La présence des inciviques munis des armes à feu, crée des pyscauses et inquiétudes au sein dela population urbain, en Ville de Beni dans la quelle, plusieurs cas d' assassinats, ont été enrégistrée, ce dernier temp, contre la population civils, avec aussi des viols nocturne et une trentaine de cas de vols armés ont été perpétrés, par des bandits dans la ville de Beni, province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo, depuis janvier 2017, d'après une source dela société civile dela place. C’est ce qui ressort du rapport trimestriel de la société civile de Beni. Selon le président de la société civile de Beni, Gibert Kambale, les victimes désignent souvent des hommes en uniformes comme coupables de ces actes de violation de droits de l’homme. Il demande qu’une enquête soit ouverte, contre ces inciviques qui troublent la région de Beni. L'insécurité grandissante est signalé ça et là en Ville et plusieurs localité du térritoire de Beni, d'où les habitants sont de plus en plus victimes. Les actes des térroristes n'est pas encore dire son dernier mot, dans ce coin du pay, où la plus part des civils ont, abandonnés, leurs maisons :

Des sources locales dela place rapportent, que cas d’extorsion de l’argent, des téléphones portables et des vols dans les maisons sont, observés presque chaque nuit, dans cette Ville. Pour sa par la société civile rapporte des tueries, viols et vols depuis janvier 2017
7 assassinats de civils, 7 cas de viol et une trentaine de cas de vols armés ont été perpétrés dans la ville de Beni dans la province du... « Ce qui nous inquiète, c’est que les victimes souvent voient des gens qui portent des tenues apparentées soit aux militaires, soit à la police… Nous dénonçons également la surmilitarisation de notre ville. Nous plaidons pour l’ouverture d’une enquête sérieuse pour arrêter les responsables de ces actes», s’est plaint, Gilbert Kambale.
Le Président de la société civile de Beni demande également à la police de la MONUSCO et à la police congolaise qui mènent des patrouilles ensemble de « revoir leur stratégie sur le terrain » pour sécuriser les habitants de Beni.
La grande majorité des cas documentés par Human Rights Watch ont eu lieu dans le Rutshuru, territoire de la province du Nord-Kivu, dans l’est du pays. Au moins trois otages ont été tués et un autre est décédé de ses blessures lors d’une tentative d’enlèvement. Un autre otage est toujours porté disparu. Presque tous les otages ont été relâchés après que des membres de leurs familles ou des employeurs aient payé une rançon. Vingt des victimes étaient des travailleurs humanitaires congolais et étrangers.
« La hausse alarmante du nombre de kidnappings constitue une grave menace pour la population de l’est de la RD Congo », a déclaré Ida Sawyer, chercheuse senior de la division Afrique à Human Rights Watch. «Les autorités congolaises devraient de toute urgence créer une unité de police spéciale chargée d’aider à secourir les otages, et de mener des enquêtes et des poursuites contre les ravisseurs. » « Vous savez que Beni c’est un carrefour de l’est à l’ouest et du nord au sud. Donc, quand il y a traque des criminels vers Butembo, Oicha, Kisangani, Bunia et Goma, ils tentent de transiter par Beni. Avec l’appui de la population, nous sommes en train de mettre la fin à ce phénomène de vol à mains armées dans la ville de Beni » a-t-il rassuré.
Les ravisseurs suivent souvent une procédure similaire ; ils frappent, fouettent ou menacent leurs otages de mort, leur demandant d’appeler leurs proches ou leurs employeurs afin de les persuader de payer pour leur libération. Les ravisseurs ont souvent utilisé les téléphones portables des victimes ou bien leurs propres téléphones afin de négocier le paiement des rançons. Dans certains cas, les ravisseurs ont enlevé un seul otage, et dans d’autres cas un groupe d’otages.
Dans un incident survenu le 2 septembre, des hommes armés ont enlevé une étudiante de 27 ans près de l’hôpital général de Goma et l’ont emmenée au fin fond de la forêt, où elle a été détenue avec d’autres otages. Les ravisseurs frappaient et maltraitaient les otages, même en les brûlant avec des baïonnettes chauffées. « Lorsque nous avons demandé de la nourriture, ils ont choisi un homme parmi nous et l’ont tué en lui tranchant la gorge », a-t-elle confié à Human Rights Watch. « ‘Si vous voulez manger, voilà la viande’, nous ont-ils dit. » Elle a été détenue pendant neuf jours, et relâchée après que sa famille ait versé une rançon.
Dans les cas documentés par Human Rights Watch, les ravisseurs ont réclamé de 200 à 30 000 $US par otage, même si les montants payés étaient souvent bien inférieurs à la somme réclamée, selon des proches et d’anciens otages.
Les paiements de rançon ont souvent entraîné de graves difficultés financières pour les familles. Un homme a été obligé de vendre sa ferme afin de pouvoir rembourser l’argent emprunté par sa famille pour payer la rançon de sa libération, laissant sa famille sans aucune source de revenu.
Les ravisseurs ont également pris pour cible des travailleurs de l’aide nationale et internationale, du personnel sous contrat travaillant pour les Nations Unies, et des chauffeurs d’une importante société de transport. Dans tous les cas, les otages ont ensuite été relâchés. Aucune information n’a été rendue publique quant à savoir si des rançons ont été versées.
Dans la plupart des cas documentés par Human Rights Watch, les membres des familles des otages n’ont pas informé la police ni d’autres autorités à propos du kidnapping. Human Rights Watch a mené des entretiens auprès de 45 anciens otages et témoins dans le Nord-Kivu entre mai et décembre. Ceux-ci ont indiqué que les ravisseurs opèrent en général en groupes d’une dizaine d’individus ou plus, et sont souvent lourdement armés de kalachnikovs et autres armes d’assaut militaires. Nombre d’entre eux portent des tenues militaires et semblent appartenir, ou avoir appartenu, à l’un des nombreux groupes armés actifs dans l’est de la RD Congo. La région de Beni a connu des violences meurtrières entre 2014 et 2016. La société civile a dénombré environ 2 000 morts.

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