Quatre millitaires Fardc ont été tués, et 4 autres sont gravement blessés, lors d’un accident de la circulation routière, ou un engin roulant des casques bleu, et celle del'Armée, dans l'avant midi du mercredi 26 avril 2017, le long dela route N0-4, précisement, à Mbau, chef lieu de Sécteur de Beni-Mbau, situé en térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : Les victimes se trouvaient à bord du véhicule Kamaz appartenant aux forces armées de la République démocratique du Congo. Le chauffeur a finit sa course sur un bâtiment situé en plein centre de Mbau lorsqu’il tentait d’effecteur un dépassement. Selon les témoins, le véhicule accidenté roulait en direction d’Oicha en provenance de Beni, derrière un char de combat de la mission de Nations unies pour la stabilisation du Congo (MONUSCO) qui roulait dans la même direction. Selon la police de circulation routière, les fausses manœuvres du chauffeur FARDC et l’excès de vitesse de la part de la MONUSCO sont à la base de cet accident. Les blessés ont été, dépêchés à l’hopital militaire de Mukakira, à Oicha et le corps défunt ont été remis, à ses camarades d’armes à Oicha :

Au cours de cet accident mortel, des morts ont été enrégistrées au rang des militaire des forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) mort et 4 autres grièvement blessés au cours d’un accident de circulation, mercredi 26 avril 2017, à Mbau. Le chauffeur des FARDC a tenté sans succès d’effectuer un dépassement lorsque soudain surgit une voiture dans la direction contraire.
Devant cette situation, le chauffeur des FARDC n’avait autre choix que de finir sa course sur le bâtiment situé le long de la route.
Il (chauffeur) a fait un bon choix parce que s’il n’avait pas décidé de faire ça, il toucherait, et la voiture et la moto qui roulait derrière la voiture, raconte un témoin
Le bâtiment appartenant à un notable de Mbau et le véhicule des FARDC complètement endommagés.
Récement pour rappel, un autre accident mortel s'ést produit sur la route Beni-Oicha, où un véhicule de la monusco a temponé 3 personnes toujours à Mbau, qui ont toutes, rendu l'âme. Ces trois créatures de Dieu qui voulaient aller doter, une fille, à Mavivi tout près de Mbau. Alors qu'un accueil chaleureux leurs était déjà réservé dans leurs belle famille. Ce jour là le passage, leurs corps fusaient encore par terre sur le lieux du drâme, et les trois chevres qu'ils voulaient aller amener, à leurs belle famille.
Face à cette situation, la RDC été classée, dernièrement, comme la troisième meilleure nation africaine, en matière de sécurité routière, après le Ghana et le Nigeria. Le président de la Commission nationale de prévention routière (CNPR), Val Manga, a fait cette annonce dans un entretien accordé, vendredi 17 juillet, à Radio Okapi.
Il se réfère au rapport de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique, publié en début de semaine à Addis-Abeba (Ethiopie).
Val Manga a indiqué que la RDC est ex-aequo avec l’Afrique du Sud, la Namibie, la Côte d’Ivoire et le Zimbabwe.
Quelques indicateurs ont permis à la RDC de figurer parmi le tiercé gagnant du continent.
« Le premier pilier, c’est la gestion de la sécurité routière. Deuxième, c’est le niveau de la sécurité routière et la mobilité», a indiqué le président de la CNPR. Val Manga reconnait que la RDC a fait quelques avancées en matière de sécurité routière notamment avec l’implantation de la signalisation et des robots qui régulent la circulation.
Selon lui, un autre aspect qui a propulsé la RDC au classement africain, c’est le fait de limiter l’âge des véhicules en importation.
« Le quatrième critère, c’est au niveau de la gestion des usagers de la route. Nous avons été et nous continuons à pouvoir faire la campagne de civilisation sur la route. Et le taux d’accident dans notre pays aussi a baissé et le cinquième pilier, c’est la réponse que la RDC donne après chaque accident, c’est-à-dire, la prise en charge des accidentés », a souligné Val Manga.
Butmbo : La police a présenté 4 présumés voleurs utilisant le "Kasuku" pour opérer
Cette présentation a été faite mardi 25 avril 2017 par le colonel Richard MBAMBI KINGANA à l’Etat-major de la PNC, ville de Butembo. Il s’agit de MUMBERE MANDELA âgé de 19 ans, KATEMBO MATE Patrick, 25 ans, KASEREKA MWIGHA USHINDI 17 ans et KAKULE MAKEWA WASINGYA de 18 ans. Le colonel Richard MBAMBI KINGANA appelle la population à collaborer avec la police. Les victimes des cas d’incursion du 13 au 14 avril au quartier MUKUKA sont invitées à la police pour la déclaration des biens volés.
"Le commandant continue à travailler et donc nous avons encore mis la main sur les utilisateurs des KASUKU et nous avons arrêté quatre individus. Mumbere Mandela est sorti d la prison où il a passé cinq ans et le lendemain, il est allé voler avec des complices.Il a été arrêté le 21 avril lors des vols à Katwa et du 13 au 14, ils ont volé à Mukuna. Katembo Patrick, lui, a été arrêté plusieurs fois",a ajouté le numéro un de la police à Butembo. Neuf autres voleurs ont été présentés à la population au rond-point VGH le 15 avril 2017. L’on croirait que la police s’emploie à mettre fin au banditisme à Butembo.
Tous domiciliés de la commune MUSUSA, ces présumés malfrats seraient spécialistes en utilisation de pieds de bûches appelée communément KASUKU, allègue le Colonel Richard MBAMBI KIKANGANA, ou ces incriminés ont opéré au quartier MUKUNA, à KATWA et à VUKAKA où ils ont dévalisé différentes alimentations.
"La police ne peut pas croiser les bras, elle va continuer à travailler et à arrêter les fauteurs. Voilà encore, je présente aujourd'hui à la population ces quatre individus qui directement, après ici, vont descendre là où la police a l'habitude de les envoyer. Il y a eu des biens récupérés, plus ou moins 10 kg de biens. Sur place, on avait restitué, mais aussi, il y a des biens que l'on a récupérée, lors des enquêtes. C'est ainsi que, je demande aux amis de Mukuna, victimes des vols la nuit du 13 au 14 avril de passer vers la police, qui peut indiquer probablement, s'il faut suivre, qu'on les envoient et il faut venir déclarer les effets, sur place".

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