La société civile de Rwahwa a fait savoir que, cette localité et ses environs seraient, sous une vouvel ménances dela part des miliciens Maï Maï Mazembe qui troublent plusieurs villages dans ce coin dela région de Beni : À Rwahwa avec des mouvements suspect, une colone des inciviques lourdement armés, a été aperçu, pendant les heures nocturne du samedi au dimanche 09 avril 2017. Au dernière nouvel, nous avons apris que, ce groupe d'hommes se sont volatilisés, dans la nature, qui reste à découvrir, par toute personne : Les habitants sont victimes pour cause d' instabilité sécuritaire de plus en plus grandissante, dépuis octobre 2014, jusque en ces jours, où on enrégistrée, plusieurs cas des tuerries, incendies, vols, viols, contre les pauvres civils. Face à cette situation, la société demande encore aux autorités politico-millitaire, de prendre des mésures, pour mieux sécuriser, les habitants, contre des attaques meurtrière à répétion de ces hors la loi, qui circulent surtout, pendant la nuit, en Beni, sans être inquiéter, par l'armée : Par la suite, l’horreur du phénomène Mai-mai « Corps du Christ » et Mai-mai Mazembe n’a pas tardé, à réaliser cette prophétie par la succession des tragédies que connaît la ville de Butembo depuis Novembre 2016 jusqu’à ces jours. La revendication du leadership du « Corps du Christ » par Kakolele a tout de même levé le voile sur la complicité du pouvoir en place et du M23, dans ce plan, étant donné que Aigle Blanc n’est autre qu’un agent de course en intersection entre ces deux pôles M23 – Kabila). Aujourd’hui, la plus part des gens dévoilent un plan d’atrocité inimaginable qui se trouve déjà à nouveau à la porte de la ville martyre de Beni ; nous en appelons à : – la population du Nord-Kivu en général, d’être vigilante pour surveiller et dénoncer le mouvement de leurs frères qui se sont transformés en terroristes contre notre société ; – militaires et policiers loyalistes, d’assumer avec conscience et patriotisme leur responsabilité de défense et de protection de la population et ses biens ; – la communauté internationale (MONUSCO, USA, UE, UA et organismes internationaux), d’observer de prêt et de documenter ce qui se passe et qui s’apprête comme nouvelle catastrophe imminente à Beni (et aussi dans tout le pays), tout en prenant de disposition préventive et dissuasive requise. Pareillement, onne avait dénoncé, par souci préventif, le plan qui visait à installer à Butembo un phénomène d’insécurité ayant une allure d’extermination. Non plus, aucun dispositif de dissuasion n’a été monté en conséquence :

Encore une fois de plus ce dernier temp, un groupe des hommes munis de toute sorte des armes sont visible dans la partie Sud-Ouest du térritoire de Beni, dans la province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo, précisement, vers le village, Rwahwa, Kitovo, et Vurondo d'après un membre dela société civile dela place qui est notre source: La population en débandande qui ont peur d'être victimes des actes de térrorisme en cours dans la région d'où Kakolele est justement cette marionnette que le M23 et ses sponsors ont longtemps recherchée parmi les autochtones Nande pour légitimer leur accusation contre les autochtones. Ainsi, Kakolele, à partir de Nairobi, a installé certains leaders Maimai pour manipuler les milices Mai-mai en faveur du groupe de Bisambaza (le M23). C’est par ces Mai-mai autochtones que Kakolele aidera le M23 et Kabila à faire porter la responsabilité des massacres de Beni par les autochtones Nande et à se blanchir devant l’opinion internationale. En fait, Kakolele a confirmé son partenariat dans ce plan macabre à partir du jour où il s’est déclaré sur le média international comme le commandant suprême du groupe Mai-mai « Corps du Christ » qui ont introduit une insécurité récurrente à Butembo et ses environs depuis Novembre 2016 jusqu’à ces jours.
