Le nouveau Premier ministre, en République Démocraiuque du Congo, qui a dit être prêt, à travailler , avec toute l’opposition afin d’arriver à l’application complète de l’Accord du 31 décembre 2017 dernier, a lancé des invitations à plusieurs courants des acteurs politique de l’opposition, à la Cité de l’UA. Le programme prévoit pour ce mardi à 14heures les échanges avec des plateformes composant le Rassemblement (UDPS, Dynamique, G7, AR, FDP/CAD, G14, MPP, CR, Société civile non signataire de l’accord du 18 octobre). Nouveau gouvernement : Bruno Tshibala débute avec les consultations ce mardi à 14H Bruno Tshibala débute les consultations ce mardi 11 avril 2017 à la Cité de l’Union africaine, annonce son service de communication. Ces échanges interviennent un jour après son... Bruno Tshibala débute les consultations ce mardi 11 avril 2017 à la Cité de l’Union africaine, annonce son service de communication. Ces échanges interviennent un jour après son tête-à-tête avec Joseph Kabila au Palais, de la nation, à Kinshasa la capital de ce pay d'Afrique Central :
Nommé le 7 avril dernier au poste de Premier ministre, Bruno Tshibala a remercié, le Rassemblement pour avoir présenté son nom comme candidat à ce poste, tout en promettant de ne pas décevoir la confiance placée en lui, et de tout faire pour appliquer l’accord du 31 décembre.
Bruno Tshibala débute les consultations ce mardi 11 avril 2017 à la Cité de l’Union africaine, annonce son service de communication.
« Je tiens à remercier du fond du coeur le Rassemblement pour avoir présenté mon nom au Président de la République en vue de diriger le gouvernement d’union nationale. Non seulement la confiance placée en moi ne sera pas déçu, j’attends également faire tout ce qui est à mon pouvoir pour que l’accord du 31 décembre soit appliquée. »
Se considerant toujours comme faisant partie de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Soscial (UDPS), malgré son limogeage en février dernier, M. Tshibala promet de ne pas trahir la mémoir d’Etienne Tshisekedi, leader historique de l’opposition congolaise décédé à Bruxelles, le 1er fevrier dernier.« Je rassure mes camarades de l’UDPS en leur disant que je serais toujours fidèle aux valeurs de notre parti« , a dit le Premier ministre à l’issue de sa rencontre avec le Président Joseph Kabila .
Boudé par une partie de l’opposition qui estime que le Président n’a pas respecté l’accord du 31 décembre en le nommant à ce poste, Bruno Tshibala a appellé néanmoins à l’unité, entre les congolais : « Je lance un vibrant appel à tous les congolais de soutenir le gouvernement nationale et toutes les institution en vue de l’organisation des élections apaisées, crédibles et transparentes. »
Ces échanges interviennent un jour après son tête-à-tête avec Joseph Kabila au Palais de la nation.
De son conté, le Rassemblement de l’Opposition a une fois de plus demandé à l’ONU de s’impliquer pour faciliter l’application intégrale de l’Accord du 31 décembre.
« Ils réitèrent l’appel pressant qu’il a lancé à Monsieur le Secrétaire Général de l’ONU dans sa lettre adressée le 5 avril en cours, de s’y impliquer sans tarder et activement par ses bons offices, »dit le regroupement politique dans un communiqué de presse publié le 10 avril 2017.
Cette communication est intervenue le soir d’une journée de marche déguisée à une vaste journée morte dans plusieurs villes du pays. Ce groupe a rejeté la nomination du nouveau premier ministre qui, selon lui, n’est pas conforme à l’accord du 31 décembre. Ce regroupement politique plaide pour la finalisation « urgente » de l’arrangement particulier de cet Accord dit de la Saint-Sylvestre. Cette position s’appuie également sur l’alignement de l’Union européenne, et d’autres pays qui estiment que la nomination de Tshibala ne s’est pas faite selon l’esprit et la lettre de l’Accord du 31 décembre.
Pour rappel, le N°1 de la mission des Nations unies en RDC a déjà exprimé sa disponibilité à assurer les bons offices entre le Rassemblement et le camp présidentiel.
Pour rappel, la délégation de l’UE à Kinshasa n’avait pas mâché ses mots après l’annonce de la nomination de Bruno Tshibala au poste de Premier ministre.« L’Union Européenne (UE) prend note du discours du Président Kabila du 5 avril sur l’état de la Nation, suivi par la désignation d’un nouveau Premier ministre, contrairement à la lettre et à l’esprit de l’Accord du 31 décembre 2016. Elle observe le manque de consensus sur cette nomination et marque sa grande inquiétude à ce sujet », avait dit la délégation de l’Union européenne dans une déclaration faite le samedi 5 avril 2017.
Pour She Okitundu, cette nomination est conforme à l’Accord du 31 décembre. De ce fait, il met en garde les membres de la communauté diplomatique qui emprunteraient la même voie que la Délégation de l’Union européenne. Léonard She Okitundu, vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangère et de l’Intégration sous-régionale, a défendu Bruno Tshibala après la déclaration de la délégation de l’Union européenne, à Kinshasa.
