La situation sécuritaire demeure préoccupante dans le térritoire de lubero, précisement en chefferie de Baswagha, qui est devenu aussi la cible des inciviques des miliciens Maï Maï ce dernier temp d'après les témoignages d'un membre d'une ONG de défence des droits del'homme CRDH, noyau du térritoire de LUBERO, situé dans la province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocratique du Congo : on signale aussi le dimanche dernier, la présence de plus des 300 miliciens maimai non encore. identifier qui se sont déplacés de Vutata nvia KAHEKU pour finir par s'installer à nMASINGI près de VUTUMBE. Pour ce qui concerne les maimai Nduma, ces derniers qui étaient à MAMBU viennent de se concentré à KATANGA. Parmis les conséquences de leur présence, les activités scolaires restent paralysées à MAMBU et à MATABA, une fille écolière de l'E.P MAMBU a également été violée par le commandant des Nduma defes of Congo.Il sied rappelé que MAMBU se trouve dans le groupement manzia, localité de njiapanda pour l'instant la population reste dans psychose totale craignant ainsi une éventuelle attaque et ces deux groupes rebelles. Achille Makelele communicateur d'OGNDH CRDH Butembo-lubero :

Des informations recueillies par le CEPADHO, la fois passé, nous informait que, les miliciens May-May qui ont désarmés les policiers seraient venus en action punitive. À la base, mardi 18 Avril, 2 Garçons de la localité MUHOMO (Groupement Hutwe) qui quittaient Vuholu pour Hutwe (Chef-lieu du Groupement) ont été lapidés jusqu’à la mort par 6 Secouristes de la Croix-Rouge, les avaient assimilés aux May-May. Le fait s’était passé à Kandole, à 15m-Est de Hutwe. Aussi qu’il a été annoncé, le Groupement de Baswagha-Madiwe, en secteur de Beni-Mbau à l’ouest du Territoire de Beni, traverse ses jours les plus difficiles. Au jour le jour, des Ong documentent des cas de vols à mains armés, des pillages, des viols et autres exactions perpétrés, par des hommes armés et vêtus en treillis militaires. Le cas le plus récent, été la nuit d'un certain mardi à mercredi 19 avril courant, entre 22 et 2h00 du matin, un groupe de 12 hommes dont 2 porteurs d’armes à feu et 10 d’armes blanches (machettes) ont investi le village de Kiboto/Mines. Ils se sont livrés à un pillage de porte à porte. Au total 12 habitations ont été visitées. Et, au cours de leur opération, les assaillants ont crépité plusieurs coups de balles pour semer terreur et désolation. Dans une habitation, les inciviques ont réussi à emporter une somme de 1.000$, ainsi que 5 gramme d’or sans compter les autres biens de valeur. Pour la population, les auteurs de ces actes sont des militaires incontrôlés de la Compagnie Génie/FARDC déployés dans ce Groupement depuis plus de 10 ans (soit 2005). Ils seraient entrain, de simuler la présence des bandits armés pour tenter de tromper l’attention et la vigilance des habitants. Eu égard à ce qui précède, le CEPADHO a réitèré à l’intention du Commandant de la 34ème Région Militaire la nécessité de procéder à la relève urgente des militaires incriminés ainsi que leurs Commandants en vue d’un déploiement de ceux devant mériter la confiance de la population. En représailles, mercredi 19 avril, les May-May prétendant venir venger les 2 innocents ont enlevé les 6 secouristes de Kandole. Comme si cela ne suffisait pas, le matin de ce Jeudi, les May-May ont investi la position de la Police de Hutwe. Le CEPADHO qui se préoccupe de plus en plus de cette situation en alerte le Commandant des Opérations Sukola1-Sud et Commandant de la 34 ème Région Militaire. Il l’encourage aussi bien à neutraliser les Forces Négatives qu’à renforcer la discipline au sein des troupes. Cette organisation appelle par ailleurs le nouveau Premier ministre à se pencher sur la situation sécuritaire qui prévaut dans cette région. La situation sécuritaire du territoire de Lubero est relativement calme cette période, après une tension de conflit communautaire qui a régné au sud du territoire de Lubero plus précisément à Miriki et Luofu il y a quelques semaines. Ce conflit opposait la communauté Nande et Hutu. Le groupe armé Mai mai disait protéger la communauté Nande et le groupe armé FDLR disait protéger la communauté Hutu, Ce qui a engendré beaucoup de morts de la part de ces deux communautés. Toutefois, dernièrement, les opérations militaires FARDC contre les forces négatives évoluent très bien. Pendant ce temps, en Territoire de Lubero, la position de la Police de Hutwe a été pris d’assaut par un Groupe des May-May aux environs de 6h00 locale, le matin de ce Jeudi 20 avril. Les assaillants ont désarmé les policiers et leur ont ravi 3 armes avec munitions. Après leur coup, ces May-May auraient pris la direction de Ngekeni, entre Kirumba et Hutwe. Pour rappel, la position de la Police basée à Hutwe (Chef-lieu du Groupement de même nom) en Chefferie de Bamate est commandée par le Sous-Commissaire Muhindo Hamuli Célestin.
Témoignage d’un jeune congolais recruté à Goma pour un groupe armé en Ouganda. Agé de 20 ans, il s’est échappé trois semaines après sa séquestration. Il s’est échappé avec d’autres 7 jeunes. Notre interlocuteur atteste que, presque 500 jeunes ont été amenés, dans cette contrée ougandaise non précisé qui héberge les jeunes recrues.
« Ils nous ont dit qu’ils avaient besoin de nous parce que nous sommes des jeunes forts, intelligents, qui ne prennent pas l’alcool. Ils nous ont dit que là où nous étions, nous pouvions accéder à tout : la danse,… ", a-t-il révélé.
Difficile pour l’instant d’entrer en contact avec les forces de défense et de sécurité de Goma pour en savoir plus au sujet de cette information. Le témoin qui nous en a renseignés vient de l’hôpital qui l’a pris en charge en médicalement suite aux chocs subis.
Ce jeune garçon, habitant de Goma, dit avoir été kidnappé.
« Mon téléphone m’a renseigné ‘‘Welcome to Uganda’’ et je me suis posé la question sur ce qu’on allait faire dans ce pays voisin. D’autres jeunes ont écouté mon exclamation. On nous détenait dans une haute clôture. Nous nous sommes rendu compte que nous étions en face d’une colline après avoir fui. Nous sommes allés nous cacher dans une vallée »,raconte ce jeune garçon. 

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