires du noyau local des forces vives au poste frontalier de Kasindi. C’est cette pratique qui pérennise les conflits de leadership au sein de cette structure citoyenne, estime Omar Kalisha, vice-président de la société civile en territoire de Beni.
Au Sud Ouest del'Ituri dans le térritoire de Mambasa : ONGDH la CRDH BABILA BABOMBI, est très préoccupé, par la situation d'atteinte à la liberté de communication à la population de makumo, par le service de renseignement ANR MAKUMO ; par les cas de la traque des apareilles de communication marque MOTOROLA, sans fait 3 mois maintenant que l'opération a commencer On arrivent même a traquer les dites apareilles dans différentes boutiques de la place ce que nous qualifions de violation de liberté de communication, or ceci est garanti par nôtres constitution de la RDC à son article 24,31. la CRDH BABILA BABOMBI par son chef d'antenne KASEREKA SIVAMWENDA nous avons tenter d'entrer en contact avec les autorités locales Tel que le chef de groupement BANGOLE, il a promie instruirt le chef d'antenne ANR de remettre tout les appareils au proprietairs, mais sans succès, même le bureau CRDH BABILA BABOMBI est victime de ces actes, les deux MOTOROLA de service son ravie par ces pronfessionnel des tracasseries ; nous sommes determiner de passer a la vitess supérieur.
Pour tout contact 0994310890 et 0820153440 puis sivamwenda kasereka @ gmail.com.
Dans le térritoire de Nyiragongo : Ils étaient 13, les agents de la MONUSCO GOMA, qui ont été pris en otage le mardi dernier, pendant plusieurs heures par une centaine d’ex-rebelles sud-soudanais cantonnés depuis près de 9 mois à MUNIGI dans le Nyiragongo. Depuis le rapatriement vendredi dernier de 8 officiers à DJUBA à partir de l’aéroport de Goma par le vice-ministre de la défense et l’ambassadrice du sud-soudan en RDC, mais également, depuis la rencontre des autorités congolaise et celles de la MONUSCO avec les généraux leaders de ces ex-rebelles, il y aurait eu de remous dans le camp de cantonnement de MUNIGI dans le territoire de Nyiragongo. Certains ex-rebelles sud-soudanais auraient désobéi aux manipulations de leurs leaders en exigeant d’être rapatriés immédiatement au Sud-soudan. Le chef de bureau de la MONUSCO NORD-KIVU, DANIEL RUIZ, a dit sur KIVU1 qu’ils ont convaincu ces révoltés que prendre en otage ces agents onusiens risquerait de faire peur aux pays tiers qui pourront les accueillir, et qu’il était dans leur intérêt de laisser ces agents onusiens libres afin que les pourparlers continuent.

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