« Le chef de la délégation de l’Union européenne à Kinshasa a publié une déclaration locale non conforme à l’Accord politique du 31 décembre 2016 et désobligeante à l’endroit des autorités congolaises relativement à la récente nomination du Premier ministre congolais »,a dit le chef de la diplomatie congolaise dans un communiqué publié le 10 avril. She Okitundu défend Tshibala et met en garde les missions diplomatiques occidentales
Léonard She Okitundu, vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangère et de l’Intégration sous-régionale, a défendu Bruno Tshibala après la déclaration de la délégation de l’Union européenne.
« Le ministère des Affaires étrangères note que la non-observance par ses partenaires des obligations de ladite convention (de Vienne, Ndlr), peut amener, à tout moment, aux termes de son article 9, l’Etat accréditaire sans avoir à motiver sa décision, à informer l’Etat accréditant que le chef ou tout autre membre de la mission diplomatique est persona non grata »,ajoute le communiqué.
Bruno Tshibala débute les consultations ce mardi 11 avril 2017 à la Cité de l’Union africaine, annonce son service de communication.
« Je tiens à remercier du fond du coeur le Rassemblement pour avoir présenté mon nom au Président de la République en vue de diriger le gouvernement d’union nationale. Non seulement la confiance placée en moi ne sera pas déçu, j’attends également faire tout ce qui est à mon pouvoir pour que l’accord du 31 décembre soit appliquée. »
Se considerant toujours comme faisant partie de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Soscial (UDPS), malgré son limogeage en février dernier, M. Tshibala promet de ne pas trahir la mémoir d’Etienne Tshisekedi, leader historique de l’opposition congolaise décédé à Bruxelles, le 1er fevrier dernier.« Je rassure mes camarades de l’UDPS en leur disant que je serais toujours fidèle aux valeurs de notre parti« , a dit le Premier ministre à l’issue de sa rencontre avec le Président Joseph Kabila .
Boudé par une partie de l’opposition qui estime que le Président n’a pas respecté l’accord du 31 décembre en le nommant à ce poste, Bruno Tshibala a appellé néanmoins à l’unité, entre les congolais : « Je lance un vibrant appel à tous les congolais de soutenir le gouvernement nationale et toutes les institution en vue de l’organisation des élections apaisées, crédibles et transparentes. »
Ces échanges interviennent un jour après son tête-à-tête avec Joseph Kabila au Palais de la nation.
De son conté, le Rassemblement de l’Opposition a une fois de plus demandé à l’ONU de s’impliquer pour faciliter l’application intégrale de l’Accord du 31 décembre.
« Ils réitèrent l’appel pressant qu’il a lancé à Monsieur le Secrétaire Général de l’ONU dans sa lettre adressée le 5 avril en cours, de s’y impliquer sans tarder et activement par ses bons offices, »dit le regroupement politique dans un communiqué de presse publié le 10 avril 2017.
Cette communication est intervenue le soir d’une journée de marche déguisée à une vaste journée morte dans plusieurs villes du pays. Ce groupe a rejeté la nomination du nouveau premier ministre qui, selon lui, n’est pas conforme à l’accord du 31 décembre. Ce regroupement politique plaide pour la finalisation « urgente » de l’arrangement particulier de cet Accord dit de la Saint-Sylvestre. Cette position s’appuie également sur l’alignement de l’Union européenne, et d’autres pays qui estiment que la nomination de Tshibala ne s’est pas faite selon l’esprit et la lettre de l’Accord du 31 décembre.
Pour rappel, le N°1 de la mission des Nations unies en RDC a déjà exprimé sa disponibilité à assurer les bons offices entre le Rassemblement et le camp présidentiel.
Pour rappel, la délégation de l’UE à Kinshasa n’avait pas mâché ses mots après l’annonce de la nomination de Bruno Tshibala au poste de Premier ministre.« L’Union Européenne (UE) prend note du discours du Président Kabila du 5 avril sur l’état de la Nation, suivi par la désignation d’un nouveau Premier ministre, contrairement à la lettre et à l’esprit de l’Accord du 31 décembre 2016. Elle observe le manque de consensus sur cette nomination et marque sa grande inquiétude à ce sujet », avait dit la délégation de l’Union européenne dans une déclaration faite le samedi 5 avril 2017.
Pour She Okitundu, cette nomination est conforme à l’Accord du 31 décembre. De ce fait, il met en garde les membres de la communauté diplomatique qui emprunteraient la même voie que la Délégation de l’Union européenne. Léonard She Okitundu, vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangère et de l’Intégration sous-régionale, a défendu Bruno Tshibala après la déclaration de la délégation de l’Union européenne, à Kinshasa.
« Le chef de la délégation de l’Union européenne à Kinshasa a publié une déclaration locale non conforme à l’Accord politique du 31 décembre 2016 et désobligeante à l’endroit des autorités congolaises relativement à la récente nomination du Premier ministre congolais »,a dit le chef de la diplomatie congolaise dans un communiqué publié le 10 avril. She Okitundu défend Tshibala et met en garde les missions diplomatiques occidentales
Léonard She Okitundu, vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangère et de l’Intégration sous-régionale, a défendu Bruno Tshibala après la déclaration de la délégation de l’Union européenne.
« Le ministère des Affaires étrangères note que la non-observance par ses partenaires des obligations de ladite convention (de Vienne, Ndlr), peut amener, à tout moment, aux termes de son article 9, l’Etat accréditaire sans avoir à motiver sa décision, à informer l’Etat accréditant que le chef ou tout autre membre de la mission diplomatique est persona non grata »,ajoute le communiqué.
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