Présentement, il a la mission de préparer sur terrain (à Beni) ceux qui devront faciliter l’infiltration des égorgeurs M23 dans la ville de Beni et ses environs, tout en ménageant un camp de transit à Kamango pour les M23 qui doivent venir du territoire de Rutshuru via Bunagana – Kabale – Kasese.
SECOPER est celui qui restera comme commandant des opération permanent sur terrain, vu que Bisambaza est souvent dans des navettes et que Kakolele est tenu à diriger ses « prétendus » Maimai en distance (il ne peut s’aventurier à venir s’installer personnellement à Beni, car conscient de sa malice, il craint pour sa sécurité). SECOPER s’approprie les Mai-mai et autres recrus Nande que Kakolele lui oriente en vue de les utiliser pour massacrer leurs propres frères Nande.
MASTAKI est un sujet ougandais de la tribu des Bakonzo à Kasese. C’est lui le patron du point de transit par où passent les éléments du M23 qui cabotent par l’Ouganda avant d’atteindre le territoire de Beni.
Le paradoxe du M23 en RDC
Qui dirait mieux du statut du M23 en RDC? Est-il une rébellion ou un parti politique? Une opposition ou allié de la Majorité présidentielle? Une mise en scène ou une réalité?
Il y a déjà au moins trois mois depuis que le gouvernement congolais a déclaré ou mieux annoncé (car cette rébellion ne s’est jamais prononcée elle-même) le retour au territoire de Rutshuru du M23 en tant que rébellion militaire. Le porte-parole du gouvernement central les a signalés entre autre à Bunagana, à Ishasha, à Chanzu, à Matebe etc. Dès lors, l’officiel congolais a déclaré que l’Etat congolais est de nouveau en guerre contre cette nouvelle expédition militaire du M23.
Et pourtant, par la suite aucun communiqué officiel ne s’emploie à fixer les opinions sur l’avancée de cette traque; tout demeure voilé au grand public, même après l’écrasement mystérieux de deux hélicoptères de combats des FARDC dans la prétendue zone marquée par la présence de ladite rébellion. On supposerait donc que la guerre continue contre cette rébellion, car on n’a pas entendu que les FARDC les ont déjà écrasés comme en novembre 2013 ni que ces rebelles ont renoncé à leur entreprise déstabilisatrice contre le pays. Autrefois, on a toujours spéculé sur le terme de « présumés ADF » pour désigner les auteurs de crime des massacres qui ont ravagés des innocents depuis Octobre 2014 à travers le territoire de Beni. Actuellement, c’est explicite: le M23 ressuscité se porte au cœur du programme visant la reprise desdits massacres avec une ampleur plus tragique et plus amplifiée que jamais. Néanmoins, dans l’entre-temps, il doit penser à ré-enflammer les massacres de Beni pour ne point donner une chance de ressaisie par une accalmie trop prolongée pouvant permettre aux autochtones de la région de l’Est de retrouver le moyen de se récupérer moralement, économiquement et même socialement.
Quatre acteurs principaux sont à considérer:
– le colonel Richard BISAMBAZA,
– le colonel ou général auto-proclamé Kakolele Bwambale alias Aigle Blanc
– le colonel SECO ou SECOPER, petit frère à Laurent Nkunda
– Mastaki
Richard Bisambaza est considéré comme technicien du terrain du grand Nord-Kivu pour le M23. Il est toujours présent dans les événements des massacres en cours à Beni depuis leur déclenchement en Octobre 2014 jusqu’à ces jours. Pour le moment, il s’emploie à se rassurer que les massacres qu’il prévoit relancer à Beni aura la force de frappe voulu pour anéantir définitivement les récalcitrants à ce plan. D’où, ses navettes inlassables entre Kasese, Kampala et Kabale pour le transfert des moyens humains (éléments du M23 et nouveaux recrus à acheminer sur le champ d’opération) et matériels nécessaires vers Beni.

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