L'insécurité grandissante toujours en cours n'est pas encore dire son dernier mot, dans plusieurs localités du térritoire de Beni, et en Ville de Beni : La présence des plusieurs groupes armés composées aussi, des miliciens Maï Maï, est la casse tête pour la population, dans la région de Beni, en République Démocratique du Congo : Dans une déclaration faite jeudi dernier à Oicha, chef lieu du téritoire de Beni, où le coordonateur national, d'ONGDH CRDH, mr Jean Paul Ngahangondi déclare avoir documenté une vingtaine des groupes armés à l’espace de deux mois. « Selon le monitoring que nous sommes entrain d’établir, dans le Beni et Lubero nous sommes au-delà de 20 groupes armés soit disant maï-maï. Ceux qui sont connus ici ; c’est le groupe de Kilalo, c’est le groupe de Saperita et ces gens là qui étaient sur le mont Carmel. C’est vrai le gouvernement peut négliger ces groupes là, mais nous savons l’histoire de l’Est de la RDC. Et des grandes rebellions commencent toujours par des petites et finissent par mettre mal à l’aise la sécurité de toute la République»,prévient-il. Cette organisation attire l’attention du gouvernement congolais sur la capacité de nuisance de ces groupes rebelles. Dans plusieurs villages des territoires de Beni et Lubero, ce sont les miliciens qui ont finalement remplacé l’Etat congolais, fait savoir cette ONG :
Le phénomène maï-maï s’est, déjà intensifié, sur une grande partie de la province, s’inquiète cette organisation. L’ONG nationale Convention pour le respect des droits humains (CRDH) basée à Oicha, chef-lieu du territoire de Beni a déploré, jeudi 27 avril la légèreté avec laquelle l’Etat congolais gèrela prolifération des groupes armésmaï-maïdans les territoires de Beni et Lubero. Notons qu’en dehors des rebelles de l’ADF et des FDLR encore présent au Nord-Kivu, plusieurs autres groupes armés négatifs se sont multipliés.
Des accrochages entre ces milices et les FARDC sont régulièrement signalés. « Nous sommes arrivés dans les villages comme vers Kyavinyonge où, franchement, l’Etat est totalement absent. Ce sont les groupes armés qui font payer les taxes à la paisible population», Jean Paul Ngahangondi. Il demande aux forces armées de la République démocratique du Congo de lancer des opérations généralisées contre ces groupes rebelles partout où ils sont localisés.
« Nous partageons nos informations avec les autorités de la République du sommet à la base, les services habiletés mais on se pose la question de savoir à qui profite la présence de ces groupes ramés ? Nous demandons à l’Etat congolais, à travers son armé, de lancer des opérations militaires. Pas des opérations militaires de semblant mais des opérations militaires pour en finir avec ces groupes ramés ». Beni : une ONG déplore la légèreté de l’Etat congolais face à la prolifération des groupes armés.
Deux civils ont été enlevés, en la commune rurale de Mangina, qui est toujours en proie d'insécurité grandissante où, la plus part des gens de cet coin, parlent des actes de Kidnapping, en cours sont des business prospère au bénéfice d'un groupe d'inciviques. Encore par les ondes des radios locaux, dans la région de Beni, nous avons apris que, deux personnes ont été kidnapés, par des inconnus, pendant la journée du mercredi 26 avril 2017, à MANGINA, en térritoire de Beni, au conté Ouest de Beni-Ville, en République Démocratique du Congo. Au dernière nouvelle, à partir de Mangina, on nous dit que, les victimes sont toujours aux mains des hors la loi, qui conditionnent la libération de ces gens, à un versement d' une somme d'argent, par la famille des victimes, selon un habitant de Mangina lors d'un entretien téléphonique du jeudi dernier. À lui d'ajouter que, la société civile dela région demande aux militaires de trouver une solution à ce problème, à ces enlèvements à répétition et demandes de rançons qui enrichissent les groupes rebelles.
Dans le passé, cette structure citoyenne, a fait les comptes, plusieurs personnes environ ont été kidnappées, à chaque fois, c’est le même scénario à répétion, dans plusieurs villages, et localités dela province du Nord-Kivu, toujours instable pour cause dela présence des groupes armés qui sont prophètes des malheurs envers la population. En ce niveau d'analyse à vrai dire qui sont les ravisseurs ?
Appartiennent-ils, aux miliciens Maï-Maï, peut être aussi les Forces démocratiques alliées (ADF), ou bien sont-ils de simples bandits armés ? On s’interroge encore sur l’identité de ces kidnappeurs. La zone est en effet infestée, par de nombreux groupes armés.
Depuis plusieurs mois, la prise d’otages est « à la mode » dans la contrée. La fois passé mr Omar Kavota, directeur exécutif du Centre d'études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l'homme, avait affirmé avoir recensé environ 600 cas de kidnappings sur cette route, depuis le début de l’année 2015.
Dans le groupement baswali bokoto dans le Masisi, où 28 Morts sont enrégistrée, après des combats qui opposaient les Mai-mai nyatura au CNRD un mouvement qui tire ces racines aux fdlr rébellion rwandaise.
La tension reste vive dans le village de VUHINGA situé à l’Est de Butembo.
Sur le terrain, des jeunes et vieux ont passé toute la journée de ce jeudi 27 avril sur le lieu où le prénommé John du sobriquet MUNGANGA, habitant de MWIRI en commune de Bulengera, ville de Butembo, a été brûlé vif la journée de mercredi 26 avril.
Ces habitants clamaient des chants hostiles contre les agents de l’ordre qui ont incarcéré neuf personnes en commune Bulengera juste après l’incident. Parmi les personnes arrêtées figure le chef du village VUHINGA. D’autres encore réclament que justice soit faite après pillage des animaux et de l’argent.
Notons que le nommé John allias MUNGANGA a été tué par la population vers 11 heures de mercredi 26 avril à cause d’être soupçonné d’avoir tiré trois balles et emporté beaucoup d’argent dans la nuit de mardi 25 à mercredi 26 avril au domicile de KAMBALE Symphorien, 47 ans révolus. Sur place, John aurait blessé madame KYAKIMWA MAGHULU, 44 ans. Cette dernière est internée aux soins intensifs aux cliniques de l’UCG.
Sa santé reste encore critique, à en croire son mari KAMBALE Symphorien. Selon les dernières nouvelles, le corps de John allias MUNGANGA a été enterré l’après-midi de ce jeudi après qu’il a git à la morgue de VUHOVI.
Des accrochages entre ces milices et les FARDC sont régulièrement signalés. « Nous sommes arrivés dans les villages comme vers Kyavinyonge où, franchement, l’Etat est totalement absent. Ce sont les groupes armés qui font payer les taxes à la paisible population», Jean Paul Ngahangondi. Il demande aux forces armées de la République démocratique du Congo de lancer des opérations généralisées contre ces groupes rebelles partout où ils sont localisés.
« Nous partageons nos informations avec les autorités de la République du sommet à la base, les services habiletés mais on se pose la question de savoir à qui profite la présence de ces groupes ramés ? Nous demandons à l’Etat congolais, à travers son armé, de lancer des opérations militaires. Pas des opérations militaires de semblant mais des opérations militaires pour en finir avec ces groupes ramés ». Beni : une ONG déplore la légèreté de l’Etat congolais face à la prolifération des groupes armés.
Deux civils ont été enlevés, en la commune rurale de Mangina, qui est toujours en proie d'insécurité grandissante où, la plus part des gens de cet coin, parlent des actes de Kidnapping, en cours sont des business prospère au bénéfice d'un groupe d'inciviques. Encore par les ondes des radios locaux, dans la région de Beni, nous avons apris que, deux personnes ont été kidnapés, par des inconnus, pendant la journée du mercredi 26 avril 2017, à MANGINA, en térritoire de Beni, au conté Ouest de Beni-Ville, en République Démocratique du Congo. Au dernière nouvelle, à partir de Mangina, on nous dit que, les victimes sont toujours aux mains des hors la loi, qui conditionnent la libération de ces gens, à un versement d' une somme d'argent, par la famille des victimes, selon un habitant de Mangina lors d'un entretien téléphonique du jeudi dernier. À lui d'ajouter que, la société civile dela région demande aux militaires de trouver une solution à ce problème, à ces enlèvements à répétition et demandes de rançons qui enrichissent les groupes rebelles.
Dans le passé, cette structure citoyenne, a fait les comptes, plusieurs personnes environ ont été kidnappées, à chaque fois, c’est le même scénario à répétion, dans plusieurs villages, et localités dela province du Nord-Kivu, toujours instable pour cause dela présence des groupes armés qui sont prophètes des malheurs envers la population. En ce niveau d'analyse à vrai dire qui sont les ravisseurs ?
Appartiennent-ils, aux miliciens Maï-Maï, peut être aussi les Forces démocratiques alliées (ADF), ou bien sont-ils de simples bandits armés ? On s’interroge encore sur l’identité de ces kidnappeurs. La zone est en effet infestée, par de nombreux groupes armés.
Depuis plusieurs mois, la prise d’otages est « à la mode » dans la contrée. La fois passé mr Omar Kavota, directeur exécutif du Centre d'études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l'homme, avait affirmé avoir recensé environ 600 cas de kidnappings sur cette route, depuis le début de l’année 2015.
Dans le groupement baswali bokoto dans le Masisi, où 28 Morts sont enrégistrée, après des combats qui opposaient les Mai-mai nyatura au CNRD un mouvement qui tire ces racines aux fdlr rébellion rwandaise.
La tension reste vive dans le village de VUHINGA situé à l’Est de Butembo.
Sur le terrain, des jeunes et vieux ont passé toute la journée de ce jeudi 27 avril sur le lieu où le prénommé John du sobriquet MUNGANGA, habitant de MWIRI en commune de Bulengera, ville de Butembo, a été brûlé vif la journée de mercredi 26 avril.
Ces habitants clamaient des chants hostiles contre les agents de l’ordre qui ont incarcéré neuf personnes en commune Bulengera juste après l’incident. Parmi les personnes arrêtées figure le chef du village VUHINGA. D’autres encore réclament que justice soit faite après pillage des animaux et de l’argent.
Notons que le nommé John allias MUNGANGA a été tué par la population vers 11 heures de mercredi 26 avril à cause d’être soupçonné d’avoir tiré trois balles et emporté beaucoup d’argent dans la nuit de mardi 25 à mercredi 26 avril au domicile de KAMBALE Symphorien, 47 ans révolus. Sur place, John aurait blessé madame KYAKIMWA MAGHULU, 44 ans. Cette dernière est internée aux soins intensifs aux cliniques de l’UCG.
Sa santé reste encore critique, à en croire son mari KAMBALE Symphorien. Selon les dernières nouvelles, le corps de John allias MUNGANGA a été enterré l’après-midi de ce jeudi après qu’il a git à la morgue de VUHOVI.
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